La déprime

Bonjour à tous et à toutes ! Aujourd’hui je vais vous parler d’un sujet qui concerne chacun d’entre nous : la déprime

 

État psychologique passager durant quelques jours, la déprime se caractérise par de la tristesse et par une baisse de moral et de vitalité. On la qualifie souvent de « coup de blues », de « spleen » ou de « coup de cafard ».

Je vais vous aider à répondre à quelques questions que vous serez sans doute amené(e) à vous poser car la déprime, phénomène normal, touche tout le monde.

Suis-je déprimé(e) ? Pourquoi suis-je déprimé(e) ? Que faire lorsque je suis déprimé(e) ? et enfin : Suis-je déprimé(e) ou dépressif(ve) ?

 

Alors, prêt(e) à tout savoir sur la déprime ?

Suis-je déprimé(e) ?

Vous avez des difficultés à surmonter des moments que vous jugez difficiles, mais qui ne le serait pas forcément pour d’autres personnes. Pour autant vous ne vous effondrez pas. Vous êtes sans doute dans ce qu’on appelle la « dépressivité ». Cet état est la capacité dépressive normale de chaque personne, une réaction à la gestion des difficultés psychiques. Elle est considérée comme normale car toute action entraîne une réaction, elle est même indispensable car elle permet d’évacuer un stress passager. Bien sûr, cette réaction entraîne des symptômes assez désagréables :

  • Une variation de l’humeur ;
  • De l’irritabilité ;
  • De l’anxiété ;
  • Des troubles du sommeil ;
  • Des troubles de l’appétit ;
  • Des troubles de la concentration ou de la mémoire ;
  • La perte de confiance en soi.

 

Ceci nous amène tout naturellement à la question suivante :

Pourquoi suis-je déprimée ?

Plusieurs causes sont à l’origine de la déprime :

  • Un déséquilibre de certains neurotransmetteurs jouant sur la régulation de l’humeur comme la sérotonine, la dopamine, l’endorphine et l’ocytocine ;
  • Des facteurs exogènes comme de fortes émotions, des problèmes financiers ou professionnels ;
  • Un traumatisme ou un événement malheureux comme la perte d’un être cher, une rupture sentimentale, un licenciement… ,
  • Un changement d’habitudes comme le retour de vacances, de nouvelles responsabilités… 
  • Une situation subie et non voulue comme par exemple l’insécurité, la frustration, un environnement malsain ;
  • Le passage à l’automne avec une baisse de la luminosité, des températures…
  • Une propension au pessimisme, lorsqu’on a l’habitude de penser négativement  « ça n’arrive qu’à moi… » ; il ne m’arrive que des malheurs 
  • Les lendemains de fête car l’alcool agit négativement sur les neurotransmetteurs ;
  • Une fatigue dite psychique, due à l’accumulation d’événements auxquels vous avez fait face.

 

Rappelons que la déprime n’est pas forcément liée à la gravité objective d’un événement, elle est la manifestation d’une réaction que l’on pourrait qualifier de « décompression ».

 

Alors maintenant, répondons à la question qui certainement vous intéressera le plus :

Je suis déprimé(e) : Que faire ?

Pour sortir de la déprime, il faut positiver. Plus facile à dire qu’à faire, me direz-vous ? Et vous avez raison, c’est pourquoi voici quelques conseils. Tout d’abord, nous allons voir comment aider à sécréter les hormones du bien-être, naturellement présentes dans notre corps. Ensuite, suivront d’autres conseils bien utiles.

 

La première chose que vous devez faire :

Boostez les hormones du bonheur

Voyons comme doper les hormones du bonheur qui participent directement ou indirectement au plaisir, à la sensation de bien-être et d’apaisement, à la lutte contre la douleur, à la baisse de l’anxiété et du stress, à l’empathie…

 

  • 1ère hormone du bonheur : L’endorphine a un effet antalgique et de bien-être immédiat
    • Faites du sport
    • Soyez amoureux
    • Faites l’amour
    • Méditez
    • Mangez des aliments riches en tyrosine : riz complet, banane, chocolat noir, œufs, légumineuses, oléagineux

 

  • 2ème hormone importante : La sérotonine responsable de l’équilibre émotionnel
    • Apportez les nutriments les plus importants : vitamines B6 et D, acides gras oméga 3
    • Privilégiez une hygiène de vie saine

 

  • 3ème hormone du bonheur : La dopamine qui est indispensable aux autres hormones
    • Dormez entre 7 et 9 h

 

  • Pratiquez une activité en plein air
  • Mangez sainement et privilégier les aliments riches en tyrosine
  • Caressez un animal
  • Écoutez de la musique
  • Faites-vous masser

 

  • Enfin la dernière hormone à soigner est L’ocytocine : l’hormone de l’attachement
    • Passez du temps avec les personnes que vous aimez
    • Ayez des contacts physiques : toucher, être touché, caresser, faire l’amour, parler, écouter et discuter
    • Pratiquer une activité de groupe : chanter dans une chorale, pratiquer un sport d’équipe
    • Occupez-vous d’un animal. En parlant de la chorale, lorsque j’étais jeune pendant 4 ans  de 10 à 14 ans  je chantais tous les samedis après midi et dimanche matin dans une  chorale. Nous étions 3  jeunes enfants parmi les adultes très doués. Inutile de vous préciser à quel point j’étais fière d’autant plus que j’étais soprano. Mais aujourdhui,  avec des années sans entrainements  je chante comme une casserole. 

 

Voici maintenant mes 4 autres conseils pour lutter contre la déprime

 

  1. N’hésitez pas à vous faire aider par un thérapeute, un magnétiseur pour lutter contre le stress. Le magnétisme apaise, et harmonise vos énergies. Généralement, après une séance de magnétisme les  personnes ont les traits du visage détendus et se sentent relaxées. 
  2. Prenez soin de vous pour augmenter votre propre estime : allez chez le coiffeur, chez l’esthéticienne… En somme, faites-vous plaisir.
  3. Et pourquoi pas apprendre à tricoter 
  4. Ne vous laissez pas non plus envahir par les sources de stress sur lesquelles vous pouvez agir comme le flux médiatique. Lisez plutôt un bon roman.
  5. Éviter les psychotropes comme la drogue, et l’alcool…

 

 Nous arrivons maintenant à la dernière question mais pas des moindres :

Suis-je déprimé(e) ou dépressif(ve) ?

Il est tout à fait normal de se poser cette question, et cela peut même être salvateur. Pourquoi me direz-vous ? Et bien parce que la dépression est une véritable maladie psychique qui doit être prise en charge impérativement par un professionnel de santé. Consultez rapidement votre  médecin traitant.  si votre déprime s’installe, revient fréquemment ou que vous présentez les symptômes suivants: 

 

  • Vous êtes extrêmement triste ;
  • Vous vous dépréciez ;
  • Vous n’avez plus envie de faire vos activités quotidiennes ;
  • Vous êtes toujours fatigué(e), même après avoir dormi ;
  • Vous n’avez plus d’appétit ;
  • Vous dormez mal ;
  • Votre libido est affectée ;
  • Vous avez des pensées suicidaires.

 

J’espère vous avoir éclairé sur la déprime. Elle n’est pas grave mais votre vigilance est de rigueur pour ne pas qu’elle s’installe et que vous tombiez dans la dépression. Suivez les petits conseils que je vous ai donnés qui ne sont finalement pas si compliqués à mettre en œuvre : avoir une bonne hygiène de vie, une alimentation saine, donner et recevoir de l’amour ! Un programme parfait pour prendre soin de vous.

Règles douloureuses : symptômes, causes et traitements

Il est normal de ressentir des douleurs, des crampes et un certain inconfort pendant les périodes menstruelles. Des douleurs excessives qui vous font manquer le travail ou l’école ne le sont pas.

Les règles sont souvent douloureuses, c’est un fait. Médicalement, on utilise le terme dysménorrhée pour qualifier ce problème. Souvent sans conséquence, les symptômes peuvent toutefois être liés à une pathologie plus sérieuse, c’est pourquoi il faut consulter avant d’en conclure comme on l’entend souvent que « c’est normal ».

La dysménorrhée primaire se manifeste chez les personnes qui ressentent des douleurs avant et pendant les menstruations. Si vous avez eu des règles normales qui deviennent douloureuses plus tard dans votre vie, il peut s’agir d’une dysménorrhée secondaire. Une affection touchant l’utérus ou d’autres organes pelviens, comme l’endométriose ou les fibromes utérins, peut en être la cause.

Je vais, ici, vous décrire les symptômes de la dysménorrhée, nous verrons ensuite ses causes et les traitements possibles. Enfin, je parlerai de l’endométriose, une pathologie liée aux règles douloureuses qu’il ne faut pas négliger.

Les symptômes des règles douloureuses ou dysménorrhée

Durant le cycle menstruel, il n’est pas rare de ressentir des douleurs. Les symptômes sont très variables d’une femme à l’autre. Certaines ressentent, avant et pendant les règles, une sensation de mal être accompagnée de tensions dans le bas du ventre. Au cours des règles, des douleurs légères à intenses peuvent se manifester sous forme de crampes au niveau du ventre qui irradient vers les reins, les cuisses et le dos. Notons aussi que certaines femmes ont des nausées voire des vomissements et des maux de têtes. Souvent sans complication, cette période est parfois un moment difficile à vivre psychologiquement à cause justement des douleurs provoquées. Il est important, en cas de symptômes, de consulter car même si la dysménorrhée est souvent sans gravité, elle peut être sous-jacente à une maladie des organes génitaux comme une endométriose, des polypes à l’utérus… 

Les causes des règles douloureuses ou dysménorrhée

Les douleurs apparaissent soit dès les premières règles, il s’agit de la dysménorrhée primaire, soit au cours de la vie adulte, on parle alors de dysménorrhée secondaire. Par conséquent les causes diffèrent :

La dysménorrhée primaire

À l’adolescence, les douleurs proviennent le plus souvent d’un excès de prostaglandines. Si un traitement antalgique suffit à endiguer la douleur qui disparaît au fil du temps, il se peut que la douleur persiste. Dans ce cas, la cause peut être une anomalie congénitale, une endométriose de l’adolescente ou des troubles hormonaux.

La dysménorrhée secondaire

Dans le cas de douleurs tardives, c’est-à-dire à l’âge adulte, un médecin doit être consulter rapidement car les causes ne sont souvent pas anodines et peuvent être dues entre autres à une endométriose, une infection génitale chronique, des troubles ovariens, des polypes de l’utérus…

Les traitements des règles douloureuses ou dysménorrhée

Le médecin va chercher à déterminer les causes de la douleur. Il vérifie que les saignements sont bien liés aux menstruations. Le traitement prescrit sera fonction de l’intensité de la douleur et de la cause. Les prescriptions les plus habituelles sont : une contraception, des anti-inflammatoires non stéroïdiens, des antispasmodiques, des antalgiques. Outre le traitement médical, il existe des méthodes naturelles pour soulager.

Consultations médicales obligatoires

Consultez un médecin :

  • Si vos règles sont très importantes et vous obligent à changer de protection plus de six fois par jour ;
  • Si vous êtes pâle, fatiguée, au bord du malaise et si vous avez une soif intense ;
  • Si vous pensez qu’il est possible que vous soyez enceinte ;
  • Si les douleurs sont inhabituelles et que vos règles surviennent à la mauvaise période ;
  • En cas de retard de règles ;
  • Si les saignements prennent la forme de caillots.

Traitements médicaux

  • Les anti-inflammatoires non stéroïdiens : ils luttent contre la douleur, ils sont à prendre dès le début des règles et jusqu’à la disparition des symptômes ;
  • Les antispasmodiques : ils soulagent les contractions de l’utérus ;
  • Les progestatifs : ils sont à prendre en fin de cycle pendant 10 à 20 jours ;
  • Les pilules estroprogestatives : elles sont généralement prescrites en cas de troubles ovariens ou d’endométriose ;
  • La chirurgie : elle peut être envisagée, notamment en cas de malformation.

Comment soulager les règles douloureuses naturellement ?

Les bons gestes en cas de dysménorrhée

Voici quelques conseils en cas de douleurs prémenstruelles et menstruelles :

  • Reposez-vous et dormez suffisamment ;
  • Détendez-vous car le stress conduit à la production d’hormones qui stimulent la production des prostaglandines, alors méditez ou faites des exercices de respiration par exemple ;
  • Bougez ou pratiquez un sport doux pour atténuer les contractions ;
  • Évitez l’alcool, le café, le tabac, les produits laitiers, les aliments gras et sucrés ;
  • Mangez des fruits et des légumes, des céréales complètes, des aliments riches en oméga-3 ;
  • Buvez beaucoup d’eau ;
  • Placez une bouillotte sur votre ventre ou prenez un bain chaud pour décontracter votre ventre ;
  • Prenez si nécessaire un médicament antalgique délivré sans ordonnance ;
  • Ne prenez absolument pas d’aspirine qui fluidifie le sang.

Les médecines parallèles

L’ostéopathie, l’acupuncture, le magnétisme, l’homéopathie sont envisageables pour lutter contre la douleur et le stress.

L’endométriose

Si aucun traitement médicamenteux prescrit par votre médecin ne vous soulage, peut-être souffrez-vous d’une endométriose. Reparlez-en à votre docteur car cette pathologie gynécologique n’est pas facile à diagnostiquer. Elle se caractérise par la présence de fragments de muqueuse utérine en dehors de l’utérus : dans le rectum, la vessie, l’intestin, les ovaires. Ces lésions s’enflamment durant les règles et provoquent des douleurs pelviennes très intenses et des saignements abondants. À l’heure actuelle, 1 femme sur 10 souffre d’endométriose.

La période menstruelle n’est pas forcément un moment très agréable à vivre même s’il confirme le plus beau métier du monde : être mère. Si en plus, cette période s’avère douloureuse physiquement et a fortiori psychiquement, consultez un médecin. Sachez aussi que le magnétisme peut vous aider, alors n’hésitez pas et contactez-moi !

Mycose : types, causes, symptômes, traitements

La mycose, ou infection fongique, est due à un champignon microscopique. Cette maladie de peau est très fréquente, elle peut affecter la peau bien sûr, mais aussi les muqueuses, les organes internes comme les poumons, le cœur, le système nerveux et le cerveau. La gravité est variable, de bénigne à mortelle, elle dépend du type de mycose et de la localisation de l’infection.

Maintenant que nous avons défini ce qu’est une mycose, nous allons entrer dans les détails pour tout savoir des mycoses en répondant à ces questions : Quels champignons sont responsables des mycoses ? Quels sont les différents types de mycoses et leurs symptômes ? Quelles sont les causes et les facteurs favorisant les mycoses ? Comment prévenir et traiter les mycoses ?

Quels sont les champignons responsables de la mycose ?

Les champignons les plus souvent en cause sont les « levures » et les dimorphiques :

Les « levures »

L’espèce Candida est le champignon le plus commun de cette famille. Elle est naturellement présente sur la peau et les muqueuses. Autre espèce fréquente, le Malassezia furfur qui cause deux maladies, le pityriasis versicolor et la dermite séborrhéique. Les mycoses causées par les Candida représentent la principale cause des infections fongiques nosocomiales. De l’infection légère de la peau ou des muqueuses, elle peut être plus grave et atteindre un organe.

Les champignons dimorphiques

Ces champignons dits « filamenteux » atteignent la peau, les muqueuses ou les ongles.

Quelles sont les différents types de mycose ?

La mycose génitale

La mycose vaginale se manifeste par une rougeur, un gonflement au niveau de la vulve et du vagin, des démangeaisons, des brûlures et des pertes vaginales blanchâtres « crémeuses ».

Chez l’homme, l’inflammation du gland et du prépuce est accompagnée d’un enduit blanchâtre au niveau du sillon balano.

La mycose cutanée

Les candidoses atteignent les petits plis c’est-à-dire la commissure des lèvres, les lèvres et les espaces entre les orteils, et les grands plis que sont les aisselles, les plis sous mammaires, ceux de l’aine et le sillon interfessier. La mycose cutanée se caractérise par une tâche rouge recouverte d’un enduit blanchâtre.

La dermatite séborrhéique

Maladie de la peau inflammatoire chronique et récidivante due aux levures Malassezia, elle est caractérisée par des plaques rouges recouvertes de petits lambeaux de peau blancs ou jaunâtres. Située le plus souvent au niveau des sourcils, autour du nez et à la lisière du cuir chevelu. Elle peut être aussi causée par d’autres facteurs comme un excès de sébum par exemple.

Le pityriasis versicolore

Infection due au Malassezia, des tâches recouvertes de squames au niveau du tronc et des racines des membres apparaissent, elles sont foncées sur peau claire et claires sur peau foncée.

Les dermatophytoses de la peau

Elles peuvent être localisées au niveau des petits et grands plis, sur les membres, le tronc, le visage, la paume des mains et la plante des pieds. Elles sont souvent accompagnées de démangeaisons, d’une odeur désagréable et d’un suintement. Au niveau palmo-plantaire, on constate des lésions squameuses, une couche cornée anormale et/ou des petits boutons.

La mycose des ongles

Les candidoses des ongles

C’est le tour de l’ongle qui est d’abord touché sous forme d’un bourrelet inflammatoire puis la base de l’ongle qui devient jaunâtre.

Les dermatophytoses unguéales

Les dermatophytes, après avoir parasité les espaces inter-orteils et la plante du pied, s’attaquent à l’ongle qui devient jaunâtre et friable.

La mycose buccale ou candidose de la bouche

Atteints par cette mycose, la langue et l’intérieur des joues se couvrent d’un enduit blanchâtre.

Les aspergilloses

Localisées au niveau de l’appareil respiratoire, elles peuvent entraîner des sinusites, des bronchites, un asthme aspergillaire. Elles peuvent devenir invasives, c’est-à-dire graves, si les personnes infectées ont un système immunitaire affaibli et celles qui ont récemment reçu un greffe d’organe par exemple.

Quelles sont les causes et les facteurs favorisant la mycose ?

Les causes de la mycose

La cause peut être un déséquilibre des micro-organismes endogènes. Le corps est colonisé par une multitude de champignons et de bactéries variés souvent inoffensifs et parfois utiles. Cependant, en proliférant certains d’entre eux deviennent pathogènes.

La cause peut aussi être externe, comme un champignon transmis par un animal, par inoculation comme lors d’une blessure, par inhalation de moisissures, par contact avec une personne infectée.

Les facteurs favorisants

  • Les médicaments : antibiotiques, traitements corticoïdes ou immunosuppresseurs ;
  • Les chaussures fermées ;
  • Les endroits humides comme le sol des piscines ;
  • Une transpiration excessive ;
  • Les couches des nourrissons ;
  • Les contraceptifs oraux ;
  • Une hygiène excessive ou limitée ;
  • Certains états comme la grossesse ;
  • Certaines personnes : les prématurés, les personnes âgées, les personnes atteintes d’un déficit immunologique, d’obésité, de diabète…

Comment prévenir et traiter une mycose ?

Mesures préventives

Comme on le sait : mieux vaut prévenir que guérir ! Des gestes simples permettent d’éviter de développer des mycoses et/ou de les transmettre.

  • Prévenir les mycoses des pieds, des ongles et du cuir chevelu :
    • Bien se sécher entre les plis après la douche ;
    • Éviter de marcher pieds-nus dans les lieux publics ;
    • Utiliser un savon non-alcalin (pH neutre) qui protège la couche acide naturelle de la peau ;
    • Eviter le port de vêtements ou de chaussures qui ne respirent pas ;
    • Changer tous les jours de chaussettes, bas, collants ;
    • Prendre en charge une hypersudation des mains ou des pieds ;
    • Ne pas mettre de tapis de salle de bains ;
    • Laver systématiquement le linge de toilette à 60° ;
    • Eviter de garder des vêtements ou chaussures dans lesquels vous avez transpiré ;
  • Contre les mycoses vaginales :
    • Eviter de porter des vêtements trop serrés ;
    • Porter des dessous en coton ;
    • Bien se sécher après la toilette ;
    • Uriner après un rapport sexuel ;
    • Laver le linge de toilette à 60° ;
    • Utiliser un savon doux, au pH neutre.
  • Prévenir la mycose buccale :
    • Brosser vos dents trois fois par jour, faites des bains de bouche.

Les traitements contre la mycose

Consulter un médecin ou un dermatologue en cas de symptômes est la première attitude à avoir. Ce dernier posera un diagnostic clinique et au besoin prescrira des prélèvements ou une observation directe à l’aide de lampes spécifiques pour déterminer avec précision le champignon en cause dans l’infection.

Contre les mycoses buccales, digestives ou vaginales, des probiotiques qui sont composés de bonnes bactéries, pourront être administrés.

Un traitement antifongique s’avère la plupart du temps efficace. Les différentes formes, crème, ovule, émulsion, poudre ou solution, et la durée du traitement varient en fonction du type de mycoses. Des traitements par voie orale pourront, enfin, être prescrits en cas de mycose sérieuse.

La mycose, même si la plupart du temps n’est pas une infection grave, peut s’avérer gênante surtout en cas de récidive fréquente. Sachez que le magnétiseur peut vous aider, notamment à soulager la douleur. N’hésitez pas à consulter et à me contacter au besoin.

FAQ

La mycose est-elle contagieuse ?

La mycose n’est pas contagieuse et ne peut pas se transmettre d’une personne à l’autre.

La mycose est-elle héréditaire ?

La mycose n’est pas connu pour être héréditaire. Il existe une mutation génétique commune que l’on retrouve chez certaines personnes atteintes de mycose, mais il est peu probable qu’elle soit héritée ou transmise dans les familles.

À quelle vitesse la mycose se propage-t-elle ?

Ce type de lymphome cutané se développe très lentement. Dans certains cas, il faut un certain temps pour établir un diagnostic précis.

Cystite (infection urinaire) : symptômes, causes, traitements et prévention

La cystite est une infection urinaire des plus fréquentes. Elle est non seulement gênante car elle oblige à passer fréquemment aux toilettes mais elle est aussi douloureuse notamment au moment d’uriner. Cette inflammation de la vessie concerne davantage les femmes, plus particulièrement au début de l’activité sexuelle et après la ménopause. Pour l’homme, le risque reste faible et est souvent lié à une maladie de la prostate. 

Quelles sont les causes et les symptômes de la cystite ? Comment soigner une cystite ? Vous trouverez dans cet article les réponses à ces questions.

Qu’est-ce que la cystite ?

La cystite est une inflammation de la vessie, généralement due à une infection de la vessie. L’inflammation se produit lorsqu’une partie de votre corps devient rouge, irritée ou enflée.

La plupart du temps, la raison de la cystite est une infection des voies urinaires. L’infection des voies urinaires est une affection qui survient lorsque des bactéries s’infiltrent dans la vessie ou dans l’urètre pour commencer à se multiplier.

Elle peut également se produire avec des bactéries naturellement présentes dans votre corps, qui sont dans un état de déséquilibre. Les bactéries qui en résultent peuvent provoquer une inflammation et provoquer une cystite. La cystite n’est pas toujours le résultat d’une infection. Certains médicaments et produits d’hygiène peuvent provoquer une inflammation.

Le traitement de la cystite varie en fonction des causes. La plupart des cas de cystite peuvent être décrits comme bénins ou survenant brutalement. Les cas de cystite interstitielle sont chroniques ou durent longtemps. La cystite peut frapper toute personne, mais elle touche surtout les femmes.

Il est également possible que la cystite puisse entraîner une maladie rénale encore plus grave dans certains cas. Il est donc important de consulter un médecin lorsque vos symptômes ne s’améliorent pas.

Les causes de la cystite

La cystite est fréquemment d’origine microbienne mais elle peut aussi être non infectieuse. On pense que la plupart des cas se produisent lorsque des bactéries qui vivent de manière inoffensive dans l’intestin ou sur la peau pénètrent dans la vessie par l’urètre.

La cystite microbienne

Ce sont des bactéries appelées colibacilles qui en pénétrant dans la vessie causent la cystite. La raison pour laquelle les femmes sont les plus touchées est anatomique. L’urètre, le canal qui relie la vessie à l’extérieur et permet l’écoulement de l’urine, est plus court chez la femme. De plus, son orifice est proche de l’anus et du vagin qui sont des endroits où siègent de nombreuses bactéries.

La cystite chez l’homme découle souvent d’une hypertrophie bénigne ou d’une inflammation de la prostate qui empêchent le système urinaire de fonctionner correctement.

La cystite non-microbienne

Les symptômes de la cystite peuvent apparaître à cause de la prise de certains médicaments, de radiothérapie, en cas de maladies digestives, gynécologiques ou de maladies de la vessie. C’est le cas particulier de la cystite interstitielle. C’est une inflammation chronique rare de la vessie sans cause infectieuse qui concerne les femmes âgées de 30 à 40 ans.

Les symptômes et les complications de la cystite

Le principal symptôme de la cystite est l’envie fréquente d’uriner. Cet acte est accompagné d’une sensation de brûlure. L’urine malodorante est souvent trouble et le patient peut avoir un peu de fièvre.

Il est important de consulter rapidement en cas de suspicion d’infection urinaire, d’une part pour soulager la gêne et la douleur et d’autre part pour ne pas que les bactéries responsables de la cystite remontent dans les reins par l’uretère et provoque une complication sérieuse appelée pyélonéphrite.

Pour l’homme, des complications se manifestent par une infection générale ou un abcès de la prostate avec des douleurs notamment lors de l’éjaculation.

Les principaux symptômes de la cystite sont les suivants :

  • une envie fréquente d’uriner
  • envie d’uriner après avoir vidé la vessie
  • une urine foncée, trouble ou à forte odeur
  • une faible fièvre si elle est associée à une infection urinaire
  • du sang dans l’urine
  • des douleurs pendant les rapports sexuels
  • des sensations de pression de la vessie
  • des crampes dans l’abdomen ou le dos
  • une douleur, une sensation de brûlure ou de picotement lorsque vous urinez
  • une sensation générale de malaise, de douleur, de maladie et de fatigue.

Les symptômes possibles chez les jeunes enfants sont une température élevée (fièvre), une faiblesse physique, une irritabilité, une diminution de l’appétit et des vomissements.

Si une infection de la vessie se propage à vos reins, elle peut devenir un problème de santé grave. Outre les symptômes énumérés ci-dessus, les symptômes d’une infection rénale sont les suivants :

  • des nausées
  • vomissements
  • douleurs dorsales ou latérales
  • frissons

Par ailleurs, deux autres symptômes, la fièvre ou la présence de sang dans les urines, ne sont pas des symptômes de cystite en soi. Cependant, ils peuvent apparaître en association avec les autres symptômes d’une infection rénale. Consultez immédiatement un médecin si vous pensez être atteint d’une infection rénale.

Qui est exposé au risque de cystite ?

La cystite est plus fréquente chez les femmes en raison de leur urètre plus court. Cependant, les hommes et les femmes sont tous deux exposés à ce risque.

Les femmes peuvent présenter un risque plus élevé de cystite si elles :

  • sont sexuellement actives
  • sont enceintes
  • utilisent des diaphragmes avec spermicide
  • elles sont ménopausées
  • utilisent des produits d’hygiène personnelle irritants

Les hommes peuvent présenter un risque plus élevé de cystite s’ils ont une prostate élargie, ce qui entraîne une rétention d’urine dans la vessie.

Les facteurs de risque communs aux hommes et aux femmes sont les suivants :

  • une infection des voies urinaires actuelle ou récente
  • la radiothérapie
  • chimiothérapie
  • utilisation d’un cathéter
  • diabète
  • VIH
  • interférence avec l’écoulement de l’urine

Comment prévenir et soigner une cystite ?

La prévention de la cystite

Si vous souffrez fréquemment de cystites, vous pouvez essayer certaines mesures de prévention qui peuvent empêcher leur réapparition. Cependant, l’efficacité de la plupart de ces mesures de prévention n’est pas clairement établie.

En cas de récidive mais pas seulement, des petits gestes peuvent aider :

  • Boire plus d’un litre et demi d’eau par jour, et notamment de l’eau bicarbonatée, pour éliminer les bactéries ;
  • Ne pas se retenir d’uriner pour ne pas créer une accumulation de bactéries ;
  • Se laver les parties génitales avec un produit doux sans savon pour rester propre sans irriter ces parties sensibles ;
  • Uriner après un rapport sexuel pour évacuer les micro-organismes ;
  • S’essuyer d’avant en arrière après être passé à la selle pour ne pas que les bactéries des matières fécales contaminent la vessie ;
  • Porter des sous-vêtements en coton moins irritants que les matières synthétiques ;
  • Éviter les spermicides ;
  • Prendre une douche plutôt qu’un bain vous éviterez ainsi d’exposer trop longtemps vos parties génitales aux produits chimiques contenus dans vos produits de nettoyage ;
  • Réduire les aliments tels que les laitages, la charcuterie, la viande rouge, le vin blanc, le café et les sucres raffinés en privilégiant les légumes frais et crus et leur jus.

Outre ces habitudes hygiéniques, en cas de récidives fréquentes votre médecin pourra vous prescrire de la canneberge, des œstrogènes en application locale pour les femmes ménopausées voire un antibiotique à prendre après les rapports sexuels si ceux-ci sont en cause. Un examen des urines hors infection pourra être prescrit aussi.

Le traitement médical de la cystite

Le médecin va chercher la cause des symptômes : cystite, hypertrophie de la prostate… C’est pourquoi, il est important de consulter. Il va réaliser une analyse d’urine grâce au test de la bandelette qui permet de savoir si le patient a une infection urinaire ou non. Parfois, il prescrit un examen cytobactériologique urinaire ou cytologie urinaire (ECBU) pour connaître précisément le micro-organisme responsable de la cystite.

Le médecin donne alors un antibiotique à dose unique ou à prendre sur 5 jours. Il faudra boire beaucoup d’eau et éviter les rapports sexuels durant la durée de la maladie. Si au bout de 5 jours, les symptômes persistent, une seconde consultation s’avère nécessaire.

Si vous avez déjà eu une cystite et que vous ne pensez pas devoir consulter votre pharmacien ou votre médecin généraliste, vous pouvez traiter vos symptômes à domicile.

Jusqu’à ce que vous vous sentiez mieux, vous pouvez :

  • prendre du paracétamol ou de l’ibuprofène
  • boire beaucoup d’eau
  • tenir une bouillotte sur votre ventre ou entre vos cuisses
  • éviter les rapports sexuels

Les traitements naturels de la cystite

Ces traitements ne dispensent en rien de consulter, ils sont complémentaires et vous devez demander son avis au médecin avant de les prendre.

Ils soulagent grâce à leur propriété :

  • Le jus de cranberry empêche les bactéries de coller aux parois des muqueuses du système urinaire ;
  • Une tisane composée de canneberge et de myrtilles antibactériennes, de bruyère antiseptique et de queues de cerises diurétiques draine les voies urinaires ;
  • Les bourgeons d’airelle ont un pouvoir antiseptique des voies urinaire et intestinales ;
  • Un cataplasme d’argile verte sur le bas ventre soulage la douleur ;
  • Un massage aux huiles essentielles sur le bas ventre décongestionne. Ce massage n’est pas adapté aux femmes enceintes et aux enfants ;
  • Une cure de probiotique restaure la flore intestinale abîmée par les antibiotiques ;
  • Un traitement homéopathique soulage la sensation de brûlure ;
  • Un point d’acupression stimule l’énergie de la vessie et facilite la guérison des cystites.

Un vaccin contre la cystite ?

Voici une bonne nouvelle ! Un vaccin, appelé Urovac, semble efficace. Il est déjà à l’étude sur la femme et s’avère prometteur. Sous forme d’ovule, il permet d’immuniser la muqueuse génitale.

La cystite aiguë ou chronique est comme nous venons de le voir une pathologie gênante et douloureuse mais n’est pas une fatalité. Grâce aux recherches en cours, un vaccin sera bientôt disponible.

Après avoir consulté un médecin, vous pouvez vous adresser à un magnétiseur qui pourra soulager votre douleur et renforcer votre vessie. Alors n’hésitez pas et contactez-moi !

Hypocondrie : la maladie non imaginaire

Tout le monde s’inquiète parfois de sa santé, mais pour certaines personnes, la peur d’être malade est si forte, même lorsqu’elles sont en bonne santé, qu’elles ont du mal à faire face à leur vie quotidienne.

Une personne qui vit dans la crainte d’avoir une maladie grave, bien que les examens médicaux ne trouvent jamais rien d’anormal, peut souffrir d’un trouble des symptômes somatiques, également connu sous le nom de trouble anxieux de la maladie. Ce trouble est également connu sous d’autres noms, notamment hypocondrie.

Souvent tournée en dérision dans des films, comme « Supercondriaque » ou dans d’autres œuvres comme « Le malade imaginaire » de Molière, l’hypocondrie n’en est pas moins une maladie réelle. La personne hypocondriaque subit une vraie souffrance tant physique que psychique.

Nous allons voir plus en détail ce qu’est cette pathologie, comment reconnaître une personne hypocondriaque et enfin comment l’aider.

Qu’est-ce que l’hypocondrie ?

L’hypocondrie est une inquiétude obsessionnelle et irrationnelle à l’idée de souffrir d’un problème de santé grave. Elle est également connue sous le nom d’anxiété liée à la santé, de trouble anxieux lié à la maladie ou d’hypocondrie. Cet état est marqué par l’imagination d’une personne de symptômes physiques de maladie.

Dans d’autres cas, il s’agit de l’interprétation erronée par une personne de sensations corporelles mineures ou normales comme étant des symptômes de maladie grave, malgré le fait que les professionnels de la santé l’assurent qu’elle n’est pas malade.

Il est normal que les gens s’inquiètent de leur santé de temps en temps. Mais les personnes souffrant d’hypocondrie ont très peur d’être gravement malades ou sur le point de l’être. Cela peut se produire même si elles ne présentent aucun symptôme ou si leurs symptômes sont très légers. Elles peuvent même confondre des sensations normales avec les symptômes d’une maladie grave.

Certaines personnes souffrant d’hypocondrie ont un problème de santé qui les inquiète de manière excessive. D’autres personnes hypocondriaques sont en bonne santé, mais ont une peur bleue de leur santé future. Par exemple, elles peuvent se dire : “Et si j’avais un cancer ?”.

Les personnes hypocondriaques peuvent devenir si angoissées et si anxieuses qu’elles ont du mal à faire les choses du quotidien. Ce trouble touche environ 3,5% des personnes. Le sujet hypocondriaque est persuadé de posséder des symptômes qu’il prétend indétectables par les médecins. Leur conviction est inébranlable.

Quelles sont les causes de l’hypocondrie ?

Les causes ne sont pas génétiques et pourraient être consécutives à des problèmes neurochimiques liés à la sérotonine et la noradrénaline. Par exemple, une peur panique accompagnée de palpitations élevées, transpiration, peur et difficultés respiratoires pourraient être dues à trop de noradrénaline. De même un manque de sérotonine peut être à l’origine d’une dépression avec des troubles du sommeil, une forte fatigue et typiquement une intervention médicale.

Elles pourraient être aussi la conséquence d’une dépression ou encore d’un choc psychologique comme un décès. Les causes suivants peuvent être impliqués :

  • Vous avez une mauvaise compréhension des sensations corporelles, des maladies, ou de ces deux choses. Vous pouvez penser qu’une maladie grave est à l’origine des sensations de votre corps. Cela vous amène à chercher des preuves qui confirment que vous êtes réellement atteint d’une maladie grave.
  • Vous avez un ou plusieurs membres de votre famille qui s’inquiétaient excessivement de leur santé ou de la vôtre.
  • Vous avez eu des expériences passées avec une vraie maladie grave dans votre enfance. Ainsi, à l’âge adulte, les sensations physiques que vous éprouvez vous font peur.

L’hypocondrie apparaît le plus souvent au début ou au milieu de l’âge adulte et peut s’aggraver avec l’âge. Chez les personnes âgées, l’hypocondrie peut se concentrer sur la crainte de développer des problèmes de mémoire. Les autres facteurs de risque de l’hypocondrie sont les suivants :

  • un événement ou une situation stressante
  • la possibilité d’une maladie grave qui s’avère être sans gravité
  • avoir été maltraité dans l’enfance
  • une maladie grave dans l’enfance ou un parent atteint d’une maladie grave
  • avoir une personnalité inquiétante
  • vérifier excessivement sa santé sur Internet

Les symptômes de l’hypocondrie

Il peut être difficile de savoir si vous ou l’un de vos proches présentez un symptômes d’hypocondrie ou des traits et des comportements qui pourraient être classés comme de l’anxiété liée à la santé. Savoir ce qu’il faut rechercher peut vous aider à déterminer si votre niveau d’hypocondrie est supérieur à la normale.

Les symptômes de l’hypocondrie sont des douleurs, des palpitations, des crampes, des fourmillements, des boutons suspects, des retards de règles… La liste n’est pas exhaustive… Et la peur d’être malade engendre aussi des réactions physiques. C’est, en somme, un cercle vicieux.

Voici quelques symptômes de l’hypocondrie :

  • Vous ne présentez aucun symptôme, mais vous craignez d’être malade. Ou, vous considérez que le fonctionnement normal du corps est un signe que vous avez une maladie grave.
  • Vous ne vous sentez pas réconforté ou rassuré lorsque des tests montrent que vous êtes en bonne santé ou lorsqu’un médecin vous rassure en vous disant que vous n’avez pas une maladie que vous craignez d’avoir.
  • Vous passez beaucoup de temps à faire des recherches en ligne sur les problèmes de santé et les symptômes.
  • Vous vous inquiétez de contracter une maladie grave lorsque vous en entendez parler dans les journaux ou que vous apprenez que quelqu’un que vous connaissez est malade.
  • Vos inquiétudes concernant votre santé vous empêchent de pratiquer vos activités habituelles.
  • Vous vous examinez constamment pour détecter tout signe de maladie.
  • Vous vous rendez fréquemment chez votre médecin pour demander des tests ou des examens pour des maladies que vous craignez d’avoir. Ou bien, vous évitez d’aller chez le médecin par crainte d’un diagnostic sérieux.

L’hypocondrie peut-elle provoquer des symptômes physiques ?

Le fait de s’inquiéter excessivement de sa santé peut provoquer certains symptômes physiques. Parmi les symptômes courants d’anxiété que l’hypocondrie peut déclencher, on peut citer :

  • Maux d’estomac
  • Vertiges
  • Maux de tête
  • La bouche sèche
  • Tension musculaire
  • Fatigue
  • Augmentation du rythme cardiaque
  • Transpiration
  • Essoufflement
  • Besoin fréquent d’aller aux toilettes

Lorsque les personnes souffrant d’hypocondrie présentent les symptômes physiques ci-dessus, elles peuvent les interpréter comme signifiant qu’elles sont atteintes d’une maladie grave. Mais ces symptômes sont en fait causés par une poussée d’adrénaline.

Comment reconnaître une personne hypocondriaque ?

Les hypocondriaques sont des personnes qui :

  • Sont constamment à l’écoute de leur corps : ils font des autodiagnostics et ils utilisent même des gadgets pseudo médicaux ;
  • Ont une imagination irrationnelle, et font d’un simple symptôme, comme une migraine, une maladie grave ;
  • Consultent au minimum un médecin une fois par semaine, c’est le cas de 10 % des français ;
  • Ont une vraie souffrance physique et psychologique :
    • Ils ont peur d’aller dans des lieux peu hygiéniques, comme le métro, un hôpital. On parle alors de nosophobie qui est la peur d’attraper une maladie et entraîne des troubles compulsifs obsessionnels comme le lavage très fréquent des mains par exemple ;
    • Ils sont effrayés à l’idée d’oublier un médicament comme de l’aspirine en sortant de chez eux, ce qui le cas échéant est une grande source d’angoisse ;
  • Ont une très bonne hygiène de vie pour ne pas que des excès, comme l’abus d’alcool, engendrent des symptômes ;
  • Sont admiratifs du milieu médical ou au contraire le détestent ;
  • Ont peur de mourir.

Pendant combien de temps une personne peut souffir de l’hypocondrie ?

La personne souffrant d’hypocondrie peut être encline à s’inquiéter pendant des mois, voire des années, de sa santé. Cependant, elle peut aussi être capable de passer de longues périodes sans même y penser.

Les personnes souffrant de troubles temporaires sont moins susceptibles de souffrir de problèmes psychiatriques ou de troubles anxieux graves, et sont plus susceptibles de souffrir de problèmes médicaux.

La guérison est plus fréquente chez ceux qui ont un meilleur niveau socio-économique. Si un patient souffre d’anxiété ou de dépression, et qu’il répond bien au traitement, il a également plus de chances d’obtenir des résultats positifs.

Comment aider un hypocondriaque ?

Dialoguer pour diminuer l’angoisse

Être hypocondriaque impacte la vie personnelle et professionnelle. Ce trouble narcissique engendre un isolement dû à :

  • L’incompréhension de l’entourage ;
  • L’incompréhension de l’hypocondriaque face aux comportements des autres à son égard.

Ceci renforce l’anxiété et peut conduire à de réelles maladies cardiaques, métaboliques ou mentales.

La meilleure solution consiste à trouver de l’aide auprès d’un psychothérapeute. Mais dans ce contexte de trouble de l’égo, il est très difficile de convaincre une personne souffrant d’hypocondrie de consulter. Il faut parvenir à diminuer l’angoisse, être compréhensif mais ne pas l’encourager. C’est ici que l’entourage et le médecin généraliste ont un rôle à jouer. Ils doivent par le dialogue amener l’hypocondriaque à comprendre qu’il est bien malade mais pas de la maladie physique à laquelle il pense. Lorsque ce premier pas est franchi, des traitements sont possibles.

Aider par des traitements

  • La psychothérapie cognitivo-comportementale : pratique visant à modifier positivement les croyances et pensées négatives ;
  • L’inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine : pour lutter contre la dépression ;
  • L’aide psycho-éducationnelle : consiste à trouver les mots et le moment pour aider le patient à reconnaître sa maladie ;
  • La thérapie familiale ;
  • La thérapie corporelle comme la sophrologie ;
  • Les approches psychanalytiques pour retrouver l’origine et le sens des craintes ;
  • Les médecines douces, comme la phytothérapie ;
  • La relaxation et la méditation ;
  • Toutes les médecines parallèles permettant de lutter contre le stress, comme le magnétisme par exemple.

Si vous souffrez de cette maladie ou qu’une personne de votre entourage en souffre faites-vous aider. Consultez un médecin qui sera plus à même d’engager le dialogue qui mènera sur le chemin de la guérison pour une vie libérée des lourdes contraintes de cette redoutable maladie.

La santé de l’habitat

La santé de l’habitat au service de votre bien-être

Il n’est pas rare que certaines personnes ressentent des sensations particulières lorsqu’elles sont chez elles, alors que c’est le lieu où l’on doit pouvoir se sentir bien, en sécurité pour se reposer, se retrouver en famille. Elles prennent conscience que quelque chose ne va pas dans leur habitat. Cela peut être une sensation de mal-être, mais aussi une fatigue chronique, une maladie inexpliquée, des disputes récurrentes, des problèmes matériels ou financiers qui perdurent…

Plusieurs explications, lorsqu’on a écarté la raison médicale, peuvent être avancées en lien avec le lieu de vie : les souffrances des précédents habitants, la présence d’âmes errantes, des problèmes d’aménagements ou de construction… Cela crée un déséquilibre énergétique qui doit être harmonisé pour que vous vous sentiez mieux chez vous.

Plusieurs intervenants s’occupent de la santé de l’habitat pour assurer votre bien-être comme le sourcier, le géobiologiste, le thérapeute en Feng Shui, le magnétiseur ou encore le spécialiste en Vastu Shastra.

Après avoir vu ce qui peut nuire à votre bien-être au sein de votre habitat, nous nous intéresserons aux différents intervenants capables de lui redonner la santé et la vôtre !

 

Votre habitat joue sur votre bien-être

Quelles énergies dans votre habitat ?

Votre lieu de vie a une influence sur votre bien-être. Les énergies en présence se trouvent sur le plan physique avec l’énergie tellurique, le plan psychique avec les énergies “subtiles” électriques, magnétiques et des mémoires et sur le plan spirituel avec l’énergie cosmique.

Quels bénéfices à harmoniser les énergies ?

En cas de problèmes récurrents du type fatigue, disputes… ou si vous emménagez ou faites construire, pensez à harmoniser l’énergie de votre habitat qui agira sur :

  • Votre santé physique, mentale et émotionnelle ;
  • Vos liens avec les personnes vivant sous le même toit : conjoint, enfants… ; 
  • Votre capacité à faire des projets et les mener à bien ;
  • Votre vie sociale ;
  • Votre sommeil ;
  • Votre prospérité.

Comment harmoniser les énergies ?

Voici une liste non exhaustive qui dépend du praticien qui intervient sur votre habitat et de ses ressentis ainsi que des vôtres :

 

  • Le nettoyage énergétique ;
  • La neutralisation des ondes nocives ;
  • Les techniques du Feng Shui ;
  • L’augmentation du niveau vibratoire d’un lieu : circulation de l’eau, de la lumière ;
  • La revitalisation en protégeant la maison contre le bruit, les vibrations électromagnétiques : wifi, pylônes… ;
  • La revitalisation par les couleurs, le choix de mobilier, les tissus naturels…

 

 

Des pratiques et des praticiens de la santé de l’habitat pour retrouver votre bien-être

Le Feng Shui, une philosophie ancestrale chinoise

Le Feng Shui est un système philosophique chinois qui s’appuie sur la conception taoïste du monde, les relations entre le monde visible et invisible pour occuper l’espace de manière harmonieuse en laissant circuler librement l’énergie vitale : le chi.

Le Feng Shui repose sur deux principes : le principe du yin et du yang et le principe des 5 éléments :

  • Le yin et le yang : l’équilibre entre les polarités féminine (yin) qui symbolise l’inactif, l’ombre, le froid, la nuit et masculine (yang) symbolisant le mouvement, la lumière et l’eau, est nécessaire pour assurer le flux du chi.
  • Les 5 éléments : ils sont liés dans un cycle parfait ainsi l’eau nourrit le bois, le bois nourrit le feu, le feu réduit en cendres nourrit la terre, la terre d’où se forment les minéraux donnant le métal qui, chauffé, devient de l’eau.

 

Selon ces principes, un lieu a une influence sur les êtres vivants qui l’habitent. Ainsi, dans la maison, les meubles, la circulation de la lumière et de l’eau et les objets de décoration ne doivent pas être choisis, ni placés à la légère pour influer positivement sur les occupants.

Par exemple, dans la chambre, il faudra favoriser l’élément terre en évitant les lumières vives, en préférant les couleurs ocres, en mettant le lit loin de la porte pour éviter que le vent n’assèche la terre.

Le Feng Shui permet un aménagement harmonieux de son intérieur, une rénovation éclairée, le choix de l’emplacement des pièces lors d’une construction et tout cela pour apporter le bien-être dans la vie personnelle : image de soi, performance, échanges affectifs, santé…

Le praticien de Feng Shui est un spécialiste, il se sert d’un « bagua », un diagramme qui cartographie les parties du logement et il est capable de savoir de quelle manière elles influencent l’état émotionnel et psychique des habitants. Le « bagua » s’utilise avec une boussole et chaque direction a un sens, le sud-est est propice à l’ouverture aux autres par exemple. Le Feng Shui est un véritable art empreint de techniques que l’on retrouve en géobiologie notamment.

La géobiologie, l’énergie de la terre

La géobiologie permet d’harmoniser l’énergie d’un lieu pour qu’il soit favorable à ses occupants : humains, animaux et plantes.

Elle étudie pour ce faire les ondes liées aux champs magnétiques et électriques, aux courants d’eau souterrains, aux réseaux telluriques, aux failles géologiques… Formée de géo, la terre, de bio, la vie, et de logie, l’étude, cette discipline étudie l’influence des énergies physiques, psychiques et spirituelles.

Le géobiologiste éloigne les sources de pollution électromagnétique tangible comme le wifi et celles sur lesquelles on ne peut pas agir directement comme les lignes hautes tensions par exemple. Il assainit les nuisances géobiologiques et nettoie votre habitat des énergies subtiles notamment les énergies des mémoires.

Le sourcier, l’énergie de l’eau

Tout le monde le sait, l’eau est indispensable à la vie. Ce que l’on sait moins, c’est que lorsqu’elle est souterraine, elle exerce une grande influence sur les êtres vivants : humains, animaux et végétaux. Généralement le sourcier utilise une baguette en bois de noisetier en forme de fourche, mais souvent il est capable de ressentir les sources sans cette baguette. Lorsque les deux parties formant la fourche se rapprochent, cela indique une ligne d’eau. Il n’est pas rare de voir sur une ligne d’eau des bâtiments fissurés ou des arbres penchés, comme s’ils subissaient ou évitaient l’eau.

Les sourciers sont des géobiologistes. Ils ont constaté que les lieux situés à l’aplomb de croisements de lignes d’eau sont géopathogènes. Sous une habitation, elles ont un impact réel sur les occupants plus ou moins important en fonction de leur sensibilité.

N’oublions pas que nos ancêtres faisaient appel aux sourciers avant d’implanter un village et que les bergers cherchaient les lignes d’eau pour ne pas rester longtemps avec leurs bêtes dans un endroit nocif.

Le magnétiseur spécialisé dans la géobiologie

Le magnétiseur spécialisé dans l’énergie de l’habitat rétablit l’harmonie énergétique comme il le fait sur les êtres vivants : humains et animaux. Intervenir sur la personne et l’habitat sont deux gestes complémentaires puisque les énergies circulent dans l’un comme dans l’autre.

Le magnétiseur géobiologiste va étudier l’environnement de l’habitat sur 3 plans :

  • L’énergie tellurique : de la terre ;
  • L’énergie électromagnétique : les ondes basses et hautes fréquences ;
  • L’énergie des mémoires : des événements passés.

Le spécialiste en Vastu Shastra

Le Vastu Shastra, de tradition indienne, signifie en sanskrit, la science de la maison. Il mêle Feng Shui et géobiologie. C’est un art ancestral holistique qui met en symbiose architecture et nature, environnement et conscience. Ainsi dans la construction des bâtiments sont étudiés : l’emplacement, les chemins d’accès, l’orientation, les matériaux, la décoration, les proportions, l’orientation selon les points cardinaux… en respectant l’équilibre énergétique.

 

Pour conclure, nous pouvons constater que chaque pratique fait intervenir la géobiologie. On ne s’improvise pas géobiologiste, des connaissances et des capacités à ressentir sont nécessaires. N’hésitez pas à faire appel à l’un des praticiens nommés ou d’autres qui seraient spécialisés en géobiologie si vous ressentez quelque chose d’anormal dans votre logement. Soyez à votre écoute… et prenez soin de vous !

Les vertiges, étourdissements : causes, symptômes, diagnostics et traitements

Le vertige est un trouble de l’équilibre dont souffre 1 personne sur 7. Les personnes concernées utilisent souvent l’expression « J’ai la tête qui tourne » à juste titre puisque c’est exactement la sensation ressentie : tout se met à tourner autour d’elles.

Il est important de faire la distinction entre le malaise et le vertige « vrai » qui provoque une sensation de déplacement du corps dans l’espace avec mouvement de rotation et perte d’équilibre.

Le vertige est parfois invalidant et entraîne une grande anxiété provoquant une véritable gêne dans la vie quotidienne et au travail. C’est pourquoi la cause du vertige qui n’est qu’un symptôme doit être absolument diagnostiquée afin de trouver le traitement adapté.

Pour tout savoir des vertiges : causes et traitements, lisez l’article !

Qu’est-ce que le vertige ?

Le vertige est un terme qui décrit toute une série de sensations, telles que l’instabilité, l’étourdissement, la faiblesse ou l’évanouissement. Il s’agit d’une sensation que la plupart des gens peuvent ressentir de temps en temps. Ils sont rarement le signe d’un problème grave.

L’étourdissement est la sensation de tête légère, de vertige ou de déséquilibre. Ils sont liés aux organes sensoriels, notamment les yeux et les oreilles, et peuvent donc parfois provoquer des évanouissements. Les étourdissements ne sont pas une maladie en soi, mais plutôt un symptôme de divers troubles.

Les étourdissements peuvent survenir lorsque vous êtes en mouvement, immobile ou allongé. Lorsque vous avez des vertiges, vous pouvez vous sentir :

  • Faible
  • Étourdi
  • Nauséeux
  • Instable
  • Étourdi.

Les causes des vertiges

Les causes des vertiges sont nombreuses : des problèmes d’oreille interne, le mal des transports, ainsi que des médicaments peuvent en être la cause. Parfois, c’est le résultat d’un problème de santé sous-jacent comme une infection, une mauvaise circulation ou des blessures.

La façon dont vous vous sentez et les déclencheurs des vertiges donnent des indices sur la cause possible. La durée des vertiges ainsi que les autres signes que vous pouvez présenter peuvent aider à en déterminer la cause.

Le vertige a plusieurs causes possibles :

  • Le système vestibulaire situé au niveau de l’oreille interne, associé à la vue et la sensibilité proprioceptive, la capacité à situer notre corps dans l’espace, permet l’équilibre. Son dysfonctionnement, engendrant des vertiges, peut être dû à :
  • Une infection du labyrinthe, secondaire à une infection de l’oreille comme l’otite chronique ;
  • La maladie de Ménière ;
  • Une inflammation du nerf ;
  • Des troubles des vaisseaux irriguant l’oreille ;
  • Un traumatisme de l’oreille interne ;
  • Des causes toxiques ou à cause de médicaments. 
  • Une complication cérébrale ou neurologique qui entraîne des vertiges dits centraux dus à :
  • Une diminution de vascularisation des structures cérébrales responsables de la posture ;
  • Une tumeur.
  • Le vertige ou malaise d’origine psychologique résultant d’une grande anxiété comme par exemple l’agoraphobie.

Quels sont les symptômes des vertiges ?

Si vous avez des vertiges ou si vous êtes victime d’une crise de vertige, vous vous sentez généralement étourdi, instable ou déséquilibré et vous pouvez également vous sentir faible. Vous pouvez également avoir l’impression que vous allez vous évanouir. Si vous avez l’impression que le monde tourne ou bouge, il s’agit d’un vertige.

Les personnes qui ont le vertige peuvent ressentir diverses sensations, notamment :

  • des étourdissements ou des évanouissements
  • une fausse impression de rotation
  • instabilité
  • une perte d’équilibre
  • une sensation de flottement

Parfois, les étourdissements s’accompagnent de nausées, de vomissements ou d’évanouissements. Demandez une aide médicale d’urgence si vous présentez ces symptômes pendant une période prolongée.

Les vertiges : diagnostic et traitements

Quand consulter ?

  • Appelez immédiatement le service d’aide médicale d’urgence (SAMU) en composant le 15 ou le 112 si vous avez des vertiges ou quelqu’un de votre entourage :
    • Suite à un traumatisme crânien ;
    • En cas de doute sur l’état du système de chauffage au gaz, au mazout ou au charbon ;
    •  En cas de diabète associé à une prise d’insuline.
  • Consultez un médecin dans la journée :
    • Si les vertiges sont accompagnés de maux de tête, d’acouphènes, de paralysie, de vomissements, d’un comportement étrange.
  • Consultez un médecin dans les jours qui viennent :
    • Lorsque les vertiges se prolongent plusieurs heures ou sont récurrents ;
    • Si les vertiges surviennent suite à la prise d’un nouveau traitement médical.

Comment le diagnostic du vertige est-il posé ?

Le médecin questionne le patient sur l’apparition des vertiges, sur leur fréquence, sur leur durée, sur les éléments déclencheurs, s’il y a eu des chutes, sur les impressions ressenties et les antécédents éventuels. Un examen clinique des conduits auditifs, du tympan, de l’équilibre, du mouvement des yeux est effectué. Des examens complémentaires tels qu’une analyse de sang, un examen auditif, un bilan cardiaque, un scanner ou IRM de l’oreille interne peuvent s’avérer utiles. Parfois, un examen neurologique complet doit être réalisé. Le but étant de déterminer si la cause est un dysfonctionnement du système vestibulaire ou si elle résulte d’une complication cérébrale ou neurologique.

Quels sont les traitements possibles contres les vertiges ?

En fonction des causes, le traitement diffère bien évidemment.

  • En cas de suspicion d’Accident Vasculaire Cérébrale (AVC), l’hospitalisation d’urgence permet une prise en charge immédiate du patient.
  • Si la cause est curable, le traitement peut être chirurgical.
  • Si la cause est incurable, ce sont les symptômes qui sont visés par le traitement : le repos dans le noir et dans le calme, les anti vertigineux souvent par voie intraveineuse lente, des vasodilatateurs ou d’’autres médicaments agissant sur les structures vestibulaires de l’oreille comme des antihistaminiques calmants, des antiémétiques contre les nausées et vomissements, des médicaments tranquillisants pour lutter contre l’anxiété.
  • Pour soulager les vertiges engendrés par l’anxiété ou l’anxiété créée par les vertiges, les médecines parallèles comme le magnétisme peuvent être d’une grande aide.

Si vous êtes sujet à des vertiges, ne tardez surtout pas à consulter votre médecin. Et si vous souffrez de stress à cause de vertiges, n’hésitez pas à me contacter.

Conseils pour gérer les vertiges

Utilisez ces suggestions si vous souffrez d’épisodes fréquents de vertiges :

  • Détendez-vous ou allongez-vous immédiatement dès que vous commencez à ressentir des étourdissements, et faites une pause jusqu’à ce que les étourdissements disparaissent. Cela vous évitera de devenir instable et de vous blesser ou de tomber.
  • Utilisez un déambulateur ou une canne pour vous stabiliser, si nécessaire.
  • Faites des exercices pour améliorer votre équilibre, comme le sport.
  • Évitez de faire des changements ou des mouvements brusques.
  • Ne conduisez pas de véhicule et n’utilisez pas de machines lourdes si vous ressentez fréquemment des vertiges qui ne sont pas accompagnés d’avertissement.
  • Ne buvez pas de l’alcool, de la caféine et du tabac. La consommation de ces substances pourrait provoquer des étourdissements ou les aggraver.
  • Buvez beaucoup d’eau et passez une bonne nuit de sommeil. La capacité de rester calme dans des situations stressantes pourrait vous aider.
  • Si vous pensez qu’un médicament est à l’origine de vos étourdissements, discutez avec votre médecin de la possibilité de réduire la dose ou de passer à un autre médicament.
  • Détendez-vous dans un endroit frais et buvez des liquides si vos étourdissements sont dus à la surchauffe ou à la déshydratation.

Consultez toujours un médecin si vous êtes préoccupé par la fréquence ou la gravité de vos étourdissements.

Comment lutter contre la crise d’Herpes ?

Les deux types d’herpès : symptômes et traitements de ce virus contagieux

 

L’herpès de son nom scientifique Herpès Simplex Virus (HSV) est une maladie virale. Elle apparaît sur la peau et les muqueuses. Il est présent chez quasiment toute la population et se réveille de manière sporadique en fonction de certains facteurs. On appelle cela une poussée d’herpès.

Les virus Herpès Simplex humains (HSV) sont groupés en deux types : HSV-1 et HSV-2.

HSV-1 est généralement associé à des lésions cutanées de la peau et des muqueuses du visage, on parle souvent d’herpès labial mais il peut se localiser ailleurs, notamment au niveau des parties génitales. HSV-2 se rencontre principalement lors d’atteinte des zones génitales.

La relation entre la localisation et le type de virus n’est pas absolue. C’est pourquoi, nous allons détailler dans cet article les deux types d’herpès pour bien identifier leurs caractéristiques, leurs symptômes et leurs traitements.

 

L’herpès de type 1 : infection labiale mais pas que…

L’herpès HSV-1 est une infection extrêmement contagieuse contractée durant l’enfance et qui perdure toute la vie. En 2016, l’OMS (Organisation mondiale de la santé) estimait à plus de 3,7 milliards le nombre d’individus de moins de 50 ans touchés par l’herpès de type 1. Environ 80 % des Français portent le virus HSV1 mais seulement 20 % ont des poussées d’herpès labial.

 

Les symptômes et complications

Ils se caractérisent d’abord par la sensation de picotements et/ou de brûlures, et de démangeaisons. Ensuite, des lésions vésiculaires ou ulcéreuses groupées apparaissent, ce sont des petites plaies ouvertes que l’on appelle fréquemment « boutons de fièvre » lorsqu’ils sont localisés sur le visage mais ils peuvent aussi se situer au niveau génital et anal.

Cependant, l’herpès de type 1 peut aussi être asymptomatique, et comme la transmission se fait par contact direct et plus rarement lors d’un accouchement d’une mère à son enfant, on comprend alors sa grande propagation.

La récidive de l’herpès de type 1 est fréquente sur le visage et plus rare dans la partie basse du corps.

Cette infection a un impact psychologique car outre la douleur qu’il provoque, il faut supporter le regard des autres et l’absence de contact physique.

Les personnes souffrant d’un déficit immunitaire sont plus exposées aux récidives fréquentes et aux complications plus graves comme des encéphalites, une inflammation du cerveau, ou des infections oculaires appelées kératites.

 

Des facteurs favorisent la poussée d’herpès labial : le stress, l’exposition au soleil, les règles, la fièvre, une intervention chirurgicale, une infection…

 

Localisation

Localisée sur le pourtour de la bouche, elle peut cependant se développer ailleurs : dans le nez, autour des yeux par exemple ou sur les parties génitales et anales plus rarement. Il est important de consulter un médecin pour éviter les complications et avoir un traitement adapté. Même en cas de bouton de fièvre dit classique, il faut consulter s’il ne disparaît pas au bout de 10 jours.

 

Les bons gestes en cas d’herpès labial

  • N’embrassez personne ;
  • N’ayez pas de rapport sexuel bucco-génital ;
  • Ne touchez pas les lésions ;
  • Ne vous frottez pas les yeux ;
  • Lavez-vous fréquemment les mains ;
  • Évitez d’approcher les bébés ;
  • Ne partagez pas votre linge ;
  • Éviter les sports de contact ;
  • Ne désinfectez pas la plaie avec une substance contenant de l’alcool ;
  • N’utilisez pas de crème avec de la cortisone ;
  • Éviter le maquillage.

 

Le traitement

Votre médecin vous prescrira un médicament antiviral local, oral ou injectable en fonction de la gravité des symptômes causés par le virus Herpès de type 1. Il est cependant recommandé de commencer le traitement dès l’apparition des premiers symptômes : picotements, démangeaisons. La douleur peut être calmée par un antalgique comme du paracétamol et une solution antiseptique sans alcool peut être utilisée en application locale.

 

L’herpès de type 2 : l’herpès génital

L’herpès de type 2 se transmet sexuellement et crée une infection génitale. 

Selon l’OMS, l’herpès génital à HSV-2 atteignait 491 millions de personnes dans le monde en 2016. Le nombre de cas augmente avec l’âge.

 

Les symptômes de l’herpès de type 2

Le plus souvent cette infection est asymptomatique ou provoque des symptômes bénins qui n’amènent pas les personnes touchées à consulter.

Les symptômes, quand ils sont présents, se traduisent par des lésions vésiculaires ou ulcéreuses dans la région génitale ou anale, avec le plus souvent de la fièvre, des douleurs et une inflammation des ganglions voisins. Avant ces symptômes, il est possible de ressentir des picotements ou sensations d’élancement dans les jambes, les hanches ou les fesses.

Le risque de récidive est élevé mais avec des symptômes plus légers.

Les symptômes et le diagnostic de la maladie, contraignant à l’abstinence sexuelle, engendrent généralement une souffrance psychologique.

 

HSV-2 et VIH

Il a été démontré un lien entre le virus HSV-2 et celui du VIH, en effet une infection à l’herpès de type 2 multiplie par 3 le risque de contracter une infection VIH. De plus, une personne souffrant des deux virus a plus de risque de transmettre le VIH. Le HSV-2 est présent chez 60 à 90% des individus séropositifs et lorsque le stade de l’infection est avancé, les complications peuvent être graves : méningo-encéphalite, hépatite, pneumonie… 

Prévenir l’herpès génital et éviter les facteurs favorisant

Comme pour le virus HSV-1, la fatigue, le stress, la fièvre, les règles, les rapports sexuels, les rayons UV, les traitements à la cortisone, la chimiothérapie, l’excès d’alcool favorisent une poussée d’herpès de type 2. Connaître ces facteurs favorisants permet d’agir au mieux pour éviter une poussée.

Comme il n’existe pas de vaccin, voici quelques conseils préventifs pour ne pas être contaminé et ne pas infecter les autres : utiliser un préservatif, se laver les mains, ne pas toucher les plaies, ne pas partager son linge de toilette.

Il est très important de consulter un médecin en cas de doute.

 

Les traitements contre l’herpès de type 2

Comme pour l’herpès de type 1, il n’y a pas de traitement contre le virus mais seulement contre ses symptômes. Le diagnostic fait par le médecin peut être complété par un prélèvement au niveau des lésions pour confirmer la présence du virus. Un traitement antiviral oral qui peut varier entre 10 jours et plusieurs mois sera prescrit par votre médecin. Des antalgiques et antiseptiques seront utilisés durant une poussée.

 

L’herpès, qu’il soit de type 1 ou 2 est extrêmement contagieux, souvent douloureux et impactant psychologiquement. Vous pouvez faire appel aux médecines alternatives pour agir sur les facteurs favorisant une poussée, notamment le stress. Ainsi, le magnétiseur pourra soulager votre douleur, sans toutefois faire disparaître le virus. Si vous souffrez d’herpès, n’hésitez pas à me contacter.

L’Arthrose en question : Causes ? Symptômes ? Traitements ?

L’arthrose ou ostéoarthrite est la maladie articulaire chronique la plus répandue. Elle détruit le cartilage et provoque des douleurs soutenues aux articulations.

Nous répondrons dans cet article à plusieurs questions que vous vous posez sans doute :

Qu’est-ce que l’arthrose ? Quelles sont les causes et les symptômes des différentes formes d’arthrose ? Et enfin quels sont les traitements pour lutter contre l’arthrose ?

Qu’est-ce que l’arthrose ?

L’arthrose est une maladie articulaire très répandue qui se caractérise par une dégénérescence du cartilage, mais pas seulement. En effet, elle s’étend à toutes les structures de l’articulation : les ligaments, les muscles, l’os et le tissu synovial.

Le cartilage entoure les extrémités osseuses d’une articulation pour leur permettre de glisser l’une sur l’autre. Lorsque le cartilage est abîmé voire complètement détruit, cela crée une douleur et une perte de mobilité.

Quelles sont les causes et les facteurs favorisant l’arthrose ?

Les facteurs de risque de cette pathologie sont bien connus :

  • L’âge : l’arthrose concerne 3% des moins de 45 ans, 65 % des plus de 65 ans et 80 % des plus de 80 ans ;
  • Des faiblesses causées par un diabète ou l’obésité ;
  • Une surcharge pondérale ;
  • Le port répété de charges lourdes ;
  • Une activité physique intense ou mal gérée en pratiquant un sport ou au travail ;
  • Des maladies articulaires déjà engagées : la chondrocalcinose, l’ostéonécrose ou la polyarthrite rhumatoïde par exemple ;
  • Des traumatismes passés comme une fracture articulaire, une entorse mal soignée, une luxation, l’ablation du ménisque… 
  • L’hérédité dans certains cas, notamment pour l’arthrose des mains ;
  • Des articulations naturellement mal axées, comme pour des personnes qui ont les genoux tournés vers l’intérieur ou l’extérieur par exemple ;
  • Une activité physique réduite ;
  • Le port de talons hauts, notamment pour l’arthrose du genou.

Les causes sont donc multiples. Voyons maintenant les symptômes occasionnés par l’arthrose :

Quels sont les symptômes de l’arthrose ?

Les symptômes de l’arthrose sont légers au départ puis s’intensifient avec le temps. Soyez vigilant et à l’écoute de votre corps pour déceler si vous souffrez d’arthrose.

  • Une douleur
    • lorsque l’articulation est sollicitée
    • lorsqu’on appuie légèrement sur l’articulation
  • Une raideur
    • au réveil ou après une période sans mouvement, les mouvements sont difficiles comme bloqués
    • l’articulation est de moins en moins flexible au cours du temps
  • Un inconfort
    • lors de changements de température
    • des craquements sensibles
    • l’apparition d’excroissances osseuses au niveau de l’articulation
  • Une inflammation
    • rougeur
    • gonflement

Ces symptômes s’appliquent aux différentes articulations même si certaines sont plus fréquemment touchées que d’autres.

Quelles sont les différents types d’arthrose ?

On parle d’arthrose primaire lorsque la personne touchée ne présente pas de prédisposition à priori. A contrario, on va parler d’arthrose secondaire lorsque le patient souffre de pathologies qui prédisposent à l’arthrose : les maladies inflammatoires qui touchent les articulations, l’arthrite rhumatoïde, la goutte, le lupus… , les maladies métaboliques comme le diabète par exemple ou encore des traumatismes et des chirurgies sur une articulation.

Les différents types d’arthrose sont directement liés à l’articulation en souffrance, par ordre de fréquence on trouve :

  1. L’arthrose cervicale aussi appelée cervicarthrose : cette forme d’arthrose est la plus fréquente, plus de 70 % de personnes dans la tranche d’âge 65-75 ans en souffre. Elle est liée au poids de la tête sur les vertèbres, elle peut entraîner des migraines importantes.
  1. L’arthrose des doigts ou arthrose digitale : elle entraîne une déformation irréversible des doigts et touche plus particulièrement les femmes ;
  1. L’arthrose du genou, aussi appelée gonarthrose.
  1. L’arthrose de hanche ou coxarthrose.
  1. L’arthrose des épaules, des chevilles, des pieds, des poignets, des coudes est moins fréquente et se manifeste en fonction d’une activité physique intense.

Quel traitement pour lutter contre l’arthrose ?

Les traitements, d’abord uniquement symptomatiques, ont évolué grâce à la recherche qui développe des solutions pour enrayer la progression de l’arthrose. Nous allons faire le tour des traitements possibles qu’ils soient médicamenteux ou non et chirurgicaux. Mais d’abord intéressons-nous à l’évolution de la maladie.

L’arthrose : une évolution imprévisible

C’est en faisant une radiographie que le diagnostic est établi ainsi que le suivi de l’évolution pour adapter le traitement.

L’évolution est imprévisible car elle peut être très lente et n’engendrer aucune perte de mobilité ou au contraire rapide.

Le caractère imprévisible se manifeste aussi par ces deux états qui se succèdent de manière aléatoire :

  • Une phase chronique avec une douleur faible à modérée qui n’entraîne pas forcément de gêne mais durant laquelle il est préférable de garder une activité physique normale ;
  • Un état de crises lié à une inflammation avec des douleurs aiguës pendant lequel les articulations concernées doivent rester au repos.

Le traitement préventif ou limitant

Voici quelques conseils en prévention ou pour limiter l’arthrose :

  • Garder un poids de forme
  • Grâce à l’indice de masse corporelle ou IMC vous pouvez calculer votre poids de forme. Entre 20 ans et 30 ans, chaque 8 kg au-dessus du poids de forme induit 70 % de risque de souffrir d’arthrose plus tard. L’obésité provoque une usure prématurée des articulations des genoux.
  • Pratiquer une activité physique
  • En pratiquant une activité physique régulière, vous maintenez votre bonne santé. Les muscles sont renforcés et les articulations bien oxygénées.
  • Veiller à ses articulations
  • En évitant les gestes répétitifs et intenses, les risques de blessures, le port de charges lourdes vous protégez vos articulations.
  • Rendez votre vie plus pratique : aidez-vous de rampes, mettez les objets dont vous vous servez souvent à portée de main, utilisez une canne si besoin, portez des semelles adaptées…
  • Évitez la position statique et adoptez une bonne posture : tenez-vous bien droit pour protéger les articulations de votre cou, de votre colonne vertébrale, de vos hanches et de vos genoux.
  • Soigner les maladies articulaires
  • Si vous souffrez d’une pathologie articulaire, assurez-vous d’un suivi médical régulier et d’un traitement adapté.

Les traitements symptomatiques

Actuellement les traitements agissent sur les symptômes, les douleurs et les raideurs des articulations, mais malheureusement pas sur les causes de l’arthrose. Ainsi, on trouve des traitements médicamenteux et des traitements proposés par les médecines parallèles.

Les traitements médicamenteux

Les antalgiques, dont le paracétamol, sont prescrits en cas de douleurs légères à modérées. Puis en cas de poussées inflammatoires, des anti-inflammatoires non stéroïdiens sont administrés par voie orale ou en pommades ou encore en gel. 

En cas de douleurs fortes, votre médecin pourra vous prescrire une infiltration de corticoïdes c’est-à-dire une injection d’anti-inflammatoires directement dans l’articulation en souffrance.

D’autres traitements comme l’injection d’acide hyaluronique ou le lavage avec du sérum physiologique de l’articulation pour la débarrasser des débris cartilagineux, existent mais leur efficacité reste à prouver. 

Pour les cas d’arthrose les plus avancés, le médecin préconisera une chirurgie : l’arthroplastie. Elle consiste à la mise en place d’une prothèse de hanche ou du genou pour pallier un handicap sévère dû à l’arthrose.

Les traitements non médicamenteux

  • La physiothérapie ;
  • L’acupuncture ;
  • L’hydrothérapie ; 
  • L’homéopathie ;
  • Les insaponifiables d’avocat et de soya : ce sont des substances extraites de l’avocat et du soya qui améliorent les fonctions articulaires du genou ou de la hanche ;
  • La magnétothérapie ;
  • Les sangsues : utilisées contre la douleur depuis l’Antiquité puis délaissées au milieu du XIXe siècle, elles sont toutefois encore employées dans les médecines traditionnelles d’Asie, d’Afrique et des pays arabes ;
  • Le yoga ;
  • Le magnétisme ;
  • La stimulation électrique transcutanée ou TENS : il s’agit d’un appareil générant un courant électrique de faible intensité qui est transmis aux nerfs par des électrodes placées sur la peau ;
  • Le tai-chi ;
  • La massothérapie : pour favoriser aussi la circulation sanguine et lymphatique.

Des traitements prometteurs en cours de recherche

De nouveaux traitements luttant contre la cause de l’arthrose sont en cours. Les recherches actuelles portent sur des molécules d’une part capables de lutter contre l’inflammation et stimuler la production de cartilage ou d’os et d’autre part, aptes à remplacer le cartilage altéré.

Même si les recherches pour lutter contre l’arthrose semblent prometteuses, pour l’instant seuls les symptômes de douleurs et de raideurs sont apaisés. N’hésitez pas à faire appel à moi pour soulager vos symptômes en cas d’arthrose.

Maux d’estomac : Pourquoi ? Comment aller mieux ?

Les maux d’estomac sont fréquents, qui n’en a jamais eu ? Les symptômes diffèrent et révèlent des causes distinctes. Souvent d’origine bénigne, les douleurs à l’estomac ou douleurs gastriques peuvent avoir des causes sérieuses qu’il faut bien diagnostiquer pour se faire soigner et ne plus être perturbé par la gêne qu’elles occasionnent.

Nous allons voir ensemble les symptômes et les causes des maux d’estomac. Nous verrons ensuite que faire pour aller mieux.

Les symptômes : est-ce bien un mal d’estomac ?

Avant toute chose, il est important de bien différencier le mal à l’estomac d’une autre douleur abdominale. L’estomac est situé dans le haut de l’abdomen au niveau de l’épigastre, au-dessus du nombril. Mais d’autres organes sont situés dans cette zone, le gros intestin et le pancréas, alors ce n’est pas évident de faire le bon diagnostic.

Voici les symptômes en cas de douleurs gastriques :

  • Des crampes ou des spasmes à l’estomac : ce sont des contractions douloureuses des muscles de l’estomac ;
  • Des brûlures ou des reflux gastriques : caractérisées par des remontées acides le long de l’œsophage jusqu’au fond de la gorge, elles provoquent une sensation de brûlure ;
  • Des nausées ;
  • Des ballonnements à l’estomac et abdominaux : le ventre est gonflé à cause de gaz coincés dans l’intestin et l’estomac qui entraînent des éructations et des flatulences.

Les causes : pourquoi a-t-on mal ?

Le plus souvent les maux d’estomac sont liés à des troubles digestifs. Après un repas copieux, trop arrosé, mal équilibré ou en cas de changement de régime alimentaire par exemple, il en résulte une mauvaise digestion, ou dyspepsie. Ces maux ne sont pas inquiétants et disparaissent assez vite. Il s’agit de ballonnements, de reflux gastriques ou de crampes le plus souvent.

Par contre, lorsque les douleurs sont persistantes et répétées, les causes sont généralement plus sérieuses. La première d’entre elles est le stress. Il est responsable de bien des maux comme l’eczéma lien, l’urticaire lien, le mal de dos, les insomnies lien… et aussi de douleurs gastriques. Mis à part le stress, il peut s’agir d’une maladie d’origine bactérienne ou virale comme la gastrite, la gastro-entérite ou l’ulcère à l’estomac. Enfin, le cancer à l’estomac peut aussi être envisagé. Cette cause est certes extrême, c’est pour cela qu’il est nécessaire de consulter son médecin en cas de douleurs fréquentes, vives, persistantes ou liées à d’autres symptômes comme des nausées, des vomissements, des maux de têtes ou une fatigue générale.

Comment aller mieux ?

Prévenir les maux d’estomac

Des petits conseils simples permettent de prévenir les maux d’estomac liés à la digestion.

  • Mangez équilibré, surtout le soir, en évitant les épices, les aliments gras, acides ou trop sucrés ;
  • Mastiquez, prenez le temps de bien mâcher en mangeant ;
  • Adoptez une bonne hygiène de vie ;
  • Limitez les facteurs de stress lien en ayant recours aux médecines alternatives comme la phytothérapie, la méditation, la sophrologie, le magnétisme qui peuvent vous aider à mieux gérer votre stress.

Traitements médicamenteux

C’est le pharmacien en cas de causes bénignes ou pour des causes plus sérieuses, le médecin généraliste ou le gastro-entérologue qui ayant posé un diagnostic vous préconiseront le traitement médicamenteux adapté.

Ainsi :

  • Contre les crampes ou les spasmes, les antispasmodiques sont préconisés ;
  • Contre les douleurs vives, des antalgiques ou des analgésiques sont prescrits ;
  • Contre les brûlures et les remontées acides, ce sont des antisécrétoires, des antihistaminiques ou encore des inhibiteurs de la pompe à protons qui sont efficaces ;
  • Contre une infection, il faut des antibiotiques.

Les maux d’estomac ne sont pas une fatalité mais doivent tout de même être pris au sérieux. Liés à la digestion, ils passeront avec une meilleure hygiène de vie. Mais lorsque les symptômes sont plus sérieux, un diagnostic médical s’impose.

Dans tous les cas, le magnétiseur peut vous aider à gérer la douleur et votre stress, alors n’hésitez pas à me contacter.