Mon supérieur est un pervers narcissique : comment faire ?

Le pervers narcissique est très difficile à cerner, il s’apparente au harceleur moral mais en plus perfide. À première vue, c’est le supérieur idéal mais à bien y regarder, c’est-à-dire si vous écoutez votre ressenti, vous allez vite comprendre que les choses ne sont pas normales. Vous êtes sous le charme, parce qu’il vous complimente, vous valorise… c’est presque trop beau pour être vrai ! Et puis vous commencez à douter de vous, de vos capacités, vous avez peur de mal faire. Et enfin, vous vous sentez oppressé en sa présence, comme s’il occupait tout l’espace. C’est trois comportements montrent que vous êtes sous son emprise.

Nous passons beaucoup de temps sur notre lieu de travail, ce microcosme influe sur notre vie privée, sur notre santé mentale et notre estime de soi. L’emprise du pervers narcissique peut être tellement forte et malsaine que vous pensez démissionner. Mais, quitter son emploi peut être lourd de conséquence, vous avez sans doute un plan de carrière en tête, et puis… vous aimez votre travail ! 

On ne peut pas vraiment savoir si une personne est perverse narcissique, puisque c’est un trouble psychiatrique, mais des signes tendent à le prouver. C’est pourquoi dans cet article, je vais vous expliquer comment reconnaître un pervers narcissique pour ne pas que vous vous remettiez en question. Et ensuite nous verrons comment travailler avec un supérieur pervers narcissique et ne plus souffrir de sa présence.

Comment reconnaître un supérieur pervers narcissique : 10 signes qui ne trompent pas

Voici les comportements d’un supérieur pervers narcissique :

  1. Séducteur

Il sait vous flatter, mettre en avant votre travail, vous valoriser. Les mots qu’il utilise sont choisis avec soin, des superlatifs, des mots positifs et séducteurs qui rabaissent le monde autour de vous, mais toujours avec discrétion : « Tu comprends tellement plus vite que les autres », « j’ai un plan fantastique ! je vais te mettre dans la confidence… ».

Il complimente mais si on écoute précisément, ces compliments sont génériques, par exemple « Ce que tu as fait est exceptionnel », on ne sait pas vraiment ce qui est exceptionnel…

  1. Victime 

Il se pose en victime. Il fantasme sur d’hypothétiques humiliations et en parle avec emportement, mais finira sur le ton de la plaisanterie pour se rendre crédible auprès de ses interlocuteurs. 

  1. Hypocrite

Quand il choisit une cible, après l’avoir séduite, il va lui rendre la vie insupportable… mais rien n’y paraîtra aux yeux des autres, il saura le faire sans que personne ne s’aperçoive de rien. Ainsi, vous passerez pour un(e) menteur(se).

  1. Violent

Les attaques verbales vont se transformer en violence psychologique. Les humiliations sont constantes mais il sait, en public, jouer de finesse pour que cela passe pour de l’incompétence. S’il se retrouve acculé et qu’il pense que la vérité sur ces agissements peut se savoir, il est tout à fait capable de violence physique.

  1. Manipulateur

Il va réussir à vous isoler de vos collègues, par des moyens perfides mais légitimes notamment grâce à son statut de supérieur. Il pourra vous changer de bureau, oublier de vous prévenir de réunions, mal vous transmettre les informations. Les autres penseront que c’est vous le/la fautif(ve).

Il va s’excuser ou en tout cas dire quelque chose qui s’en apparente pour que vous restiez sous son emprise. Il souffle le chaud et le froid, pour que vous soyez déstabilisé(e). Il utilise des injonctions paradoxales, ainsi il lui est facile de dire que vous vous êtes trompé(e). Ses reproches seront flous de sorte que vous ne sachiez pas vraiment ce que vous avez mal fait.

  1. Vénal

Le pervers narcissique aime l’argent. Il aime le pouvoir et ses attributs. Il vise la promotion pour être encore plus à l’aise et puissant. L’argent est un moteur pour lui.

  1. Presque apathique

Il n’éprouve aucune empathie pour les personnes, pour une cause… Le seul qui l’intéresse c’est lui. Cela va même plus loin, il n’est pas dénué d’émotion car il éprouve du plaisir dans la souffrance des autres, c’est le côté pervers de la maladie. Il n’écoute pas les desiderata ou seulement pour les rapporter à lui et à son expérience. Il doit rester le plus plaint de l’assemblée.

  1. Menteur

C’est évidemment par le mensonge qu’il parvient à ses fins. Il ment pour manipuler, il ment pour se faire valoir, il ment pour se défendre… mais il le fait très bien. C’est une seconde nature.

  1. Paranoïaque

Dites-vous que le pervers narcissique est paranoïaque. Il observe donc une grande vigilance aux comportements des autres, il est constamment dans la défiance. Il se peut même qu’il use de stratagèmes pour vous faire surveiller.

  1. Supérieur

Il est convaincu d’être bien supérieur aux autres. D’ailleurs sa position dans l’échelle professionnelle le conforte dans cette vision. Il brigue des postes plus élevés et met tout en œuvre pour y parvenir. Comme il est au-dessus de vous, il pense avoir autorité pour vous rabaisser.

Comment faire pour travailler avec un supérieur pervers narcissique : conseils pour vous protéger

Voici maintenant comment vous protéger d’un manager pervers narcissique :

  1. Valorisez-le

Allez au-delà de ses attentes professionnelles, ne vous plaignez jamais de lui devant vos collaborateurs. Complimentez-le en public sur ses aptitudes professionnelles. Identifiez ce qui compte pour lui et excellez dans son domaine de prédilection, même si pour vous ça n’a pas grand intérêt.

  1. Restez professionnel(lle)

Restez calme, pas d’insulte, ni de signe de colère. Évitez de lui infliger des blessures narcissiques en remettant en cause ses paroles, ne le heurtez pas même si son comportement peut le justifier. N’oubliez pas qu’il est malade. S’il se retrouve dans une situation où son égo surdimensionné est attaqué, son comportement envers vous va changer irrémédiablement. Personne n’aime être remis à sa place, pour le pervers narcissique qui est paranoïaque ce sentiment sera décuplé.

Comme il se sert de vos émotions pour les retourner contre vous, ne lui faites pas ce plaisir et restez professionnel(lle). Ne racontez pas votre vie privée, ne vous excusez pas, ne vous plaignez pas, ne luis parlez pas de vos difficultés professionnelles ou privées, il pourrait s’en servir notamment pour vous blesser ou faire courir de fausses rumeurs à votre encontre.

C’est votre travail, vous savez pourquoi vous êtes là et ce que vous avez à faire. Faites-le tout simplement et restez concentré(e) sur vos priorités professionnelles. Personne ne pourra vous le reprocher à commencer par vous.

  1. Ne restez pas isolé(e)

Si votre supérieur a réussi à vous couper des autres, essayez vraiment de sortir de cela. Tournez vous vers des collègues d’autres services où il n’intervient pas. Sympathisez avec les clients, les fournisseurs. Vous montrerez ainsi que votre vie professionnelle ne tourne pas seulement autour de lui.

  1. Contrez ses humiliations

Rappelez-lui poliment que vous n’êtes pas à votre poste par hasard, que vos capacités sont reconnues, que vous avez mené à bien des missions que vous citez. En un mot, valorisez vos compétences pour le contrer et pour vous rassurer sur votre professionnalisme. Montrez-lui que vous avez confiance en vous.

  1. Restez factuel et fixez les limites

Si vous êtes en confrontation directe avec lui, acceptez la remarque en fixant la limite. Par exemple : “J’ai bien compris ce que vous me reprocher, je vais y remédier. Merci.” Et vous partez. Ainsi vous acceptez la remarque et vous coupez court.

Montrez-lui que vous ne le craignez pas, que ses paroles ne vous atteignent pas :

  • Il vous humilie en public ? Faites remarquer en réunion que ce comportement ne convient pas.
  • Il vous félicite puis vous rabaisse ? Gardez les traces écrites de ses changements d’humeur, mails, entretiens…
  • Il vous demande d’accomplir une tâche puis le nie ? Demander une confirmation écrite de ce qu’il vous demande.
  • Il demande un travail irréalisable ? Envoyez un mail décrivant l’absurdité de la tâche et pourquoi elle ne peut être accomplie.
  1. Utilisez vos droits

Servez vous de vos droits, vous en avez alors si votre patron les bafoue, n’hésitez pas à prévenir qui de droit dans l’entreprise. Vous rendrez peut-être service à d’autres collègues par la même occasion. Celui qui vous chapote est rarement le grand patron, il a lui-même un ou des supérieurs. Il vous est possible d’alerter la haute hiérarchie ou le DRH. Construisez un dossier béton en gardant un maximum de traces écrites, de témoignages, car il faut développer une argumentation solide pour justifier un renvoi pour harcèlement moral.

  1. Prenez soin de vous

C’est un conseil généraliste qui doit s’appliquer même quand tout va bien. Mais ici, c’est encore plus vrai. Faites de l’exercice, prévoyez des moments rien qu’à vous en dehors du travail et des moments en famille, entre amis. Si vous le pouvez, évitez votre supérieur, en décalant vos horaires par exemple. Vous ferez votre travail mais sans le poids de sa présence. Méditez dès que vous le pouvez, en tout cas faites des pauses pour respirer. Félicitez-vous, répétez des phrases positives. Sortez de votre lieu de travail aux pauses, pour le déjeuner par exemple. Et surtout, ne ressassez pas ses faits et gestes en boucle. 

Le supérieur pervers narcissique ne changera pas, il ne sait pas qu’il est malade, par conséquent utilisez les parades que je viens de décrire pour vous préserver. Ne risquez pas la dépression ou le burn-out et faites-vous confiance. Et si le stress est trop intense, je peux vous aider à le gérer. Bon courage et croyez en vous !

urticaire : Causes, formes et traitements

L’urticaire est une dermatose provoquée par une hypersensibilité de certaines cellules de la peau, les mastocytes. On voit apparaître, lors de leur activation, des boutons ressemblant à des piqûres d’orties. Cette éruption cutanée est prurigineuse, c’est-à-dire qu’elle démange et, elle est aussi fugace. On distingue la crise d’urticaire ou urticaire aiguë qui disparaît et réapparaît de quelques minutes à quelques heures, de l’urticaire chronique qui se produit régulièrement et dure plus de 6 semaines. Si la cause est connue, on peut la traiter et l’urticaire est guérie, mais lorsque la cause est inconnue, seuls les symptômes sont traités et l’urticaire s’installe.

Nous allons d’abord voir ensemble les causes et les formes possibles de l’urticaire et ensuite nous ferons le tour des moyens pour la soulager.

Les causes et les formes d’urticaires

Chaque personne concernée par une urticaire aiguë ou chronique doit en chercher les causes la favorisant. Il faut porter attention à différents facteurs :

Facteurs allergiques

  • Un médicament comme par exemple l’aspirine, les anti-inflammatoires non stéroïdiens, la morphine et la codéine ;
  • Un animal, une piqûre d’insecte ;
  • Des aliments, des boissons tels que les tomates, fraises, fruits de mer et crustacés, ananas, vin blanc, conserves, chocolat, thon, thé, café, alcool…

Facteurs physiques

  • La pression et les vêtements serrés ;
  • Les frottements comme lors du port du masque par exemple ;
  • L’urticaire solaire ;
  • L’urticaire au froid dû au refroidissement de la peau ou des muqueuses au contact de l’air, de l’eau, d’objets froids ou d’aliments glacés ;
  • L’urticaire cholinergique causée par l’effort, la chaleur ;
  • Une infection, c’est souvent l’immunologie qui est en cause dans ce cas.

Facteur psychique

L’urticaire appelée cholinergique peut être provoquée par l’effort ou la chaleur comme on l’a vu, mais aussi par le stress. Les symptômes se caractérisent par l’apparition de petites papules rouges sur le dos et le thorax. La crise qui peut durer entre un quart d’heure et une heure, s’accompagne souvent de maux de tête et/ou de troubles digestifs.

L’urticaire géante et complications possibles

L’urticaire géante

On parle d’urticaire géante ou généralisée lorsque les plaques sont réparties sur plusieurs parties du corps et se rejoignent.

Le choc anaphylactique

Le choc anaphylactique est une urgence vitale absolue. Plusieurs symptômes, dont l’urticaire, lui sont associés : respiratoires, ORL, cardiaques, cutanés, digestifs comme une crise d’asthme, un œdème de Quincke, des vomissements, une rhinite, une conjonctivite…

Pour le prévenir, il est préconisé de faire un bilan allergologique.

Les traitements contre l’urticaire

L’urticaire aiguë doit être examinée par un médecin qui peut vous préconiser de voir un dermatologue ou un allergologue. Il vaut mieux ne pas perdre de temps pour consulter car si la cause est proche dans le temps, un aliment ingéré la veille par exemple, il sera d’autant plus simple de soigner l’urticaire.

Pour soulager les symptômes, vous pouvez, en plus de votre docteur, vous tourner vers la médecine parallèle et consulter un thérapeute comme un sophrologue, un magnétiseur… 

Soulager la crise d’urticaire naturellement

Localement, pour soulager les démangeaisons, une compresse d’eau chaude ou d’eau glacée avec quelques gouttes de vinaigre ou un gel mentholé peut être efficace. Il est par contre conseillé d’éviter les huiles essentielles à cause des allergies possibles.

Si la cause est alimentaire ou médicamenteuse, évitez les colorants chimiques, les conservateurs, l’aspirine et les anti-inflammatoires, les antibiotiques, les levures comme le pain, la bière, le cidre et enfin les aliments avec histamine : fromage fermenté, charcuterie, fraises…

Des gestes quotidiens peuvent être effectués comme éviter de porter des vêtements qui frottent ou serrent la peau.

Plus en profondeur, gérer son stress ne peut être que bénéfique car il a un impact direct sur la poussée d’urticaire. Voici quelques conseils pour lutter contre le stress : la respiration profonde, la méditation, l’hypnose ou encore en consultant un magnétiseur par exemple.

Les traitements médicamenteux contre l’urticaire

Les antihistaminiques

Contre l’urticaire aiguë, les antihistaminiques traitent les symptômes de l’allergie. Généralement pris pendant une dizaine de jours, ils calment la poussée.

Contre une urticaire chronique dont la cause est indéterminée, un antihistaminique de 2ème génération est prescrit par un dermatologue.

Un anticorps monoclonal

Pour les personnes souffrant d’urticaire chronique et pour qui les antihistaminiques ne fonctionnent pas, un anticorps monoclonal, l’Omalizumab, semble être efficace, sur prescription hospitalière uniquement.

12 à 20 % de la population fera au moins une poussée d’urticaire aiguë dans sa vie et 1 % de la population européenne souffre d’urticaire chronique. Cette pathologie n’est pas anodine, cependant comme nous l’avons vu des solutions existent.Si vous vous rendez compte que vos poussées d’urticaire sont liées au stress et/ou que vous avez des difficultés à soulager les symptômes, n’hésitez pas à me consulter, je pourrai sans doute vous soulager.

Collègue toxique au travail : 5 Conseils pour se préserver

Vous passez une grande partie de votre temps au travail. Un emploi sans doute que vous aimez. Mais voilà, un ou une collègue vous empêche de travailler dans de bonnes conditions. Vous souffrez en sa présence et même à l’idée de sa présence.

La personne toxique au travail a un comportement assez typique, alors si vous reconnaissez ce comportement, essayez d’appliquer mes conseils pour vous préserver d’un ou d’une collègue toxique.

Comportements du ou de la collègue toxique au travail

Un ou une collègue toxique peut l’être avec vous sans forcément l’être pour d’autres. Différents types de comportements dans la relation toxique peuvent se manifester. Il faut savoir qu’une personne toxique, est en général, une personne qui se sent mal dans sa peau et qui développe un sentiment d’infériorité. Voyons les comportements possibles de la personne toxique au travail.

Le/la collègue toxique attire l’attention

Généralement, le collègue toxique attire l’attention, positivement ou négativement. Il a des émules et des détracteurs mais en tout cas, centre d’intérêt collectif, il ne laisse pas indifférent. S’il attire la sympathie, ça ne sera jamais gratuit, il en recevra une compensation et l’inverse est vrai aussi : s’il dénigre c’est à son profit.

Le/la collègue toxique change d’humeur

En effet, le/la collègue toxique est imprévisible. Un jour de bonne humeur, un autre taciturne. Il ou elle sur-réagira par des explosions de joie disproportionnées de ses réussites professionnelles ou au contraire par des moments de rage exagérés lorsque tout ne va pas comme il/elle veut. Dans ce cas, il/elle s’en prendra à un tiers responsable de son malheur, puisqu’il/elle n’a jamais tort. Il/elle se montre aux autres en étant exubérants dans ces émotions, pour susciter la jalousie ou au contraire l’empathie.

Le/la collègue toxique se plaint

En critiquant très, ou plutôt trop, souvent, l’entourage professionnel de la personne toxique est inondé d’ondes négatives. Elle va user d’ironie pour se moquer et attirer la sympathie des autres en les faisant rire. Elle ne s’intéresse pas aux autres de manière positive, mais cherche au contraire la faille pour dévaloriser ses collègues.

Le/la collègue toxique manipule

L’esprit calculateur de la personne toxique au travail est poussé à l’extrême. Gare au coup bas, aux fausses rumeurs pour se rapprocher des personnes qu’elle considère essentielles à son évolution professionnelle. Manipulatrice, elle saura parfaitement agir au détriment de ses collaborateurs d’une manière efficace et invisible.

5 Conseils pour se préserver d’un collègue toxique

  1. Se reposer

Le repos physique et mental sera mon premier conseil.

Bien dormir, prendre soin de soi, avoir une alimentation saine sont toujours des conseils précieux car ils sont le premier stade du bien-être.

Le repos mental est lié à votre capacité à sortir de votre esprit le collègue toxique. Vous devez vous déstresser en passant de bons moments en famille ou entre amis, en vous accordant du temps pour vous, en faisant du sport. Au travail, préférez manger dans un endroit calme ou entouré(e) de collègues que vous appréciez, aéré, loin du fauteur de troubles.

  1. Feindre l’indifférence

Restez calme et objectif, ne craquez pas devant le collègue toxique même si vous bouillonnez à l’intérieur. Ne lui montrez jamais l’emprise qu’il a sur vous, ne vous énervez pas, ne pleurez pas, en tout cas pas devant lui. Ne lui donnez aucune satisfaction. Adoptez une attitude zen en toute circonstance, même quand la machine à café ne fonctionne pas, vous êtes comme ça : toujours serein.

Lorsque des sujets, en l’occurrence professionnels, vous tiennent à cœur et que votre collègue vous met des bâtons dans les roues, donnez votre opinion mais toujours calmement.

  1. Ne pas rentrer dans le jeu du collègue négatif

Ce collègue peut être contagieux voire inspirant. Son discours souvent alambiqué, indirect et fait d’infimes détails peut paraître riche mais rappelez-vous l’effet qu’il a sur vous. Donc, allez au plus court dans vos réponses et coupez-lui la parole pour revenir aux éléments de travail. N’entrez jamais dans de longue conversation, restez focalisez sur votre mission, argumentez peu et pas du tout si c’est possible.

  1. Ne pas tenter de changer le comportement d’un collègue toxique

Une personne toxique pour vous, ne l’est pas forcément pour les autres. C’est votre comportement face à elle qui doit s’adapter pour vous protéger. Changer le comportement d’une personne toxique est le travail d’un psychothérapeute et, de plus, une personne qui ne souhaite pas changer, ne le peut pas. Une personne toxique se pose en victime, elle ne comprendrait pas.

  1. Demander l’appui de votre manager

Si vous n’arrivez vraiment pas à gérer le trouble causé par votre collègue toxique, parlez-en à votre manager. Peut-être connait-il le problème car vous n’êtes pas l’unique personne à en parler, ou il s’en est tout simplement rendu compte. Mais quoiqu’il en soit, il faut l’informer pour vous protéger et protéger les autres collègues. Cela fait partie de son travail, de s’assurer du bon fonctionnement de l’entreprise, surtout si vous avez du mal à bien travailler. Attention, ce conseil doit être appliqué en dernier ressort tout de même, pour ne pas risquer de devenir celui ou celle qui se plaint.

Avant que la situation ne dégénère entre un collègue toxique et vous, utilisez ces conseils, et si le stress prend trop le dessus, regardez ma vidéo ou lisez mon article sur Les 3 techniques pour s’affirmer face à une collègue toxique.

Voici 3 techniques pour s’affirmer face à un ou une collègue toxique.

Vous le savez, vous le ressentez, Dominique, votre collègue de travail est toxique pour vous. Elle juge, se plaint constamment, est toujours négative, fait courir de fausses rumeurs, vous dénigre, vous critique ou dévalorise… mais vous avez du mal à vous affirmer, vous doutez de vous, vous vous remettez en question : et si c’était moi qui interprétais mal ? Dès lors que vous vous sentez manipulé, intimidé, fatigué mentalement ou tout simplement mal à l’aise, ce n’est pas de l’interprétation, c’est du ressenti. Vous sentez que quelque chose ne va pas dans votre relation et il est temps d’agir.Vous avez la boule au ventre le dimanche soir, vous partez au travail et en revenez stressé. Votre famille et vous subissez les conséquences de ce stress qui peut devenir chronique. Votre travail, généralement vous l’aimez, vous l’avez choisi, et là vous doutez. Peut-être êtes-vous au bord du burnout, de la démission, de la reconversion… à cause d’un collègue ? Non, ne cédez pas sans avoir essayer d’appliquer ces 3 techniques pour retrouver une vie professionnelle épanouie en vous affirmant.

Voici donc 3 techniques pour s’affirmer face à un ou une collègue toxique

  1. La technique du disque rayé

La technique du disque rayé est une très bonne méthode pour commencer à vous affirmer. Dans le monde du travail, mais pas seulement, cette approche vous servira  à maintes occasions.

Le principe est simple : répété la même chose autant de fois que c’est nécessaire, en étant de plus en plus aimable.

Comme un disque rayé, vous allez répéter les mêmes paroles, jusqu’à l’abandon ou la capitulation de votre interlocuteur.

Utilisez cette méthode aussi bien pour une demande qu’un refus.

Par exemple :

Dominique : Je peux te parler de Monique, la comptable ? Il paraît que…

Vous avec un air désolé : Désolé(e) Dominique, je n’ai pas le temps pour le moment.

Dominique : Mais attends ! tu ne vas pas croire ce que …

Vous en souriant : Je suis vraiment désolé(e), mais je dois travailler sur ce projet, je n’ai pas le temps.

Dominique : Allez deux minutes, fais une pause !

Vous en souriant toujours : Comme je te l’ai dit, Dominique, je n’ai pas le temps.

Autre exemple :

Vous aimable : Dominique, s’il te plaît, tu peux sortir de mon bureau, j’ai un coup de téléphone à passer.

Dominique : Mais ça ne me dérange pas, je peux attendre !

Vous en souriant : Je voudrais que tu sortes de mon bureau, je veux être seul(e) pour téléphoner.

Dominique : Je ne dirai rien, promis !

Vous, toujours aimable et souriant : C’est un appel important pour moi, je voudrais donc que tu sortes, merci beaucoup.

La difficulté de cette technique est de ne pas lâcher prise, de tenir bon, tout en étant de plus en plus aimable et souriant. Vous devez rester calme, sans aucune agressivité. Ne vous perdez pas en argumentations, en explications, sinon, vous n’êtes plus dans l’affirmation de soi, vous êtes dans la négociation et vous donnez des arguments à votre collègue pour vous contrer. Faites des phrases courtes, toujours avec la même demande ou le même refus et toujours avec le même argument.

  1. La technique de l’écran de brouillard

Le but de la technique du brouillard est de ne pas flancher face à des reproches, sans avoir l’air de résister et sans être agressif.

Une liste de mots se prêtent très bien à cette approche : c’est possible, sans aucun doute, c’est vrai, tu as raison, c’est probable, j’en suis sûr(e), j’en suis certain(e), c’est ce que tu penses, c’est ton point de vue… 

Exemple :

Dominique : Tu as encore oublié de regarder tes mails.

Vous : C’est possible.

Dominique : C’est sûr ! sinon tu m’aurais répondu.

Vous : Sans aucun doute.

Dominique : Ce n’est pas la première fois, ça devient pénible.

Vous : Tu as raison.

Dominique : Ça peut être important, fais attention.

Vous : C’est vrai.

Dominique : Il serait dommage de passer à côté d’une information cruciale.

Vous : J’en suis certain(e).

Vous pouvez aussi reformuler les paroles de votre collègue toxique et y apporter des précisions.

Exemple :

Dominique : Tu as encore oublié de regarder tes mails.

Vous : Oui, ce matin je n’ai pas pu ouvrir ma messagerie électronique.

Dominique : C’est sûr ! sinon tu m’aurais répondu.

Vous : Evidemment, je t’aurai répondu dans la journée.

Dominique : Ce n’est pas la première fois, ça devient pénible.

Vous : Oui, c’est pénible d’avoir beaucoup de mal à traiter.

Dominique : Ça peut être important, fais attention !

Vous : L’important c’est que tu sois venu(e) m’en parler.

Dominique : Il serait dommage de passer à côté d’une information cruciale.

Vous : Cela peut arriver quelquefois.

La technique du brouillard permet de ne pas vous engager et de ne pas alimenter la critique. Pas d’ironie, pas d’agacement, restez aimable. Surtout ne faites pas le jeu de votre interlocuteur en le critiquant à votre tour. Si le ou la collègue toxique persévère dans ces critiques, persévérez, vous aussi, dans la technique.

Autre exemple :

Dominique : Qu’est-ce qu’il fait chaud dans ton bureau, je me demande comment tu arrives à réfléchir !

Vous : En effet, aujourd’hui, il fait chaud.

Dominique : Un cerveau au frais est un cerveau actif.

Vous : Tu as raison.

  1. La technique du compromis

Exemple :

Vous : Pourrais-tu sortir de mon bureau s’il te plaît, je dois téléphoner.

Dominique : Je ne dérangerai pas.

Vous : Peux-tu sortir maintenant, je préfère être seul(e), tu devrais passer à la machine à café, il y aura sans doute des collègues.

Vous affirmez votre volonté, tout en proposant une autre solution. Cette technique vous permet de ne pas culpabiliser et d’éviter les tensions.

Je sais que ces techniques demandent un effort mental considérable, mais je pense que le jeu en vaut la chandelle, au travail comme dans la sphère privée. Et si le stress prend trop le dessus, n’hésitez pas à me contacter.

Le stress : Causes, symptômes, conséquences et solutions

Le stress désigne un ensemble de réactions physiques, physiologiques et psychiques que le corps manifeste pour s’adapter à une situation particulière. Il peut être causé par un événement passager mais peut aussi devenir chronique et engendrer des pathologies. Les situations dites stressantes font partie du quotidien et c’est la capacité à accepter notre vulnérabilité qui sera la clé de notre bien-être. Le stress n’est pas une mauvaise chose en soi. En effet, il peut même sauver la vie, mais il faut parvenir à le gérer pour qu’il n’ait pas d’effets négatifs à long terme, en empêchant d’avoir une vie normale.

Dans cet article, je vous explique les causes du stress, les symptômes et les conséquences qu’il engendre et surtout, je vous donne des solutions pour aller mieux.

Les causes de stress

De multiples contextes peuvent être à l’origine du stress :

  • L’hérédité : le risque est plus grand quand l’entourage familial proche est sujet au stress
  • Le travail ou l’école : les relations sociales, les rapports hiérarchiques, les deadlines…
  • Les relations amicales et amoureuses
  • L’intendance : la gestion quotidienne de la maison, les factures, les problèmes liés aux enfants
  • Les troubles hormonaux
  • Les relations parentales pour les enfants
  • Les accidents de la vie : divorce, décès, accident, maladie…
  • Les imprévus traumatiques : attentat, crise sanitaire, catastrophes naturelles
  • L’usage de produits illicites
  • etc.

Cette liste n’est évidemment pas exhaustive tant les situations d’anxiété sont nombreuses. Plus une personne est anxieuse, plus le risque de stress chronique est grand.

Nous ne sommes pas égaux face à ces différentes situations. En effet, l’éducation, la culture, l’entourage, notre capacité intrinsèque à gérer l’anxiété… tout ce qui fait de nous ce que nous sommes joue un rôle.

Les symptômes liés au stress

Les symptômes constituent le moyen d’expression de notre corps pour avertir que quelque chose ne va pas. À nous de l’écouter et d’en tirer les conclusions qui s’imposent, en l’occurrence : diminuer la tension subie.

Voici les symptômes qui doivent vous alerter :

  • La fatigue
  • Les troubles du sommeil
  • Les troubles de l’humeur : irritabilité, saute d’humeur
  • La nervosité, l’agitation
  • Les rhumatismes
  • Les contractions musculaires
  • Les troubles sexuels
  • Les troubles de la mémoire et de la concentration
  • La tristesse
  • Les vertiges
  • Les troubles de la digestion et le manque d’appétit
  • L’apathie ou l’empathie exagérée
  • L’inertie, les blocages

Evidemment ces symptômes, s’ils s’installent durablement, ont des conséquences sur notre vie, notre bien-être. C’est pourquoi, il faut consulter au plus vite.

Les conséquences néfastes du stress

En fonction du niveau de stress atteint, les conséquences peuvent être plus ou moins graves. Beaucoup de maladies physiques et psychologiques sont corrélées au stress :

  • La dépression
  • L’isolement social, l’agoraphobie
  • La phobie scolaire
  • Les maladies digestives : ulcères, colopathies, gastrites…
  • Les troubles cardiovasculaires : palpitations, hypertension, infarctus…
  • L’hyperthyroïdie
  • Les infections microbiennes ou virales à répétition : cystite…

Ces conséquences doivent être traitées, il en va de votre santé mentale et/ou physique.

Les solutions possibles face au stress

Mieux vaut prévenir que guérir

L’idéal est d’agir proactivement c’est-à-dire en amont. Adoptez une bonne hygiène de vie avec une alimentation saine et équilibrée, une activité sportive régulière, une consommation limitée d’excitants et un respect de votre temps de sommeil. Méditez, utilisez des méthodes de relation, planifiez vos journées. Et surtout faites-vous confiance : convainquez-vous que vous gérez votre vie au mieux, que nul n’est parfait.

Petites astuces pour gérer l’angoisse

Des astuces permettent de mieux gérer l’anxiété montante. Ecrivez dans un carnet lorsque vous sentez l’angoisse venir et essayez de décrire ce qui vous met dans cet état. Dites-vous que ce n’est qu’un mauvais moment et envisagez-le à plus long terme. Faites appel à un ami, un proche et discutez-en pour relativiser et prendre du recul. Enfin, prenez de longues

La crise hémorroïdaire : Explication et Traitements

Les hémorroïdes, sujet délicat, sujet douloureux… Et pourtant, environ 50 % de la population sera concernée au moins une fois dans sa vie par cette pathologie. Fort heureusement, la crise hémorroïdaire n’est pas une fatalité puisque des traitements notamment préventifs existent. Vous allez grâce à cet article tout savoir de la crise hémorroïdaire, et surtout comment l’éviter et la soigner. Bonne lecture !

La crise hémorroïdaire

Qu’est-ce qu’une hémorroïde ?

Les hémorroïdes sont des petits vaisseaux sanguins de l’anus et du rectum. Le problème apparaît lorsque ces vaisseaux se dilatent anormalement, on parle alors de crise hémorroïdaire. Mais dans le langage courant, on emploie le terme « hémorroïde » pour désigner la crise. 

Il y a deux types d’hémorroïdes :

  • Les hémorroïdes internes qui se forment dans l’anus ou la partie inférieure du rectum. Elles peuvent saigner lors du passage à la selle et créent généralement des démangeaisons et de vives douleurs. On compte 4 niveaux d’évolution des hémorroïdes internes :
    • Niveau 1 : L’hémorroïde reste dans l’anus.
    • Niveau 2 : Elle sort de l’anus lors de l’effort de défection puis entre après l’effort.
    • Niveau 3 : Elle doit être rentrée avec les doigts.
    • Niveau 4 : Elle ne peut être replacée.
  • On appelle hémorroïdes externes, ou prolapsus, la sortie hors de l’anus des hémorroïdes internes. Elles provoquent une protubérance et sont sensibles à cause des nombreuses fibres nerveuses de la zone.

La crise hémorroïdaire peut durer entre 2 et 4 jours. Voyons maintenant les symptômes.

Les symptômes de l’hémorroïde

Un des symptômes est la démangeaison. Très inconfortable, il ne faut pourtant pas se gratter pour ne pas aggraver la situation. Des douleurs, des sensations de brûlure lors du passage à la selle peuvent être ressenties mais surtout en cas de complications comme la thrombose interne ou externe. Il se peut aussi que la crise hémorroïdaire soit accompagnée de saignements assez discrets. Dans tous ces cas, il est important de consulter un médecin pour des soins appropriés. De plus, ces symptômes peuvent être liés à d’autres maladies plus graves, c’est pourquoi un diagnostic est nécessaire.

Les causes de la crise hémorroïdaire

La pression exercée sur les hémorroïdes entraîne la crise. Les causes de cette pression peuvent être multiples :

  • Les mêmes positions tenues trop longtemps
  • Des efforts physiques réguliers et intenses
  • Certains sports comme le vélo ou l’équitation
  • Des problèmes de transits intestinaux tels que diarrhée et constipation
  • Des excitants trop nombreux : le tabac, l’alcool, les épices, le café…
  • Une déshydratation
  • La grossesse et l’accouchement
  • D’autres maladies
  • L’hérédité
  • Une surcharge pondérale

Soigner les hémorroïdes

En prévention

Pour prévenir la crise hémorroïdaire, il faut miser sur une alimentation saine. Manger des fruits, des légumes frais, des crudités, des aliments riches en fibres, boire entre 1,5  et 2 litres d’eau par jour et éviter le sel, le gras, les plats épicés, l’alcool, le café, le thé. Une alimentation équilibrée favorise un bon transit, ainsi en évitant les risques de constipation, vous serez moins exposé aux crises d’hémorroïdes.

Traitements médicaux

Lorsque la crise hémorroïdaire est diagnostiquée, un traitement local est prescrit le plus souvent, sous forme de crèmes à usage externe, interne ou les deux, ou encore de suppositoires. Ce traitement est généralement efficace mais peut tout de même être complété par un médicament de type “veinotonique” qui renforce les veines.

L’évolution de la crise nécessite parfois des traitements plus conséquents : des injections sclérosantes, une photo-coagulation par infrarouges.  À un stade avancé, 3 types de chirurgie peuvent être envisagées : l’hémorroïdectomie qui consiste à enlever les hémorroïdes en cause, la ligature simple des artères qui alimentent les hémorroïdes et la remise en place de l’hémorroïde avec une agrafe interne appelée opération de Longo.

Traitements naturels et remèdes de grand-mères

Pour les hémorroïdes externes, on pourra tamponner un coton-tige imprégné de vinaigre de cidre dilué si des picotements intenses se font sentir. 2 à 3 fois par jour, les veines reprendront leur taille normale.

Pour les hémorroïdes internes, on pourra boire un verre d’eau contenant une cuillère à café de vinaigre de cidre, matin et soir.

Des végétaux, comme le marron d’Inde, le chardon-marie sont aussi efficaces. Parlez-en à votre pharmacien ou un thérapeute spécialisé comme un phytothérapeute, un homéopathe…

Enfin,  vous pouvez aussi avoir recours aux médecines alternatives pour soulager la douleur, les constipations chroniques dues au stress…

Hypersomnie l Tout savoir sur ce trouble du sommeil

« Je suis tout le temps fatigué(e), je m’endors n’importe où, n’importe quand,  je dors trop, je me sens mal… ». Si vous prononcez ces mots, il est possible que vous soyez hypersomniaque. Les somnolences intempestives en journée ou de longue nuit avec un réveil difficile doivent vous alerter. Votre corps vous parle, ne le négligez pas, et consultez un médecin généraliste ou un spécialiste du sommeil.

L’hypersomnie, sommeil anormalement prolongé ou survenant trop fréquemment, est un symptôme qui a un impact terrible sur le quotidien. Se sentir fatigué(e) en permanence, s’endormir sans le vouloir est une grande source de danger, en voiture par exemple mais aussi au travail si vous manipulez des machines… Outre les dangers directs, les conséquences peuvent aussi être psychiques comme une forte anxiété, un état dépressif, des troubles du comportement ou des troubles cognitifs.

Pour mieux comprendre ce trouble du sommeil, cet article pourra sans doute vous éclairer.

Hypersomnie idiopathique et secondaire

L’hypersomnie idiopathique

Cette maladie extrêmement rare touche les personnes entre 15 et 30 ans. Elle est qualifiée d’idiopathique car aucune cause n’a été identifiée.

Elle se caractérise par une somnolence diurne quasi permanente obligeant à faire des siestes de plusieurs heures, non réparatrices pour autant. Le sommeil est de bonne qualité mais le réveil extrêmement difficile est parfois même accompagné de confusion.

On distingue deux formes d’hypersomnie idiopathique :

  • Long sommeil nocturne de plus de 10 h  et longue sieste diurne de plusieurs heures
  • Sommeil nocturne normal et accès de sommeil plus ou moins irrépressibles la journée

Les traitements médicamenteux ne soignent pas la cause puisqu’elle est inconnue mais agissent sur les symptômes : somnolence et manque de concentration.

Les traitements non médicamenteux se rapportent à l’hygiène de sommeil en évitant les siestes, en gérant le nombre d’heures consacrées à dormir, en régulant les horaires de coucher et de lever.

L’hypersomnie secondaire

L’hypersomnie secondaire peut être dûe à :

  • des lésions cérébrales
  • des troubles psychiques comme la dépression
  • des maladie telles que l’urémie et la fibromyalgie
  • des effets secondaires lors de prises de médicaments, d’alcool ou de drogue
  • une prédisposition génétique
  • des troubles du sommeil tels que la narcolepsie, le syndrome d’apnées du sommeil et le syndrome des jambes sans repos.

Le syndrome des jambes sans repos et le syndrome d’apnée du sommeil sont des pathologies du sommeil dont les symptômes sont des insomnies. Vous pouvez lire mon article dédié aux insomnies lien insomnie sur mon blog, qui traite en détail de ces deux syndromes.

Narcolepsie

Les symptômes

La narcolepsie est une maladie rare commençant à l’adolescence. Caractérisée par une somnolence et un besoin irrépressible de dormir en journée, elle a des répercussions sociales et professionnelles indésirables. D’ailleurs, la législation oblige pour l’obtention ou le maintien du permis de conduire, à suivre un traitement efficace. Les siestes sont réparatrices et agissent sur la somnolence de manière transitoire, ce qui masque la maladie. En effet, une somnolence excessive doit alerter et donner lieu à une consultation médicale.

D’autres symptômes entourent la maladie.

  • La cataplexie : c’est un relâchement musculaire brusque survenant en plein éveil, localisé ou généralisé. La cataplexie peut entraîner une chute. Elle fait souvent suite à une émotion.
  • La paralysie du sommeil : c’est l’incapacité totale de bouger au moment du réveil ou de l’endormissement.
  • Les hallucinations hypnagogiques ou hypnopompiques : ce sont des perceptions visuelles, auditives et tactiles, plutôt désagréables qui surviennent également au moment de l’endormissement ou du réveil. Elles s’apparentent à des rêves voire des cauchemars éveillés.
  • Les insomnies et cauchemars.

Le traitement

Les traitements médicamenteux, sous prescriptions médicales, n’apportent pas la guérison, mais agissent efficacement sur les symptômes.

Une bonne gestion du sommeil est judicieuse : horaires réguliers de coucher et de réveil, siestes réparatrices.

Un traitement naturel, comme le recours à un thérapeute et une médecine parallèle peuvent aussi être d’une bonne aide.

Le syndrome de Kleine-Levin

Le KLS est une maladie extrêmement rare caractérisée par une hypersomnie pouvant aller jusqu’à plus de 20 heures par jour. Elle évolue cycliquement, par poussées à certaines périodes de l’année. Ce trouble, qui touche surtout les hommes, commence souvent à l’adolescence. Il s’estompe autour de 30 ans mais peut réapparaître.

En dehors des poussées, les personnes touchées vivent normalement et font leurs activités habituelles. Mais, les conséquences pendant les crises, ou poussées, sont importantes. Comme la maladie est difficile à diagnostiquer, elle est source d’angoisse et d’isolement. De plus, comme elle touche les jeunes à partir de 15 ans, elle perturbe leur scolarité et leurs rapports sociaux, ce qui est une grande source de stress et peut aboutir à un repli total.

Les symptômes éveillés

  • irritabilité, saute d’humeur
  • manque d’énergie
  • absence d’émotions
  • repli sur soi
  • anxiété
  • confusion, désorientation
  • hallucinations hypnagogiques
  • sentiment d’irréalité ou d’étrangeté du monde extérieur
  • délires
  • signe d’hypersexualité
  • difficulté de concentration et de mémorisation
  • ingestion de grande quantité de nourriture ou refus de se nourrir
  • céphalées, hypersensibilité aux bruits

Les causes

La cause du syndrome de Kleine-Levin n’est pas connue, mais des hypothèses ont été formulées. L’une d’entre elles suggère un mauvais fonctionnement de l’hypothalamus, région du cerveau qui participe à la régulation de fonctions comme le sommeil, l’appétit et la température du corps. Une autre hypothèse va dans le sens d’une maladie auto-immune, une action anormale du système immunitaire. Dans 10% des cas, la maladie est associée à une autre qui peut être inflammatoire, génétique, vasculaire ou néoplasique.

Être hypersomniaque ne doit pas être traité à la légère. Le diagnostic n’étant pas aisé à réaliser, n’attendez pas et consultez un médecin dès les premiers signes. Parallèlement, je peux vous aider à soulager certains symptômes secondaires, n’hésitez pas à me questionner.

Insomnie l Tout savoir sur ce trouble du sommeil

Je dors mal, j’ai du mal à m’endormir, je suis fatigué(e)… Voilà le genre de phrases que l’on prononce ou que l’on entend souvent prononcer autour de nous… Une variation de la durée du sommeil, une détérioration de sa qualité sont des signaux envoyés par votre corps. Vous souffrez probablement d’insomnie. Il ne faut pas les négliger, ils méritent un diagnostic médical qu’un médecin généraliste ou un spécialiste du sommeil peut établir.

L’insomnie est un symptôme qui a une répercussion importante sur la vie quotidienne avec des conséquences qui peuvent être graves, comme la dépression, les troubles de comportements, de l’humeur, de la mémoire ou de la concentration et bien évidemment la fatigue et l’irritabilité. Et ces mêmes conséquences entretiennent les troubles du sommeil.

Vous allez, grâce à cet article, tout savoir sur ce trouble du sommeil qu’est l’insomnie.

L’insomnie : un symptôme pour différentes causes

L’insomnie, qui toucherait 1 français sur 5, se caractérise par un sommeil de mauvaise qualité, des difficultés à s’endormir, des réveils au cours de la nuit, un réveil précoce. Elle prend différentes formes et elle a différentes causes.

L’insomnie occasionnelle

C’est l’insomnie la moins pénible puisqu’elle disparaît quand sa cause n’existe plus.

Transitoire, elle est liée à : 

  • des événements immédiats tels que la prise d’excitants, le bruit, une mauvaise hygiène de vie
  • à l’état émotionnel du moment
  • à des pathologies identifiées pour lesquelles un traitement doit être pris telles que une hyperthyroïdie, un reflux gastro-œsophagien, un asthme nocturne, des rhumatismes…

Transitoire, elle passera lorsque les événements perturbateurs seront terminés. Mais, le problème de l’insomnie occasionnelle, c’est qu’elle peut devenir chronique.

L’insomnie chronique

L’insomnie chronique, caractérisée par sa durée dans le temps, concerne 10 % des français. Elle est soit le symptôme d’une pathologie, soit la résultante de troubles psychologiques.

Voyons les différentes insomnies chroniques et leur cause.

L’insomnie psychophysiologique

Une insomnie qui devait être transitoire puisque la cause connue n’existe plus, peut s’installer pourtant durablement. Pourquoi ? Par un conditionnement qui s’auto-entretient, comme une habitude prise inconsciemment, la peur de ne pas pouvoir s’endormir par exemple. C’est ce qu’on appelle l’insomnie psychophysiologique.

L’insomnie liée à des troubles psychologiques

Stress, anxiété, dépression sont à la fois symptômes et causes des insomnies chroniques. C’est un implacable cercle vicieux qui se met en place. Il est important de soigner ces troubles rapidement. Demandez conseil à votre médecin et pensez aux médecines alternatives pour vous aider à gérer votre stress durablement.

Les insomnies liées à des pathologies du sommeil

Le syndrome des jambes sans repos 

Le syndrome des jambes sans repos se manifeste de deux manières :

  1. Des sensations désagréables dites d’impatience décrites comme des lourdeurs, des picotements, des brûlures, des ruissellements qui poussent à se lever, à bouger.
  2. Des mouvements inconscients périodiques de flexion des pieds et des orteils, du genou voire de la hanche, au cours du sommeil. Généralement non ressentis par le dormeur, ces mouvements fragmentent néanmoins le sommeil.

Les causes sont connues :

  • Une hyperexcitabilité ou un défaut de mise au repos du système nerveux, dans ce cas des médicaments facilitant la transmission de l’influx nerveux entre les neurones sont efficaces.
  • Des maladies spécifiques du système nerveux, pour lesquelles un traitement particulier s’impose.
  • Une carence en fer, et donc la reconstitution des réserves ferriques est souvent très efficace.
  • En cas d’insuffisance rénale ou de diabète, il faut là aussi un traitement adapté.
  • Une histoire familiale dans près de 90% des cas, il faut s’adresser alors à un thérapeute approprié.

Le syndrome d’apnées du sommeil

Ce syndrome se manifeste souvent après 50 ans et touche 8 % de la population. Il se caractérise par des pauses respiratoires de plus de 10 secondes dues à une obstruction du pharynx. Ces apnées peuvent se produire jusqu’à des centaines de fois par nuit, et créent des micro-éveils nécessaires à la reprise de la respiration. C’est souvent l’entourage qui s’en rend compte, le dormeur ne se plaint généralement pas d’un mauvais sommeil qui est pourtant fortement morcelé.

La nuit, ce syndrome provoque des ronflements sonores et l’envie fréquente d’uriner. Les autres conséquences sont une somnolence diurne excessive, des troubles de l’attention, de la mémoire ou de l’humeur, une hypertension artérielle, une baisse de la libido. Ces symptômes ne sont pas à prendre à légère. Ils sont pour certains source de conséquences graves comme des risques d’accidents dus à la somnolence, d’infarctus et d’attaque cérébrale à cause de l’hypertension artérielle.

Les causes sont diverses : le surpoids, la morphologie, l’excès d’alcool ou de médicaments, mais aussi les pathologies comme l’hypertension et les atteintes cardiovasculaires. 

Le traitement qui doit être prescrit par un médecin, varie bien évidemment en fonction des personnes :

  • Il faut supprimer le soir, l’alcool et certains médicaments comme les tranquillisants et les somnifères, sous contrôle médical bien sûr.
  • Dans les syndromes d’apnées du sommeil sévères ou relativement sévères, la pression positive continue s’avère efficace. Il s’agit d’un masque nasal dans lequel un appareil souffle un peu d’air. Ainsi, les voies aériennes restent ouvertes.
  • La perte de poids, le cas échéant, est indispensable.
  • Le traitement chirurgical portant sur les tissus mous de la gorge est parfois efficace sur les apnées du sommeil peu nombreuses et, d’une manière générale, sur le ronflement avec ou sans apnée.
  • Un appareil dentaire nocturne, amovible, est utile contre les apnées peu nombreuses.

Il est à noter que ces deux syndromes, des jambes sans repos et d’apnées du sommeil, provoquent des hypersomnies secondaires.lien hypersomnie 

Quelques conseils pour mieux dormir

Bien sûr, d’une manière générale, une bonne hygiène de vie favorise un bon sommeil.

Ainsi, évitez les excitants et le sport avant de dormir. Mangez léger et évitez l’alcool. Écoutez de la musique douce, regardez la télévision, lisez et méditez. Rappelez-vous que le lit est fait pour dormir et se câliner mais pas pour manger, travailler, ni regarder la télévision.

Respectez les signes de fatigue que votre corps vous envoie, ne luttez pas contre le sommeil.

Enfin, ne prenez pas de médicaments sans prescription médicale.

Si votre sommeil n’est pas serein, ni récupérateur, ou que vous somnolez en journée, consultez rapidement votre médecin et lisez mon article dédié à l’hypersomnie lien hypersomnie. Et si vous êtes insomniaque, anxieux et stressé, contactez-moi !

7 Conseils pour arrêter de fumer durablement

Nous le savons tous, fumer rend malade et tue. Un fumeur implique aussi son entourage à cause du tabagisme passif. Aujourd’hui, en France 13 millions de personnes fument. Et 73 000 en décèdent chaque année, non fumeurs inclus.

Vous avez décidé d’arrêter de fumer, peut-être avez-vous déjà essayé sans y parvenir ou en récidivant ?  Grâce à cet article, vous découvrirez les symptômes négatifs mais aussi ceux qui sont bénéfiques lorsqu’on arrête le tabac et vous allez profiter de 7 conseils pour un sevrage durable.

Les symptômes à l’arrêt du tabac

Le tabac est addictif parce qu’il contient des alcaloïdes qui sont psychoactives dont la nicotine. Cette substance active la dopamine qui arrive au cerveau et donne une sensation de plaisir. En privant le cerveau, le sevrage entraîne des symptômes, certains négatifs qui s’estompent au fil des mois, certains positifs.

Les symptômes négatifs

  • La prise de poids : de 3 à 4 kg, elle peut varier en fonction de chaque personne, il convient de manger sainement.
  • La toux : les cils des bronches se réactivent occasionnant une toux passagère qui disparaît normalement au bout de quelques mois.
  • Des insomnies.
  • Une irritabilité.

Dans la plupart des cas, les symptômes de sevrage disparaissent progressivement lors des premiers mois après l’arrêt.

Les symptômes positifs

  • 20 minutes après la dernière cigarette, la fréquence cardiaque redevient normale.
  • 24 heures après, le risque de faire une crise cardiaque diminue, et le monoxyde de carbone disparaît.
  • 2 jours après, la nicotine disparaît du sang.
  • 2 semaines après, le goût normal des aliments revient.
  • Quelques mois après, la peau s’embellit et la respiration s’améliore, le risque d’accident vasculaire cérébral, de cancer de la bouche ou de l’œsophage diminue significativement.
  • 15 ans après, l’état de santé est normal.

7 conseils pour arrêter de fumer

  1. Se préparer

Le principal moteur à l’arrêt du tabac est la motivation. Vous devez en avoir profondément envie et sentir que c’est le bon moment. Listez vos motivations, qu’elles soient médicales ou financières, dans un carnet de bord, et relisez-le régulièrement. Vous arrêtez de fumer d’abord pour vous et ensuite, seulement, pour les autres. Parlez-en à votre entourage sans faire de promesse, préparez-les à vous soutenir et non vous pressuriser. Ne craignez pas de les décevoir, ni de vous décevoir : c’est votre effort, même s’il vous demande plusieurs tentatives. Décidez si vous voulez un arrêt progressif ou subi. Fixez-vous une date : un moment symbolique, une date anniversaire…

  1. Tenir un carnet de bord

Vous y avez déjà noté vos motivations, complétez-le de vos progrès, vos questionnements, vos victoires et vos échecs.

  1. Choisir une méthode

Plusieurs méthodes aident à arrêter de fumer. A vous de choisir celle ou celles qui vous paraîtront les mieux adaptées. 

Les médecins

Vous pouvez demander de l’aide à un médecin. Le médecin généraliste, le tabacologue, l’addictologue sauront vous conseiller. Joignez aussi le 39 89, numéro de Tabac Info Service qui vous donne informations et soutien. Les médecins vous proposeront certainement des substituts nicotiniques. Chargés en différents dosages de nicotine en fonction de votre consommation, ils permettent de diminuer les symptômes négatifs du sevrage. On trouve des patchs, des gommes à mâcher, des sprays buccaux, des inhalateurs, des comprimés à sucer. Il existe aussi des médicaments qui influent directement sur le cerveau pour réduire le manque.‍

Les méthodes naturelles

Les médecines alternatives peuvent accompagner n’importe quelle autre méthode ou se suffir à elle-mêmes. Les thérapeuthes sont nombreux à proposer une aide dans ce domaine parce que les demandes sont conséquentes, choisir une thérapie alternative dépend de vos ressentis et de la manière dont vous percevez leur efficacité.

  • L’hypnothérapie permet d’accéder à un état modifié de conscience afin de revisiter la réalité et la façon dont vous la percevez.
  • L’acupuncture stimule des points spécifiques du corps, à l’aide de plusieurs techniques physiques dont les aiguilles.
  • L’homéopathie repose sur l’idée qu’une substance qui provoque un symptôme peut être utilisée pour traiter le même symptôme de la maladie.
  • Le magnétiseur répond aux maux physiques ou psychiques par le rééquilibrage des énergies.
  • Le sophrologue multiplie les sensations corporelles afin d’être en harmonie avec son corps.
  1. Changer d’état d’esprit

Répétez-vous tout au long de votre sevrage que vous n’êtes pas en train de vous faire du mal, que vous ne vous privez pas de quelque chose qui vous plaisait. Au contraire, dites-vous que vous êtes en train de vous libérer, que vous êtes le maître à bord de votre corps et que vous décidez de ce qui est bon pour vous. Votre image change, vous n’êtes plus fumeur, votre représentation de vous-même doit aller dans ce sens.

  1. Se préserver

Votre vie change considérablement, toutes vos habitudes sont remises en question. Préservez-vous en identifiant et en anticipant les situations risquées pour la réussite de votre entreprise. Ainsi, envisagez mentalement les sorties entre amis, les rendez-vous aux terrasses des cafés, tous ces petits moments où vous fumiez.

Repensez vos journées, remplacez les rituels comme la pause café au travail ou après déjeuner.

Profitez-en pour revoir votre hygiène de vie : mangez sainement, faites une activité physique, méditez

Et surtout, soyez indulgent envers vous. Vous allez avoir envie de craquer, retardez ce moment le plus possible car l’envie est pressante seulement 5 minutes puis disparaît. Accepter que l’échec n’est pas irrémédiable, au contraire apprenez de vos difficultés.

  1. Calculer

Calculer l’argent que vous économisez et ce que vous pourrez faire avec. Un paquet de cigarettes par jour à 10 euros revient à une économie de près de 3 620 euros par an.

  1. Petites astuces
  • Débarrassez-vous de toutes les cigarettes, briquets et cendriers.
  • Faites diversion pour faire face au besoin urgent de fumer : faites un tour, buvez de l’eau, lavez vos mains, téléphonez à un proche…
  • Utilisez les applications mobiles à votre disposition : Tabac info service, QuitNow, Stop-Tabac, Smokerstop…
  • Occupez vos mains avec des fidgets toys par exemple.
  • Ne grignotez pas : mâchez du chewing-gum ou mangez un fruit.

N’attendez plus et faites-vous confiance ! Et si vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas à me contacter.

Chakras déséquilibrés : Que faire ?

Si vous avez lu l’article « Harmoniser ses Chakras pour un Équilibre Physique et Psychique parfaits » ou regardé la vidéo sur ma chaîne YouTube, vous savez que les chakras sont des centres énergétiques de notre corps. Pour nous permettre d’avoir tout notre potentiel, ils doivent être ouverts et harmonisés. Le stress, des émotions fortes que l’on a du mal à gérer ou encore une hygiène de vie imparfaite ferment les chakras et empêchent donc l’énergie de circuler correctement dans le corps. Cette disharmonie vous rend vulnérable et peut laisser la porte ouverte à des troubles physiques et psychiques. Qui peut harmoniser vos chakras ? Certains thérapeutes et vous-même, alors suivez le mode d’emploi jusqu’au bout et découvrez mon petit cadeau.

Conseils pour harmoniser les chakras

Si vous vous sentez mal, que ce soit physiquement ou psychiquement, votre premier réflexe doit être de consulter votre médecin généraliste. En parallèle, vous pouvez vous tourner vers des thérapeuthes tels que le magnétiseur dont la spécialité est le rééquilibrage énergétique, les ostéopathes, sophrologues et kinésithérapeutes, s’ils sont par ailleurs énergéticiens. Ces thérapeutes pourront faire le point sur l’état de vos chakras, les débloquer et les aligner.

La puissance des pierres aide aussi à ouvrir les chakras, ainsi vous pouvez vous adresser à un lithotérapeuthe, ou un magnétiseur formé à la lithothérapie.

Privilégiez des pratiques telles que le yoga, le qi-gong, la danse et le sport en général, de manière régulière.

Les huiles essentielles peuvent également vous aider, adressez-vous à un aromathérapeute pour être conseillé.

Enfin, vivez et pensez positivement ! La pensée positive régulière, la visualisation et l’imagination créative vont augmenter votre taux vibratoire, donc libérer vos chakras. Entourez-vous de personnes positives et bienveillantes et maintenez une distance avec les personnes toxiques.

Harmoniser ses chakras soi-même

Pour bien comprendre la manière dont vos émotions jouent sur votre corps et votre psychée, il faut connaître les chakras. Où sont-ils ? Quels rôles ont-ils ? Vous trouverez ces réponses dans mon article dédié aux chakras lien vers Harmoniser ses Chakras pour un Équilibre Physique et Psychique parfaits et dans les lignes suivantes.

Les mantras : phrases positives pour activer les chakras

Chaque chakra a son affirmation, son mantra, sa note de musique et un verbe qui lui est associé. Les mantras sont des phrases positives particulières qui, répétées en boucle quotidiennement, vont activer chacun de ces points d’énergie de notre corps que sont les chakras.

  • Le chakra Racine

Il est situé entre l’anus et les parties génitales, sa note de musique est le Do et le verbe qui lui est associé est « survivre ». Son affirmation est « J’aime la vie et je sais au fond de moi que tout finit toujours par s’arranger », et son mantra : « Je grandis à partir d’une fondation stable ».

  • Le chakra sacré

Il se trouve au-dessus des organes génitaux. Sa note est le Ré, son verbe : « ressentir ». Son affirmation est « J’aime mon corps et j’en prends soin » et son mantra : « Je m’accepte tel que je suis et j’accepte les autres tels qu’ils sont ».

  • Le chakra du plexus solaire

Son affirmation est « Je rayonne de joie ! Je crois en moi et en mes capacités ». Sa note est le Mi et le verbe associé est « rayonner ». Son mantra : « Je m’aime complètement, je suis en harmonie avec mes choix et mes décisions ».

  • Le chakra du cœur

Affirmez « Je suis en paix avec moi-même, je m’aime et je m’ouvre aux autres ». Répétez son mantra « Je m’aime, je représente l’amour, aimer les autres est donc plus facile ». Ce sont  le verbe « aimer » et la note Fa qui lui sont associés.

  • Le chakra de la gorge

Son verbe est « communiquer », sa note : le Sol. « Je communique avec les autres, je leur dit ma vérité avec sérénité et les écoute attentivement » est son affirmation et son mantra : « Je reste toujours authentique dans ma communication avec les autres ».

  • Le chakra du 3e œil

« Je vois le meilleur en moi, dans la vie, chez les autres et dans chaque situation ». Son mantra : « Je suis prêt(e) ou je choisis d’être prêt(e) à explorer même ce qui n’est pas perceptible autrement ». La note de ce chakra est le La et son verbe « voir ».

Petite remarque : même si vous voyez le meilleur chez les autres, vous ne devez pas vous laisser faire pour autant. Vous devez respecter vos limites et savoir vous faire respecter.

La méditation : puissant levier de bien-être

La méditation permet de se libérer des pensées négatives pour accéder au bien-être en ouvrant ses chakras. Comment méditer ? en appliquant les 5 conseils de ma vidéo dédiée.

Ouvrir et aligner ses chakras est le meilleur moyen de vous sentir bien, en harmonie avec vous-même car vos énergie circulent pleinement dans votre corps et avec l’extérieur. Alors n’hésitez pas à suivre mes conseils et à me consulter si vous en ressentez le besoin. J’ai de plus un petit cadeau pour vous dans la vidéo de cet article : une méditation guidée rien que pour vous !