Hypocondrie : la maladie non imaginaire

Tout le monde s’inquiète parfois de sa santé, mais pour certaines personnes, la peur d’être malade est si forte, même lorsqu’elles sont en bonne santé, qu’elles ont du mal à faire face à leur vie quotidienne.

Une personne qui vit dans la crainte d’avoir une maladie grave, bien que les examens médicaux ne trouvent jamais rien d’anormal, peut souffrir d’un trouble des symptômes somatiques, également connu sous le nom de trouble anxieux de la maladie. Ce trouble est également connu sous d’autres noms, notamment hypocondrie.

Souvent tournée en dérision dans des films, comme « Supercondriaque » ou dans d’autres œuvres comme « Le malade imaginaire » de Molière, l’hypocondrie n’en est pas moins une maladie réelle. La personne hypocondriaque subit une vraie souffrance tant physique que psychique.

Nous allons voir plus en détail ce qu’est cette pathologie, comment reconnaître une personne hypocondriaque et enfin comment l’aider.

Qu’est-ce que l’hypocondrie ?

L’hypocondrie est une inquiétude obsessionnelle et irrationnelle à l’idée de souffrir d’un problème de santé grave. Elle est également connue sous le nom d’anxiété liée à la santé, de trouble anxieux lié à la maladie ou d’hypocondrie. Cet état est marqué par l’imagination d’une personne de symptômes physiques de maladie.

Dans d’autres cas, il s’agit de l’interprétation erronée par une personne de sensations corporelles mineures ou normales comme étant des symptômes de maladie grave, malgré le fait que les professionnels de la santé l’assurent qu’elle n’est pas malade.

Il est normal que les gens s’inquiètent de leur santé de temps en temps. Mais les personnes souffrant d’hypocondrie ont très peur d’être gravement malades ou sur le point de l’être. Cela peut se produire même si elles ne présentent aucun symptôme ou si leurs symptômes sont très légers. Elles peuvent même confondre des sensations normales avec les symptômes d’une maladie grave.

Certaines personnes souffrant d’hypocondrie ont un problème de santé qui les inquiète de manière excessive. D’autres personnes hypocondriaques sont en bonne santé, mais ont une peur bleue de leur santé future. Par exemple, elles peuvent se dire : “Et si j’avais un cancer ?”.

Les personnes hypocondriaques peuvent devenir si angoissées et si anxieuses qu’elles ont du mal à faire les choses du quotidien. Ce trouble touche environ 3,5% des personnes. Le sujet hypocondriaque est persuadé de posséder des symptômes qu’il prétend indétectables par les médecins. Leur conviction est inébranlable.

Quelles sont les causes de l’hypocondrie ?

Les causes ne sont pas génétiques et pourraient être consécutives à des problèmes neurochimiques liés à la sérotonine et la noradrénaline. Par exemple, une peur panique accompagnée de palpitations élevées, transpiration, peur et difficultés respiratoires pourraient être dues à trop de noradrénaline. De même un manque de sérotonine peut être à l’origine d’une dépression avec des troubles du sommeil, une forte fatigue et typiquement une intervention médicale.

Elles pourraient être aussi la conséquence d’une dépression ou encore d’un choc psychologique comme un décès. Les causes suivants peuvent être impliqués :

  • Vous avez une mauvaise compréhension des sensations corporelles, des maladies, ou de ces deux choses. Vous pouvez penser qu’une maladie grave est à l’origine des sensations de votre corps. Cela vous amène à chercher des preuves qui confirment que vous êtes réellement atteint d’une maladie grave.
  • Vous avez un ou plusieurs membres de votre famille qui s’inquiétaient excessivement de leur santé ou de la vôtre.
  • Vous avez eu des expériences passées avec une vraie maladie grave dans votre enfance. Ainsi, à l’âge adulte, les sensations physiques que vous éprouvez vous font peur.

L’hypocondrie apparaît le plus souvent au début ou au milieu de l’âge adulte et peut s’aggraver avec l’âge. Chez les personnes âgées, l’hypocondrie peut se concentrer sur la crainte de développer des problèmes de mémoire. Les autres facteurs de risque de l’hypocondrie sont les suivants :

  • un événement ou une situation stressante
  • la possibilité d’une maladie grave qui s’avère être sans gravité
  • avoir été maltraité dans l’enfance
  • une maladie grave dans l’enfance ou un parent atteint d’une maladie grave
  • avoir une personnalité inquiétante
  • vérifier excessivement sa santé sur Internet

Les symptômes de l’hypocondrie

Il peut être difficile de savoir si vous ou l’un de vos proches présentez un symptômes d’hypocondrie ou des traits et des comportements qui pourraient être classés comme de l’anxiété liée à la santé. Savoir ce qu’il faut rechercher peut vous aider à déterminer si votre niveau d’hypocondrie est supérieur à la normale.

Les symptômes de l’hypocondrie sont des douleurs, des palpitations, des crampes, des fourmillements, des boutons suspects, des retards de règles… La liste n’est pas exhaustive… Et la peur d’être malade engendre aussi des réactions physiques. C’est, en somme, un cercle vicieux.

Voici quelques symptômes de l’hypocondrie :

  • Vous ne présentez aucun symptôme, mais vous craignez d’être malade. Ou, vous considérez que le fonctionnement normal du corps est un signe que vous avez une maladie grave.
  • Vous ne vous sentez pas réconforté ou rassuré lorsque des tests montrent que vous êtes en bonne santé ou lorsqu’un médecin vous rassure en vous disant que vous n’avez pas une maladie que vous craignez d’avoir.
  • Vous passez beaucoup de temps à faire des recherches en ligne sur les problèmes de santé et les symptômes.
  • Vous vous inquiétez de contracter une maladie grave lorsque vous en entendez parler dans les journaux ou que vous apprenez que quelqu’un que vous connaissez est malade.
  • Vos inquiétudes concernant votre santé vous empêchent de pratiquer vos activités habituelles.
  • Vous vous examinez constamment pour détecter tout signe de maladie.
  • Vous vous rendez fréquemment chez votre médecin pour demander des tests ou des examens pour des maladies que vous craignez d’avoir. Ou bien, vous évitez d’aller chez le médecin par crainte d’un diagnostic sérieux.

L’hypocondrie peut-elle provoquer des symptômes physiques ?

Le fait de s’inquiéter excessivement de sa santé peut provoquer certains symptômes physiques. Parmi les symptômes courants d’anxiété que l’hypocondrie peut déclencher, on peut citer :

  • Maux d’estomac
  • Vertiges
  • Maux de tête
  • La bouche sèche
  • Tension musculaire
  • Fatigue
  • Augmentation du rythme cardiaque
  • Transpiration
  • Essoufflement
  • Besoin fréquent d’aller aux toilettes

Lorsque les personnes souffrant d’hypocondrie présentent les symptômes physiques ci-dessus, elles peuvent les interpréter comme signifiant qu’elles sont atteintes d’une maladie grave. Mais ces symptômes sont en fait causés par une poussée d’adrénaline.

Comment reconnaître une personne hypocondriaque ?

Les hypocondriaques sont des personnes qui :

  • Sont constamment à l’écoute de leur corps : ils font des autodiagnostics et ils utilisent même des gadgets pseudo médicaux ;
  • Ont une imagination irrationnelle, et font d’un simple symptôme, comme une migraine, une maladie grave ;
  • Consultent au minimum un médecin une fois par semaine, c’est le cas de 10 % des français ;
  • Ont une vraie souffrance physique et psychologique :
    • Ils ont peur d’aller dans des lieux peu hygiéniques, comme le métro, un hôpital. On parle alors de nosophobie qui est la peur d’attraper une maladie et entraîne des troubles compulsifs obsessionnels comme le lavage très fréquent des mains par exemple ;
    • Ils sont effrayés à l’idée d’oublier un médicament comme de l’aspirine en sortant de chez eux, ce qui le cas échéant est une grande source d’angoisse ;
  • Ont une très bonne hygiène de vie pour ne pas que des excès, comme l’abus d’alcool, engendrent des symptômes ;
  • Sont admiratifs du milieu médical ou au contraire le détestent ;
  • Ont peur de mourir.

Pendant combien de temps une personne peut souffir de l’hypocondrie ?

La personne souffrant d’hypocondrie peut être encline à s’inquiéter pendant des mois, voire des années, de sa santé. Cependant, elle peut aussi être capable de passer de longues périodes sans même y penser.

Les personnes souffrant de troubles temporaires sont moins susceptibles de souffrir de problèmes psychiatriques ou de troubles anxieux graves, et sont plus susceptibles de souffrir de problèmes médicaux.

La guérison est plus fréquente chez ceux qui ont un meilleur niveau socio-économique. Si un patient souffre d’anxiété ou de dépression, et qu’il répond bien au traitement, il a également plus de chances d’obtenir des résultats positifs.

Comment aider un hypocondriaque ?

Dialoguer pour diminuer l’angoisse

Être hypocondriaque impacte la vie personnelle et professionnelle. Ce trouble narcissique engendre un isolement dû à :

  • L’incompréhension de l’entourage ;
  • L’incompréhension de l’hypocondriaque face aux comportements des autres à son égard.

Ceci renforce l’anxiété et peut conduire à de réelles maladies cardiaques, métaboliques ou mentales.

La meilleure solution consiste à trouver de l’aide auprès d’un psychothérapeute. Mais dans ce contexte de trouble de l’égo, il est très difficile de convaincre une personne souffrant d’hypocondrie de consulter. Il faut parvenir à diminuer l’angoisse, être compréhensif mais ne pas l’encourager. C’est ici que l’entourage et le médecin généraliste ont un rôle à jouer. Ils doivent par le dialogue amener l’hypocondriaque à comprendre qu’il est bien malade mais pas de la maladie physique à laquelle il pense. Lorsque ce premier pas est franchi, des traitements sont possibles.

Aider par des traitements

  • La psychothérapie cognitivo-comportementale : pratique visant à modifier positivement les croyances et pensées négatives ;
  • L’inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine : pour lutter contre la dépression ;
  • L’aide psycho-éducationnelle : consiste à trouver les mots et le moment pour aider le patient à reconnaître sa maladie ;
  • La thérapie familiale ;
  • La thérapie corporelle comme la sophrologie ;
  • Les approches psychanalytiques pour retrouver l’origine et le sens des craintes ;
  • Les médecines douces, comme la phytothérapie ;
  • La relaxation et la méditation ;
  • Toutes les médecines parallèles permettant de lutter contre le stress, comme le magnétisme par exemple.

Si vous souffrez de cette maladie ou qu’une personne de votre entourage en souffre faites-vous aider. Consultez un médecin qui sera plus à même d’engager le dialogue qui mènera sur le chemin de la guérison pour une vie libérée des lourdes contraintes de cette redoutable maladie.

La santé de l’habitat

La santé de l’habitat au service de votre bien-être

Il n’est pas rare que certaines personnes ressentent des sensations particulières lorsqu’elles sont chez elles, alors que c’est le lieu où l’on doit pouvoir se sentir bien, en sécurité pour se reposer, se retrouver en famille. Elles prennent conscience que quelque chose ne va pas dans leur habitat. Cela peut être une sensation de mal-être, mais aussi une fatigue chronique, une maladie inexpliquée, des disputes récurrentes, des problèmes matériels ou financiers qui perdurent…

Plusieurs explications, lorsqu’on a écarté la raison médicale, peuvent être avancées en lien avec le lieu de vie : les souffrances des précédents habitants, la présence d’âmes errantes, des problèmes d’aménagements ou de construction… Cela crée un déséquilibre énergétique qui doit être harmonisé pour que vous vous sentiez mieux chez vous.

Plusieurs intervenants s’occupent de la santé de l’habitat pour assurer votre bien-être comme le sourcier, le géobiologiste, le thérapeute en Feng Shui, le magnétiseur ou encore le spécialiste en Vastu Shastra.

Après avoir vu ce qui peut nuire à votre bien-être au sein de votre habitat, nous nous intéresserons aux différents intervenants capables de lui redonner la santé et la vôtre !

 

Votre habitat joue sur votre bien-être

Quelles énergies dans votre habitat ?

Votre lieu de vie a une influence sur votre bien-être. Les énergies en présence se trouvent sur le plan physique avec l’énergie tellurique, le plan psychique avec les énergies “subtiles” électriques, magnétiques et des mémoires et sur le plan spirituel avec l’énergie cosmique.

Quels bénéfices à harmoniser les énergies ?

En cas de problèmes récurrents du type fatigue, disputes… ou si vous emménagez ou faites construire, pensez à harmoniser l’énergie de votre habitat qui agira sur :

  • Votre santé physique, mentale et émotionnelle ;
  • Vos liens avec les personnes vivant sous le même toit : conjoint, enfants… ; 
  • Votre capacité à faire des projets et les mener à bien ;
  • Votre vie sociale ;
  • Votre sommeil ;
  • Votre prospérité.

Comment harmoniser les énergies ?

Voici une liste non exhaustive qui dépend du praticien qui intervient sur votre habitat et de ses ressentis ainsi que des vôtres :

 

  • Le nettoyage énergétique ;
  • La neutralisation des ondes nocives ;
  • Les techniques du Feng Shui ;
  • L’augmentation du niveau vibratoire d’un lieu : circulation de l’eau, de la lumière ;
  • La revitalisation en protégeant la maison contre le bruit, les vibrations électromagnétiques : wifi, pylônes… ;
  • La revitalisation par les couleurs, le choix de mobilier, les tissus naturels…

 

 

Des pratiques et des praticiens de la santé de l’habitat pour retrouver votre bien-être

Le Feng Shui, une philosophie ancestrale chinoise

Le Feng Shui est un système philosophique chinois qui s’appuie sur la conception taoïste du monde, les relations entre le monde visible et invisible pour occuper l’espace de manière harmonieuse en laissant circuler librement l’énergie vitale : le chi.

Le Feng Shui repose sur deux principes : le principe du yin et du yang et le principe des 5 éléments :

  • Le yin et le yang : l’équilibre entre les polarités féminine (yin) qui symbolise l’inactif, l’ombre, le froid, la nuit et masculine (yang) symbolisant le mouvement, la lumière et l’eau, est nécessaire pour assurer le flux du chi.
  • Les 5 éléments : ils sont liés dans un cycle parfait ainsi l’eau nourrit le bois, le bois nourrit le feu, le feu réduit en cendres nourrit la terre, la terre d’où se forment les minéraux donnant le métal qui, chauffé, devient de l’eau.

 

Selon ces principes, un lieu a une influence sur les êtres vivants qui l’habitent. Ainsi, dans la maison, les meubles, la circulation de la lumière et de l’eau et les objets de décoration ne doivent pas être choisis, ni placés à la légère pour influer positivement sur les occupants.

Par exemple, dans la chambre, il faudra favoriser l’élément terre en évitant les lumières vives, en préférant les couleurs ocres, en mettant le lit loin de la porte pour éviter que le vent n’assèche la terre.

Le Feng Shui permet un aménagement harmonieux de son intérieur, une rénovation éclairée, le choix de l’emplacement des pièces lors d’une construction et tout cela pour apporter le bien-être dans la vie personnelle : image de soi, performance, échanges affectifs, santé…

Le praticien de Feng Shui est un spécialiste, il se sert d’un « bagua », un diagramme qui cartographie les parties du logement et il est capable de savoir de quelle manière elles influencent l’état émotionnel et psychique des habitants. Le « bagua » s’utilise avec une boussole et chaque direction a un sens, le sud-est est propice à l’ouverture aux autres par exemple. Le Feng Shui est un véritable art empreint de techniques que l’on retrouve en géobiologie notamment.

La géobiologie, l’énergie de la terre

La géobiologie permet d’harmoniser l’énergie d’un lieu pour qu’il soit favorable à ses occupants : humains, animaux et plantes.

Elle étudie pour ce faire les ondes liées aux champs magnétiques et électriques, aux courants d’eau souterrains, aux réseaux telluriques, aux failles géologiques… Formée de géo, la terre, de bio, la vie, et de logie, l’étude, cette discipline étudie l’influence des énergies physiques, psychiques et spirituelles.

Le géobiologiste éloigne les sources de pollution électromagnétique tangible comme le wifi et celles sur lesquelles on ne peut pas agir directement comme les lignes hautes tensions par exemple. Il assainit les nuisances géobiologiques et nettoie votre habitat des énergies subtiles notamment les énergies des mémoires.

Le sourcier, l’énergie de l’eau

Tout le monde le sait, l’eau est indispensable à la vie. Ce que l’on sait moins, c’est que lorsqu’elle est souterraine, elle exerce une grande influence sur les êtres vivants : humains, animaux et végétaux. Généralement le sourcier utilise une baguette en bois de noisetier en forme de fourche, mais souvent il est capable de ressentir les sources sans cette baguette. Lorsque les deux parties formant la fourche se rapprochent, cela indique une ligne d’eau. Il n’est pas rare de voir sur une ligne d’eau des bâtiments fissurés ou des arbres penchés, comme s’ils subissaient ou évitaient l’eau.

Les sourciers sont des géobiologistes. Ils ont constaté que les lieux situés à l’aplomb de croisements de lignes d’eau sont géopathogènes. Sous une habitation, elles ont un impact réel sur les occupants plus ou moins important en fonction de leur sensibilité.

N’oublions pas que nos ancêtres faisaient appel aux sourciers avant d’implanter un village et que les bergers cherchaient les lignes d’eau pour ne pas rester longtemps avec leurs bêtes dans un endroit nocif.

Le magnétiseur spécialisé dans la géobiologie

Le magnétiseur spécialisé dans l’énergie de l’habitat rétablit l’harmonie énergétique comme il le fait sur les êtres vivants : humains et animaux. Intervenir sur la personne et l’habitat sont deux gestes complémentaires puisque les énergies circulent dans l’un comme dans l’autre.

Le magnétiseur géobiologiste va étudier l’environnement de l’habitat sur 3 plans :

  • L’énergie tellurique : de la terre ;
  • L’énergie électromagnétique : les ondes basses et hautes fréquences ;
  • L’énergie des mémoires : des événements passés.

Le spécialiste en Vastu Shastra

Le Vastu Shastra, de tradition indienne, signifie en sanskrit, la science de la maison. Il mêle Feng Shui et géobiologie. C’est un art ancestral holistique qui met en symbiose architecture et nature, environnement et conscience. Ainsi dans la construction des bâtiments sont étudiés : l’emplacement, les chemins d’accès, l’orientation, les matériaux, la décoration, les proportions, l’orientation selon les points cardinaux… en respectant l’équilibre énergétique.

 

Pour conclure, nous pouvons constater que chaque pratique fait intervenir la géobiologie. On ne s’improvise pas géobiologiste, des connaissances et des capacités à ressentir sont nécessaires. N’hésitez pas à faire appel à l’un des praticiens nommés ou d’autres qui seraient spécialisés en géobiologie si vous ressentez quelque chose d’anormal dans votre logement. Soyez à votre écoute… et prenez soin de vous !

Les vertiges, étourdissements : causes, symptômes, diagnostics et traitements

Le vertige est un trouble de l’équilibre dont souffre 1 personne sur 7. Les personnes concernées utilisent souvent l’expression « J’ai la tête qui tourne » à juste titre puisque c’est exactement la sensation ressentie : tout se met à tourner autour d’elles.

Il est important de faire la distinction entre le malaise et le vertige « vrai » qui provoque une sensation de déplacement du corps dans l’espace avec mouvement de rotation et perte d’équilibre.

Le vertige est parfois invalidant et entraîne une grande anxiété provoquant une véritable gêne dans la vie quotidienne et au travail. C’est pourquoi la cause du vertige qui n’est qu’un symptôme doit être absolument diagnostiquée afin de trouver le traitement adapté.

Pour tout savoir des vertiges : causes et traitements, lisez l’article !

Qu’est-ce que le vertige ?

Le vertige est un terme qui décrit toute une série de sensations, telles que l’instabilité, l’étourdissement, la faiblesse ou l’évanouissement. Il s’agit d’une sensation que la plupart des gens peuvent ressentir de temps en temps. Ils sont rarement le signe d’un problème grave.

L’étourdissement est la sensation de tête légère, de vertige ou de déséquilibre. Ils sont liés aux organes sensoriels, notamment les yeux et les oreilles, et peuvent donc parfois provoquer des évanouissements. Les étourdissements ne sont pas une maladie en soi, mais plutôt un symptôme de divers troubles.

Les étourdissements peuvent survenir lorsque vous êtes en mouvement, immobile ou allongé. Lorsque vous avez des vertiges, vous pouvez vous sentir :

  • Faible
  • Étourdi
  • Nauséeux
  • Instable
  • Étourdi.

Les causes des vertiges

Les causes des vertiges sont nombreuses : des problèmes d’oreille interne, le mal des transports, ainsi que des médicaments peuvent en être la cause. Parfois, c’est le résultat d’un problème de santé sous-jacent comme une infection, une mauvaise circulation ou des blessures.

La façon dont vous vous sentez et les déclencheurs des vertiges donnent des indices sur la cause possible. La durée des vertiges ainsi que les autres signes que vous pouvez présenter peuvent aider à en déterminer la cause.

Le vertige a plusieurs causes possibles :

  • Le système vestibulaire situé au niveau de l’oreille interne, associé à la vue et la sensibilité proprioceptive, la capacité à situer notre corps dans l’espace, permet l’équilibre. Son dysfonctionnement, engendrant des vertiges, peut être dû à :
  • Une infection du labyrinthe, secondaire à une infection de l’oreille comme l’otite chronique ;
  • La maladie de Ménière ;
  • Une inflammation du nerf ;
  • Des troubles des vaisseaux irriguant l’oreille ;
  • Un traumatisme de l’oreille interne ;
  • Des causes toxiques ou à cause de médicaments. 
  • Une complication cérébrale ou neurologique qui entraîne des vertiges dits centraux dus à :
  • Une diminution de vascularisation des structures cérébrales responsables de la posture ;
  • Une tumeur.
  • Le vertige ou malaise d’origine psychologique résultant d’une grande anxiété comme par exemple l’agoraphobie.

Quels sont les symptômes des vertiges ?

Si vous avez des vertiges ou si vous êtes victime d’une crise de vertige, vous vous sentez généralement étourdi, instable ou déséquilibré et vous pouvez également vous sentir faible. Vous pouvez également avoir l’impression que vous allez vous évanouir. Si vous avez l’impression que le monde tourne ou bouge, il s’agit d’un vertige.

Les personnes qui ont le vertige peuvent ressentir diverses sensations, notamment :

  • des étourdissements ou des évanouissements
  • une fausse impression de rotation
  • instabilité
  • une perte d’équilibre
  • une sensation de flottement

Parfois, les étourdissements s’accompagnent de nausées, de vomissements ou d’évanouissements. Demandez une aide médicale d’urgence si vous présentez ces symptômes pendant une période prolongée.

Les vertiges : diagnostic et traitements

Quand consulter ?

  • Appelez immédiatement le service d’aide médicale d’urgence (SAMU) en composant le 15 ou le 112 si vous avez des vertiges ou quelqu’un de votre entourage :
    • Suite à un traumatisme crânien ;
    • En cas de doute sur l’état du système de chauffage au gaz, au mazout ou au charbon ;
    •  En cas de diabète associé à une prise d’insuline.
  • Consultez un médecin dans la journée :
    • Si les vertiges sont accompagnés de maux de tête, d’acouphènes, de paralysie, de vomissements, d’un comportement étrange.
  • Consultez un médecin dans les jours qui viennent :
    • Lorsque les vertiges se prolongent plusieurs heures ou sont récurrents ;
    • Si les vertiges surviennent suite à la prise d’un nouveau traitement médical.

Comment le diagnostic du vertige est-il posé ?

Le médecin questionne le patient sur l’apparition des vertiges, sur leur fréquence, sur leur durée, sur les éléments déclencheurs, s’il y a eu des chutes, sur les impressions ressenties et les antécédents éventuels. Un examen clinique des conduits auditifs, du tympan, de l’équilibre, du mouvement des yeux est effectué. Des examens complémentaires tels qu’une analyse de sang, un examen auditif, un bilan cardiaque, un scanner ou IRM de l’oreille interne peuvent s’avérer utiles. Parfois, un examen neurologique complet doit être réalisé. Le but étant de déterminer si la cause est un dysfonctionnement du système vestibulaire ou si elle résulte d’une complication cérébrale ou neurologique.

Quels sont les traitements possibles contres les vertiges ?

En fonction des causes, le traitement diffère bien évidemment.

  • En cas de suspicion d’Accident Vasculaire Cérébrale (AVC), l’hospitalisation d’urgence permet une prise en charge immédiate du patient.
  • Si la cause est curable, le traitement peut être chirurgical.
  • Si la cause est incurable, ce sont les symptômes qui sont visés par le traitement : le repos dans le noir et dans le calme, les anti vertigineux souvent par voie intraveineuse lente, des vasodilatateurs ou d’’autres médicaments agissant sur les structures vestibulaires de l’oreille comme des antihistaminiques calmants, des antiémétiques contre les nausées et vomissements, des médicaments tranquillisants pour lutter contre l’anxiété.
  • Pour soulager les vertiges engendrés par l’anxiété ou l’anxiété créée par les vertiges, les médecines parallèles comme le magnétisme peuvent être d’une grande aide.

Si vous êtes sujet à des vertiges, ne tardez surtout pas à consulter votre médecin. Et si vous souffrez de stress à cause de vertiges, n’hésitez pas à me contacter.

Conseils pour gérer les vertiges

Utilisez ces suggestions si vous souffrez d’épisodes fréquents de vertiges :

  • Détendez-vous ou allongez-vous immédiatement dès que vous commencez à ressentir des étourdissements, et faites une pause jusqu’à ce que les étourdissements disparaissent. Cela vous évitera de devenir instable et de vous blesser ou de tomber.
  • Utilisez un déambulateur ou une canne pour vous stabiliser, si nécessaire.
  • Faites des exercices pour améliorer votre équilibre, comme le sport.
  • Évitez de faire des changements ou des mouvements brusques.
  • Ne conduisez pas de véhicule et n’utilisez pas de machines lourdes si vous ressentez fréquemment des vertiges qui ne sont pas accompagnés d’avertissement.
  • Ne buvez pas de l’alcool, de la caféine et du tabac. La consommation de ces substances pourrait provoquer des étourdissements ou les aggraver.
  • Buvez beaucoup d’eau et passez une bonne nuit de sommeil. La capacité de rester calme dans des situations stressantes pourrait vous aider.
  • Si vous pensez qu’un médicament est à l’origine de vos étourdissements, discutez avec votre médecin de la possibilité de réduire la dose ou de passer à un autre médicament.
  • Détendez-vous dans un endroit frais et buvez des liquides si vos étourdissements sont dus à la surchauffe ou à la déshydratation.

Consultez toujours un médecin si vous êtes préoccupé par la fréquence ou la gravité de vos étourdissements.

Maux d’estomac : Pourquoi ? Comment aller mieux ?

Les maux d’estomac sont fréquents, qui n’en a jamais eu ? Les symptômes diffèrent et révèlent des causes distinctes. Souvent d’origine bénigne, les douleurs à l’estomac ou douleurs gastriques peuvent avoir des causes sérieuses qu’il faut bien diagnostiquer pour se faire soigner et ne plus être perturbé par la gêne qu’elles occasionnent.

Nous allons voir ensemble les symptômes et les causes des maux d’estomac. Nous verrons ensuite que faire pour aller mieux.

Les symptômes : est-ce bien un mal d’estomac ?

Avant toute chose, il est important de bien différencier le mal à l’estomac d’une autre douleur abdominale. L’estomac est situé dans le haut de l’abdomen au niveau de l’épigastre, au-dessus du nombril. Mais d’autres organes sont situés dans cette zone, le gros intestin et le pancréas, alors ce n’est pas évident de faire le bon diagnostic.

Voici les symptômes en cas de douleurs gastriques :

  • Des crampes ou des spasmes à l’estomac : ce sont des contractions douloureuses des muscles de l’estomac ;
  • Des brûlures ou des reflux gastriques : caractérisées par des remontées acides le long de l’œsophage jusqu’au fond de la gorge, elles provoquent une sensation de brûlure ;
  • Des nausées ;
  • Des ballonnements à l’estomac et abdominaux : le ventre est gonflé à cause de gaz coincés dans l’intestin et l’estomac qui entraînent des éructations et des flatulences.

Les causes : pourquoi a-t-on mal ?

Le plus souvent les maux d’estomac sont liés à des troubles digestifs. Après un repas copieux, trop arrosé, mal équilibré ou en cas de changement de régime alimentaire par exemple, il en résulte une mauvaise digestion, ou dyspepsie. Ces maux ne sont pas inquiétants et disparaissent assez vite. Il s’agit de ballonnements, de reflux gastriques ou de crampes le plus souvent.

Par contre, lorsque les douleurs sont persistantes et répétées, les causes sont généralement plus sérieuses. La première d’entre elles est le stress. Il est responsable de bien des maux comme l’eczéma lien, l’urticaire lien, le mal de dos, les insomnies lien… et aussi de douleurs gastriques. Mis à part le stress, il peut s’agir d’une maladie d’origine bactérienne ou virale comme la gastrite, la gastro-entérite ou l’ulcère à l’estomac. Enfin, le cancer à l’estomac peut aussi être envisagé. Cette cause est certes extrême, c’est pour cela qu’il est nécessaire de consulter son médecin en cas de douleurs fréquentes, vives, persistantes ou liées à d’autres symptômes comme des nausées, des vomissements, des maux de têtes ou une fatigue générale.

Comment aller mieux ?

Prévenir les maux d’estomac

Des petits conseils simples permettent de prévenir les maux d’estomac liés à la digestion.

  • Mangez équilibré, surtout le soir, en évitant les épices, les aliments gras, acides ou trop sucrés ;
  • Mastiquez, prenez le temps de bien mâcher en mangeant ;
  • Adoptez une bonne hygiène de vie ;
  • Limitez les facteurs de stress lien en ayant recours aux médecines alternatives comme la phytothérapie, la méditation, la sophrologie, le magnétisme qui peuvent vous aider à mieux gérer votre stress.

Traitements médicamenteux

C’est le pharmacien en cas de causes bénignes ou pour des causes plus sérieuses, le médecin généraliste ou le gastro-entérologue qui ayant posé un diagnostic vous préconiseront le traitement médicamenteux adapté.

Ainsi :

  • Contre les crampes ou les spasmes, les antispasmodiques sont préconisés ;
  • Contre les douleurs vives, des antalgiques ou des analgésiques sont prescrits ;
  • Contre les brûlures et les remontées acides, ce sont des antisécrétoires, des antihistaminiques ou encore des inhibiteurs de la pompe à protons qui sont efficaces ;
  • Contre une infection, il faut des antibiotiques.

Les maux d’estomac ne sont pas une fatalité mais doivent tout de même être pris au sérieux. Liés à la digestion, ils passeront avec une meilleure hygiène de vie. Mais lorsque les symptômes sont plus sérieux, un diagnostic médical s’impose.

Dans tous les cas, le magnétiseur peut vous aider à gérer la douleur et votre stress, alors n’hésitez pas à me contacter.

urticaire : Causes, formes et traitements

L’urticaire est une dermatose provoquée par une hypersensibilité de certaines cellules de la peau, les mastocytes. On voit apparaître, lors de leur activation, des boutons ressemblant à des piqûres d’orties. Cette éruption cutanée est prurigineuse, c’est-à-dire qu’elle démange et, elle est aussi fugace. On distingue la crise d’urticaire ou urticaire aiguë qui disparaît et réapparaît de quelques minutes à quelques heures, de l’urticaire chronique qui se produit régulièrement et dure plus de 6 semaines. Si la cause est connue, on peut la traiter et l’urticaire est guérie, mais lorsque la cause est inconnue, seuls les symptômes sont traités et l’urticaire s’installe.

Nous allons d’abord voir ensemble les causes et les formes possibles de l’urticaire et ensuite nous ferons le tour des moyens pour la soulager.

Les causes et les formes d’urticaires

Chaque personne concernée par une urticaire aiguë ou chronique doit en chercher les causes la favorisant. Il faut porter attention à différents facteurs :

Facteurs allergiques

  • Un médicament comme par exemple l’aspirine, les anti-inflammatoires non stéroïdiens, la morphine et la codéine ;
  • Un animal, une piqûre d’insecte ;
  • Des aliments, des boissons tels que les tomates, fraises, fruits de mer et crustacés, ananas, vin blanc, conserves, chocolat, thon, thé, café, alcool…

Facteurs physiques

  • La pression et les vêtements serrés ;
  • Les frottements comme lors du port du masque par exemple ;
  • L’urticaire solaire ;
  • L’urticaire au froid dû au refroidissement de la peau ou des muqueuses au contact de l’air, de l’eau, d’objets froids ou d’aliments glacés ;
  • L’urticaire cholinergique causée par l’effort, la chaleur ;
  • Une infection, c’est souvent l’immunologie qui est en cause dans ce cas.

Facteur psychique

L’urticaire appelée cholinergique peut être provoquée par l’effort ou la chaleur comme on l’a vu, mais aussi par le stress. Les symptômes se caractérisent par l’apparition de petites papules rouges sur le dos et le thorax. La crise qui peut durer entre un quart d’heure et une heure, s’accompagne souvent de maux de tête et/ou de troubles digestifs.

L’urticaire géante et complications possibles

L’urticaire géante

On parle d’urticaire géante ou généralisée lorsque les plaques sont réparties sur plusieurs parties du corps et se rejoignent.

Le choc anaphylactique

Le choc anaphylactique est une urgence vitale absolue. Plusieurs symptômes, dont l’urticaire, lui sont associés : respiratoires, ORL, cardiaques, cutanés, digestifs comme une crise d’asthme, un œdème de Quincke, des vomissements, une rhinite, une conjonctivite…

Pour le prévenir, il est préconisé de faire un bilan allergologique.

Les traitements contre l’urticaire

L’urticaire aiguë doit être examinée par un médecin qui peut vous préconiser de voir un dermatologue ou un allergologue. Il vaut mieux ne pas perdre de temps pour consulter car si la cause est proche dans le temps, un aliment ingéré la veille par exemple, il sera d’autant plus simple de soigner l’urticaire.

Pour soulager les symptômes, vous pouvez, en plus de votre docteur, vous tourner vers la médecine parallèle et consulter un thérapeute comme un sophrologue, un magnétiseur… 

Soulager la crise d’urticaire naturellement

Localement, pour soulager les démangeaisons, une compresse d’eau chaude ou d’eau glacée avec quelques gouttes de vinaigre ou un gel mentholé peut être efficace. Il est par contre conseillé d’éviter les huiles essentielles à cause des allergies possibles.

Si la cause est alimentaire ou médicamenteuse, évitez les colorants chimiques, les conservateurs, l’aspirine et les anti-inflammatoires, les antibiotiques, les levures comme le pain, la bière, le cidre et enfin les aliments avec histamine : fromage fermenté, charcuterie, fraises…

Des gestes quotidiens peuvent être effectués comme éviter de porter des vêtements qui frottent ou serrent la peau.

Plus en profondeur, gérer son stress ne peut être que bénéfique car il a un impact direct sur la poussée d’urticaire. Voici quelques conseils pour lutter contre le stress : la respiration profonde, la méditation, l’hypnose ou encore en consultant un magnétiseur par exemple.

Les traitements médicamenteux contre l’urticaire

Les antihistaminiques

Contre l’urticaire aiguë, les antihistaminiques traitent les symptômes de l’allergie. Généralement pris pendant une dizaine de jours, ils calment la poussée.

Contre une urticaire chronique dont la cause est indéterminée, un antihistaminique de 2ème génération est prescrit par un dermatologue.

Un anticorps monoclonal

Pour les personnes souffrant d’urticaire chronique et pour qui les antihistaminiques ne fonctionnent pas, un anticorps monoclonal, l’Omalizumab, semble être efficace, sur prescription hospitalière uniquement.

12 à 20 % de la population fera au moins une poussée d’urticaire aiguë dans sa vie et 1 % de la population européenne souffre d’urticaire chronique. Cette pathologie n’est pas anodine, cependant comme nous l’avons vu des solutions existent.Si vous vous rendez compte que vos poussées d’urticaire sont liées au stress et/ou que vous avez des difficultés à soulager les symptômes, n’hésitez pas à me consulter, je pourrai sans doute vous soulager.

Hypersomnie l Tout savoir sur ce trouble du sommeil

« Je suis tout le temps fatigué(e), je m’endors n’importe où, n’importe quand,  je dors trop, je me sens mal… ». Si vous prononcez ces mots, il est possible que vous soyez hypersomniaque. Les somnolences intempestives en journée ou de longue nuit avec un réveil difficile doivent vous alerter. Votre corps vous parle, ne le négligez pas, et consultez un médecin généraliste ou un spécialiste du sommeil.

L’hypersomnie, sommeil anormalement prolongé ou survenant trop fréquemment, est un symptôme qui a un impact terrible sur le quotidien. Se sentir fatigué(e) en permanence, s’endormir sans le vouloir est une grande source de danger, en voiture par exemple mais aussi au travail si vous manipulez des machines… Outre les dangers directs, les conséquences peuvent aussi être psychiques comme une forte anxiété, un état dépressif, des troubles du comportement ou des troubles cognitifs.

Pour mieux comprendre ce trouble du sommeil, cet article pourra sans doute vous éclairer.

Hypersomnie idiopathique et secondaire

L’hypersomnie idiopathique

Cette maladie extrêmement rare touche les personnes entre 15 et 30 ans. Elle est qualifiée d’idiopathique car aucune cause n’a été identifiée.

Elle se caractérise par une somnolence diurne quasi permanente obligeant à faire des siestes de plusieurs heures, non réparatrices pour autant. Le sommeil est de bonne qualité mais le réveil extrêmement difficile est parfois même accompagné de confusion.

On distingue deux formes d’hypersomnie idiopathique :

  • Long sommeil nocturne de plus de 10 h  et longue sieste diurne de plusieurs heures
  • Sommeil nocturne normal et accès de sommeil plus ou moins irrépressibles la journée

Les traitements médicamenteux ne soignent pas la cause puisqu’elle est inconnue mais agissent sur les symptômes : somnolence et manque de concentration.

Les traitements non médicamenteux se rapportent à l’hygiène de sommeil en évitant les siestes, en gérant le nombre d’heures consacrées à dormir, en régulant les horaires de coucher et de lever.

L’hypersomnie secondaire

L’hypersomnie secondaire peut être dûe à :

  • des lésions cérébrales
  • des troubles psychiques comme la dépression
  • des maladie telles que l’urémie et la fibromyalgie
  • des effets secondaires lors de prises de médicaments, d’alcool ou de drogue
  • une prédisposition génétique
  • des troubles du sommeil tels que la narcolepsie, le syndrome d’apnées du sommeil et le syndrome des jambes sans repos.

Le syndrome des jambes sans repos et le syndrome d’apnée du sommeil sont des pathologies du sommeil dont les symptômes sont des insomnies. Vous pouvez lire mon article dédié aux insomnies lien insomnie sur mon blog, qui traite en détail de ces deux syndromes.

Narcolepsie

Les symptômes

La narcolepsie est une maladie rare commençant à l’adolescence. Caractérisée par une somnolence et un besoin irrépressible de dormir en journée, elle a des répercussions sociales et professionnelles indésirables. D’ailleurs, la législation oblige pour l’obtention ou le maintien du permis de conduire, à suivre un traitement efficace. Les siestes sont réparatrices et agissent sur la somnolence de manière transitoire, ce qui masque la maladie. En effet, une somnolence excessive doit alerter et donner lieu à une consultation médicale.

D’autres symptômes entourent la maladie.

  • La cataplexie : c’est un relâchement musculaire brusque survenant en plein éveil, localisé ou généralisé. La cataplexie peut entraîner une chute. Elle fait souvent suite à une émotion.
  • La paralysie du sommeil : c’est l’incapacité totale de bouger au moment du réveil ou de l’endormissement.
  • Les hallucinations hypnagogiques ou hypnopompiques : ce sont des perceptions visuelles, auditives et tactiles, plutôt désagréables qui surviennent également au moment de l’endormissement ou du réveil. Elles s’apparentent à des rêves voire des cauchemars éveillés.
  • Les insomnies et cauchemars.

Le traitement

Les traitements médicamenteux, sous prescriptions médicales, n’apportent pas la guérison, mais agissent efficacement sur les symptômes.

Une bonne gestion du sommeil est judicieuse : horaires réguliers de coucher et de réveil, siestes réparatrices.

Un traitement naturel, comme le recours à un thérapeute et une médecine parallèle peuvent aussi être d’une bonne aide.

Le syndrome de Kleine-Levin

Le KLS est une maladie extrêmement rare caractérisée par une hypersomnie pouvant aller jusqu’à plus de 20 heures par jour. Elle évolue cycliquement, par poussées à certaines périodes de l’année. Ce trouble, qui touche surtout les hommes, commence souvent à l’adolescence. Il s’estompe autour de 30 ans mais peut réapparaître.

En dehors des poussées, les personnes touchées vivent normalement et font leurs activités habituelles. Mais, les conséquences pendant les crises, ou poussées, sont importantes. Comme la maladie est difficile à diagnostiquer, elle est source d’angoisse et d’isolement. De plus, comme elle touche les jeunes à partir de 15 ans, elle perturbe leur scolarité et leurs rapports sociaux, ce qui est une grande source de stress et peut aboutir à un repli total.

Les symptômes éveillés

  • irritabilité, saute d’humeur
  • manque d’énergie
  • absence d’émotions
  • repli sur soi
  • anxiété
  • confusion, désorientation
  • hallucinations hypnagogiques
  • sentiment d’irréalité ou d’étrangeté du monde extérieur
  • délires
  • signe d’hypersexualité
  • difficulté de concentration et de mémorisation
  • ingestion de grande quantité de nourriture ou refus de se nourrir
  • céphalées, hypersensibilité aux bruits

Les causes

La cause du syndrome de Kleine-Levin n’est pas connue, mais des hypothèses ont été formulées. L’une d’entre elles suggère un mauvais fonctionnement de l’hypothalamus, région du cerveau qui participe à la régulation de fonctions comme le sommeil, l’appétit et la température du corps. Une autre hypothèse va dans le sens d’une maladie auto-immune, une action anormale du système immunitaire. Dans 10% des cas, la maladie est associée à une autre qui peut être inflammatoire, génétique, vasculaire ou néoplasique.

Être hypersomniaque ne doit pas être traité à la légère. Le diagnostic n’étant pas aisé à réaliser, n’attendez pas et consultez un médecin dès les premiers signes. Parallèlement, je peux vous aider à soulager certains symptômes secondaires, n’hésitez pas à me questionner.

Insomnie l Tout savoir sur ce trouble du sommeil

Je dors mal, j’ai du mal à m’endormir, je suis fatigué(e)… Voilà le genre de phrases que l’on prononce ou que l’on entend souvent prononcer autour de nous… Une variation de la durée du sommeil, une détérioration de sa qualité sont des signaux envoyés par votre corps. Vous souffrez probablement d’insomnie. Il ne faut pas les négliger, ils méritent un diagnostic médical qu’un médecin généraliste ou un spécialiste du sommeil peut établir.

L’insomnie est un symptôme qui a une répercussion importante sur la vie quotidienne avec des conséquences qui peuvent être graves, comme la dépression, les troubles de comportements, de l’humeur, de la mémoire ou de la concentration et bien évidemment la fatigue et l’irritabilité. Et ces mêmes conséquences entretiennent les troubles du sommeil.

Vous allez, grâce à cet article, tout savoir sur ce trouble du sommeil qu’est l’insomnie.

L’insomnie : un symptôme pour différentes causes

L’insomnie, qui toucherait 1 français sur 5, se caractérise par un sommeil de mauvaise qualité, des difficultés à s’endormir, des réveils au cours de la nuit, un réveil précoce. Elle prend différentes formes et elle a différentes causes.

L’insomnie occasionnelle

C’est l’insomnie la moins pénible puisqu’elle disparaît quand sa cause n’existe plus.

Transitoire, elle est liée à : 

  • des événements immédiats tels que la prise d’excitants, le bruit, une mauvaise hygiène de vie
  • à l’état émotionnel du moment
  • à des pathologies identifiées pour lesquelles un traitement doit être pris telles que une hyperthyroïdie, un reflux gastro-œsophagien, un asthme nocturne, des rhumatismes…

Transitoire, elle passera lorsque les événements perturbateurs seront terminés. Mais, le problème de l’insomnie occasionnelle, c’est qu’elle peut devenir chronique.

L’insomnie chronique

L’insomnie chronique, caractérisée par sa durée dans le temps, concerne 10 % des français. Elle est soit le symptôme d’une pathologie, soit la résultante de troubles psychologiques.

Voyons les différentes insomnies chroniques et leur cause.

L’insomnie psychophysiologique

Une insomnie qui devait être transitoire puisque la cause connue n’existe plus, peut s’installer pourtant durablement. Pourquoi ? Par un conditionnement qui s’auto-entretient, comme une habitude prise inconsciemment, la peur de ne pas pouvoir s’endormir par exemple. C’est ce qu’on appelle l’insomnie psychophysiologique.

L’insomnie liée à des troubles psychologiques

Stress, anxiété, dépression sont à la fois symptômes et causes des insomnies chroniques. C’est un implacable cercle vicieux qui se met en place. Il est important de soigner ces troubles rapidement. Demandez conseil à votre médecin et pensez aux médecines alternatives pour vous aider à gérer votre stress durablement.

Les insomnies liées à des pathologies du sommeil

Le syndrome des jambes sans repos 

Le syndrome des jambes sans repos se manifeste de deux manières :

  1. Des sensations désagréables dites d’impatience décrites comme des lourdeurs, des picotements, des brûlures, des ruissellements qui poussent à se lever, à bouger.
  2. Des mouvements inconscients périodiques de flexion des pieds et des orteils, du genou voire de la hanche, au cours du sommeil. Généralement non ressentis par le dormeur, ces mouvements fragmentent néanmoins le sommeil.

Les causes sont connues :

  • Une hyperexcitabilité ou un défaut de mise au repos du système nerveux, dans ce cas des médicaments facilitant la transmission de l’influx nerveux entre les neurones sont efficaces.
  • Des maladies spécifiques du système nerveux, pour lesquelles un traitement particulier s’impose.
  • Une carence en fer, et donc la reconstitution des réserves ferriques est souvent très efficace.
  • En cas d’insuffisance rénale ou de diabète, il faut là aussi un traitement adapté.
  • Une histoire familiale dans près de 90% des cas, il faut s’adresser alors à un thérapeute approprié.

Le syndrome d’apnées du sommeil

Ce syndrome se manifeste souvent après 50 ans et touche 8 % de la population. Il se caractérise par des pauses respiratoires de plus de 10 secondes dues à une obstruction du pharynx. Ces apnées peuvent se produire jusqu’à des centaines de fois par nuit, et créent des micro-éveils nécessaires à la reprise de la respiration. C’est souvent l’entourage qui s’en rend compte, le dormeur ne se plaint généralement pas d’un mauvais sommeil qui est pourtant fortement morcelé.

La nuit, ce syndrome provoque des ronflements sonores et l’envie fréquente d’uriner. Les autres conséquences sont une somnolence diurne excessive, des troubles de l’attention, de la mémoire ou de l’humeur, une hypertension artérielle, une baisse de la libido. Ces symptômes ne sont pas à prendre à légère. Ils sont pour certains source de conséquences graves comme des risques d’accidents dus à la somnolence, d’infarctus et d’attaque cérébrale à cause de l’hypertension artérielle.

Les causes sont diverses : le surpoids, la morphologie, l’excès d’alcool ou de médicaments, mais aussi les pathologies comme l’hypertension et les atteintes cardiovasculaires. 

Le traitement qui doit être prescrit par un médecin, varie bien évidemment en fonction des personnes :

  • Il faut supprimer le soir, l’alcool et certains médicaments comme les tranquillisants et les somnifères, sous contrôle médical bien sûr.
  • Dans les syndromes d’apnées du sommeil sévères ou relativement sévères, la pression positive continue s’avère efficace. Il s’agit d’un masque nasal dans lequel un appareil souffle un peu d’air. Ainsi, les voies aériennes restent ouvertes.
  • La perte de poids, le cas échéant, est indispensable.
  • Le traitement chirurgical portant sur les tissus mous de la gorge est parfois efficace sur les apnées du sommeil peu nombreuses et, d’une manière générale, sur le ronflement avec ou sans apnée.
  • Un appareil dentaire nocturne, amovible, est utile contre les apnées peu nombreuses.

Il est à noter que ces deux syndromes, des jambes sans repos et d’apnées du sommeil, provoquent des hypersomnies secondaires.lien hypersomnie 

Quelques conseils pour mieux dormir

Bien sûr, d’une manière générale, une bonne hygiène de vie favorise un bon sommeil.

Ainsi, évitez les excitants et le sport avant de dormir. Mangez léger et évitez l’alcool. Écoutez de la musique douce, regardez la télévision, lisez et méditez. Rappelez-vous que le lit est fait pour dormir et se câliner mais pas pour manger, travailler, ni regarder la télévision.

Respectez les signes de fatigue que votre corps vous envoie, ne luttez pas contre le sommeil.

Enfin, ne prenez pas de médicaments sans prescription médicale.

Si votre sommeil n’est pas serein, ni récupérateur, ou que vous somnolez en journée, consultez rapidement votre médecin et lisez mon article dédié à l’hypersomnie lien hypersomnie. Et si vous êtes insomniaque, anxieux et stressé, contactez-moi !

Harmoniser ses Chakras pour un Équilibre Physique et Psychique parfaits

Les chakras sont des centres énergétiques de notre corps. Pour vous aider à en avoir une représentation mentale, imaginez de petits tourbillons grâce auxquels les énergies voyagent dans notre corps et entre notre corps et l’environnement extérieur.

Le mot Chakra nous vient de l’Inde ancienne et signifie, en sanskrit, objets de forme circulaire et, par extension, disque en métal symbole du pouvoir d’un râja “celui qui fait tourner la roue de la destinée des hommes”. Selon la médecine ayurvédique, vieille de cinq mille ans, il y aurait 88 000 chakras dans notre corps, dont 7 principaux situés le long de la colonne vertébrale. Chaque chakra primordial serait relié à une glande endocrine qui sécrètent des hormones indispensables à l’organisme.

Il existe de plus en plus de centres de méditation, d’institut de massages et de médecines parallèles qui proposent d’équilibrer nos énergies, d’ouvrir ou d’harmoniser nos chakras. Pourquoi ? Parce que le stress, de vives émotions, une mauvaise hygiène de vie fermeraient les chakras empêchant l’énergie de circuler correctement. Ce déséquilibre risquerait de nous rendre plus vulnérable aux troubles physiques et psychiques. Harmoniser les chakras seraient la clé menant au bien-être. Si vous voulez savoir comment harmoniser vos chakras pour vous sentir bien, suivez le guide…

Harmoniser ses chakras pour retrouver l’équilibre physique et psychique

Comme les chakras sont reliés les uns aux autres, permettant ainsi à l’énergie de circuler dans notre corps, ils doivent être harmonisés. Donc, si certains sont bloqués ou fermés, il serait nécessaire de les ouvrir avant de les aligner les uns avec les autres.

Un chakra s’ouvre ou se ferme en fonction de nos émotions. Nous interagissons inconsciemment avec eux. Si nous sommes dans un environnement sain, apaisant nous allons nous sentir épanoui et en sécurité, on dit que nos chakras vibrent. Au contraire face à une situation stressante, nos chakras s’adaptent œuvrant pour nous protéger.

Dans un premier temps, il faudra identifier celui ou ceux qui sont perturbés. Puis, il sera nécessaire de les purifier et enfin les activer.

Qui peut harmoniser les chakras ?

Le médecin généraliste reste votre premier interlocuteur en cas de symptômes physiques ou psychiques. Les magnétiseurs dont c’est la spécialité, mais aussi des ostéopathes, sophrologues et kinésithérapeutes, s’ils sont énergéticiens, rééquilibrent les énergies, débloquent les chakras. On peut entretenir soi même ses chakras grâce à la méditation, le yoga, le qi gong.

Pour aligner ses chakras, il est nécessaire de les connaître, de savoir où ils se situent et leur rôle dans notre vie. Ce qui vous aidera sans doute à mieux comprendre comment vos émotions influent sur votre corps.

La force des 7 chakras primordiaux et effets du déséquilibre

1. Muladhara : Chakra Racine

Corps : entre l’anus et les parties génitales, relié au coccyx et aux glandes reproductrices

Couleur : rouge

Message : j’ai

Elément : la terre

Pierres : l’onyx et la cornaline

Le chakra racine, centre énergétique de la force vitale, nous raccroche à la vie. Il incarne la stabilité, la confiance en soi, le courage, l’instinct de survie.

Lorsqu’il est équilibré, il nous donne l’énergie d’entreprendre et de mener des projets à bien en relevant des défis. Il caractérise une bonne hygiène de vie, un lien fort avec nos proches, la sécurité.

Quand il est déséquilibré, il peut engendrer physiquement des problèmes circulatoires, des troubles digestifs, des sciatiques, de l’anémie. Au niveau psychique, il peut être source d’un manque d’assurance, d’égoïsme, d’agressivité, d’anxiété, de phobies, de cupidité, de dépression.

Pour activer le chakra racine, ayez à l’esprit une image de quelque chose qui vous fait plaisir, qui vous rassure, ce peut être un lieu ou encore un objet.

2. Svadhisthana : Chakra Sacré

Corps : au dessus des organes génitaux, relié au glandes surrénales

Couleur : orange

Message : je sens

Elément : l’eau

Pierres : la cornaline, la pierre de soleil, l’ambre et la calcite orange

Le chakra sacré est le siège de l’énergie sexuelle, de la vitalité et de la créativité. Il est le symbole de la création de toute chose. Il incarne les relations familiales, l’amour maternelle et renferme les émotions liées à la petite enfance. Tous ces éléments nourrissent l’inconscient.

Quand ce chakra est équilibré, vous débordez d’idées que vous concrétisez, sur tous les plans. Il épanouie votre vie sexuelle.

Si ce chakra se ferme, ou est trop actif, vous pouvez perdre confiance en vous et tendre vers la jalousie, la frustration. Votre libido peut s’éteindre ou s’enflammer. Votre inspiration risque de décroître et vos projets de rester en suspens. Au plan physique, cela peut engendrer des affections génitales, rénales et urinaires.

L’activation du chakra sacré peut se faire en pensant à un moment rassurant et agréable de votre enfance.

3. Manipura : Chakra Solaire ou du plexus solaire

Corps : entre le nombril et le sternum relié au pancréas

Couleur : jaune

Message : je peux

Elément : le feu

Pierres : la citrine, le jade jaune

Ce chakra figure le lien entre la vie familiale et la vie sociale. Il est le centre de la puissance et des émotions. Il mène à l’affirmation de soi, à l’équilibre en acceptant les changements.

Harmonisé, ce chakra permet le contrôle de soi, de sa vie.

En déséquilibre, on peut constater une baisse de l’estime de soi et un sentiment d’infériorité qui amène à critiquer, à vouloir dominer. Les adolescents sont souvent concernés par cette dysharmonie. En effet, c’est l’âge du passage de la sphère familiale au monde social, de la séparation obligée d’avec l’enfance.

Physiquement, des troubles de la digestion, des problèmes de diabète et d’obésité peuvent se manifester.

Pour activer le chakra Solaire, remémorez-vous quelque chose que vous avez accompli avec succès, sciemment, et qui vous a apporté une grande satisfaction.

4. Anahata : Chakra du Cœur

Corps : au centre de la poitrine, légèrement à gauche du coeur, relié au thymus

Couleur : vert

Message : j’aime

Elément : l’air

Pierres : l’émeraude et l’aventurine verte

Le chakra du cœur est le centre de l’amour de soi et des autres. Il caractérise l’harmonie, il permet d’aimer universellement et inconditionnellement en faisant preuve de compassion, de pardon et de tolérance. Il mène à la paix intérieure en acceptant autrui, non membre du cercle familial, dans son entièreté et donc de pardonner. Il fait le lien entre les chakras terrestres et les chakras spirituels.

Si ce chakra est en déséquilibre, physiquement, vous risquez d’avoir des troubles cardiaques, respiratoires, des douleurs dorsales, de la tension. Émotionnellement, vous pourriez ressentir de l’amertume, de l’indifférence, un manque de compassion et des difficultés de connexions aux autres.

Vous pouvez activer le chakra du cœur en pensant à une personne extérieure à la sphère familiale qui vous a procuré une belle émotion.

5.  Vishuddha : Chakra de la gorge

Corps : au niveau de la gorge, relié à la thyroïde

Couleur : bleu clair

Message : je dis

Elément : l’ether

Pierres : la turquoise, l’aigue-marine

Chakra de la communication, de l’expressivité, du langage et de l’écoute, il permet, bien harmonisé, de verbaliser clairement, de porter conseil, d’échanger sereinement.

Les troubles physiques, liés au déséquilibre de ce chakra, peuvent être des maux de dents, de gorge, des problèmes auditifs et digestifs. Psychiquement, la communication serait mise à mal, caractérisée par de la timidité ou du commérage, des non-dits et une angoisse à parler de ses émotions.

Pour ouvrir le chakra de la gorge, vous choisirez un son que vous imaginerez émerger d’entre vos épaules.

6. Ajna : Chakra du troisième oeil ou du front

Corps : au centre du front, au dessus des sourcils, lié à l’hypophyse

Couleur : bleu indigo

Message : je vois

Elément : le mental

Pierres : le saphir, l’azurite

Qualifié de 6ème sens, ce chakra est le siège de l’intuition et de la communication avec l’au-delà. Mais aussi trône de l’intellect et de la sagesse, il favorise une vision clairvoyante d’ensemble.

S’il est déséquilibré, il peut amener à un défaut de concentration et de mémorisation. Il peut apporter cauchemars et pensées négatives, voire hallucinations. Physiquement, les risques sont des céphalées, des troubles oculaires et nerveux.

Pour aider à ouvrir ce chakra, vous pouvez laisser défiler des images en pensée, en choisir une qui vous interpelle et vous concentrer sur elle.

7. Sahasrara : Chakra de la couronne

Corps : au sommet de la tête, lié à l’épiphyse

Couleur : violet

Message : je suis

Elément : le cosmos

Pierres : l’améthyste, le cristal de Roche, le quartz laiteux

Ce chakra combine les 6 vertus énergétiques des autres chakras. Il est la spiritualité, la conscience de l’âme, la sagesse. Il permet la connexion à l’univers pour se réaliser en tant qu’être, en se débarrassant des vicissitudes matérielles, affectives, sociales et familiales pour se réaliser. On oublie les douleurs terrestres pour être.

Un déséquilibre du chakra coronal peut entraîner maux de têtes, pathologies chroniques, baisse des défenses immunitaires. Psychiquement, il peut provoquer déprime, scepticisme, attachement aux biens matériels, fuite des réalités et défaut de prise de décision.

Un exercice que vous pouvez faire pour ouvrir ce chakra est de vous mettre en perspective avec un élément qui vous appartient et que vous considérez comme unique.Maintenant que vous connaissez tout des 7 chakras principaux, interrogez-vous sur votre état de bien-être et voyez s’ il ne serait pas temps d’être en harmonie avec vous-même. N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

Dermatite atopique chez le chien

ULCÈRE VARIQUEUX : PRÉVENIR ET TRAITER

L’ulcère variqueux se caractérise par une plaie au niveau inférieur de la jambe. Souvent située près de la malléole donc vers la cheville, cette plaie est difficile à soigner et les risques de récidive sont importants. C’est au stade le plus avancé de l’insuffisance veineuse chronique secondaire que l’ulcère variqueux apparaît. Il touche surtout les femmes de plus de 50 ans. Pas forcément douloureux au départ, il peut le devenir au cours du temps, notamment en cas de surinfection. L’ulcère variqueux est chronique puisqu’il met entre 1 mois et plusieurs années à guérir et les risques de récidives sont importants. Les conséquences physiques de l’ulcère ont un impact indéniable sur la santé psychique du malade. Vous allez comprendre pourquoi grâce à cet article. Nous verrons tout d’abord ce qu’est l’ulcère variqueux, puis nous découvrirons que l’on peut prévenir son apparition et enfin nous ferons le tour des traitements possibles.

Qu’est-ce que l’ulcère variqueux

Les causes et les conséquences physiques d’une insuffisance veineuse

Le sang dans notre corps circule dans deux sens. Il part du cœur, chargé en oxygène et nutriments, transporté par les artères vers l’ensemble de nos tissus et nos organes. Ensuite, il revient vers le cœur, chargé de déchets et de gaz carbonique, transporté par les veines. Les veines n’ont pas de fibres musculaires qui aident à propulser le sang contrairement aux artères. C’est à l’aide de la pression sur la plante des pieds et de la contraction des muscles des jambes que le sang remonte vers le cœur. Des valvules qui fonctionnent comme des clapets empêchent que le sang ne retourne vers les artères. Lorsque les valvules ne jouent pas correctement leur rôle, le sang veineux remonte mal vers le cœur, on parle alors d’insuffisance veineuse.

Cette mauvaise circulation sanguine a plusieurs causes :

  • le surpoids
  • la grossesse
  • la constipation chronique
  • la sédentarité
  • la position debout prolongée
  • les pieds plats
  • l’âge
  • l’hérédité
  • la chaleur : bain chaud fréquent, chauffage au sol
  • fractures ou traumatisme des membres inférieurs
  • le rôle des hormones sexuelles (vasodilatation)
  • la contraception orale
  • l’hormonothérapie de substitution (ménopause)
  • les vêtements trop serrés
  • les talons hauts
  • la pratique de certains sports (tennis, basket, escrime, ski alpin)
  • le soulèvement répété d’objets lourds

La pression sanguine peut entraîner des varices, la sensation de jambes lourdes, la froideur dans les mains et les pieds, des crampes mais aussi des troubles plus sérieux comme la phlébite ou thrombose veineuse, un eczéma variqueux, un oedème et, ce qui nous intéresse ici, un ulcère variqueux.

En stagnant, du liquide fuit des veines et abîme la peau autour. Un oedème se forme et suite à un eczéma variqueux ou un choc ou encore une égratignure, une écorchure, un ulcère se forme. Il prend la forme d’une plaie suintante. Comme le temps de cicatrisation est long, la plaie peut se surinfecter et creuser profondément dans la peau, voire jusqu’à l’os.

L’impact psychique des conséquences physiques

Le patient doit admettre que la guérison sera longue. Il doit accepter de vivre avec les nombreuses restrictions qui lui sont imposées et qui vont engendrer des changements dans sa vie quotidienne comme ne plus pouvoir rester debout ou assis de manière prolongée dans les transports, au restaurant, au travail, dans ses loisirs. Les gènes, les inconforts, la douleur sont autant de facteurs qui limitent les interactions sociales et qui isolent. Ils peuvent parfois être une source d’anxiété et mener à la dépression. Les conséquences physiques impactent de manière significative l’humeur et le moral. Même si l’ulcère n’est pas visible, le bas de contention ou le pansement peuvent l’être. Ils sont parfois souillés et dégagent de mauvaises odeurs. Le patient peut éprouver de la colère. Son humeur et son moral auront une répercussion sur son entourage qui peut ressentir un épuisement émotionnel, un défaut d’empathie et mener à l’isolement. Une baisse de la qualité de vie, surtout si la douleur entraîne une perte de mobilité, peut mener à l’anxiété et la dépression.

Prévenir l’insuffisance veineuse

A cause des conséquences désastreuses de l’ulcère, tant au plan physique que moral, il est important de prévenir l’insuffisance veineuse. Une bonne hygiène de vie participe à une circulation sanguine optimale. Ainsi, l’activité physique en stimulant les muscles des jambes et la plante des pieds, favorise la remontée du sang vers le cœur. Privilégiez les sports sollicitant le mollet comme la marche, la danse, le vélo. Soignez votre alimentation. Elle doit être saine et équilibrée pour éviter le surpoids et apporter à votre corps les nutriments dont il a besoin.

Si vous avez déjà une mauvaise circulation sanguine, vous pouvez dormir les jambes légèrement surélevées. Vous devez éviter les sources de chaleur : les bains chauds, le sauna, l’exposition prolongée au soleil, le chauffage par le sol. Le tabac et les vêtements serrés sont aussi à proscrire. Prendre l’avion peut être un facteur aggravant.

Il est important de consulter un médecin en cas de doute d’insuffisance veineuse. Il fera le diagnostic nécessaire aux traitements à mettre en œuvre.

Les traitements contre l’ulcère variqueux

Le diagnostic

C’est bien sûr le médecin qui détermine le diagnostic, vous orientera vers un phlébologue ou un angiologue. Voici les examens qui peuvent être réalisés :

  • Un bilan sanguin, utile pour rechercher des problèmes vasculaires.
  • Un électrocardiogramme pour chercher si une insuffisance cardiaque est à l’origine d’œdèmes des membres inférieurs.
  • Des tests épicutanés pour évaluer la sensibilisation à un allergène, surtout en cas d’eczéma ou d’intolérance à un produit ou à un pansement.
  • Une échographie doppler veineuse pour repérer les veines défectueuses et confirmer ou infirmer l’atteinte veineuse.
  • La pression transcutanée en oxygène afin de déterminer les chances de guérison de l’ulcère.
  • Une biopsie cutanée pour affiner le diagnostic et exclure une éventuelle tumeur ou vasculite.

Traitements chirurgicaux

Il existe deux techniques chirurgicales pour condamner la veine responsable de l’ulcère veineux. La première est la technique du stripping. Elle consiste à retirer une veine superficielle dilatée ou porteuse d’une insuffisance veineuse. Cette méthode est assez invasive et se déroule sous anesthésie générale. Le second type de chirurgie consiste à brûler la veine au laser. Moins invasive, elle se pratique sous anesthésie locale.

Traitements locaux et médicamenteux

Un traitement local est prodigué par une infirmière, ou par soi-même en fonction de l’évolution de l’ulcère. La plaie est nettoyée plusieurs fois par semaine au savon et à l’eau ou à la bétadine ou autre antiseptique en cas d’infection. Un nettoyage en profondeur en retirant les débris fibreux, ou détersion, peut s’avérer nécessaire.

Les soins sont complétés par la pose d’un pansement adapté, par exemple :

  • pansements gras si la plaie est sèche,
  • pansements absorbants (hydrocellulaires, alginates) en cas d’exsudation,
  • pansements hémostatiques (alginates) en cas d’écoulement de sang,
  • pansements à l’argent en cas de surinfection.

Le patient doit ensuite porter des bas de contention pendant plusieurs mois. Les statistiques montrent que plus de 95% des patients portant une contention élastique guérissent. Mais, le bandage doit être bien adapté et correctement posé et pour être efficace. Il est conseillé de faire appel à un professionnel.

Une autre forme de traitement est le système TPN (Thérapie par pression négative). C’est un système d’aspiration et de détersion pour améliorer la circulation grâce à une « régénération tissulaire ». Cette thérapie doit être pratiquée par un professionnel de la santé.

Les médicaments prescrits par un médecin agissent sur tout le système vasculaire, mais ne dispense pas des traitements locaux.

Traitement alternatif

Pour améliorer votre circulation sanguine, pour aider votre corps et votre esprit à accepter et combattre cette situation difficile et/ou pour soulager votre douleur, vous pouvez aussi faire appel à la médecine alternative. Le magnétiseur accompagne les personnes souffrant de mauvaise circulation sanguine en rééquilibrant l’ énergie du corps. Il soulage la douleur causée par la plaie en présentiel, ou à distance à l’aide d’une photo. Il aide à lutter contre l’anxiété et l’état dépressif. En un mot, il peut améliorer votre qualité de vie lorsque vous traversez cette épreuve.

Pour conclure, l’ulcère variqueux, cause d’un déficit veineux, a des conséquences physiques et psychiques qui nuisent considérablement à la qualité de vie. Prenez soin de vous et n’hésitez pas à lire 6 conseils pour rester en bonne santé.

La depression

Le mot est souvent bien aussi difficile à entendre qu’à prononcer. Derrière une simple désignation médicale le mal est souvent profond, présent depuis un certain temps et nécessite du temps pour guérir. La dépression est l’une des maladies les plus difficiles à cerner tant elle peut prendre différentes formes, se vivre de forme aussi personnelle que singulière. En complément d’un suivi médical rigoureux, de la présence de soutiens à ses côtés, le magnétisme peut apporter un vrai mieux-être à la personne dépressive. Le magnétisme, en face à face ou à distance, soulage et apaise en douceur l’état dépressif pour retrouver petit à petit la motivation pour en sortir.

La dépression, qu’est-ce que c’est ?

Malgré la persistance de certaines idées reçues, la dépression ne relève pas d’une fatalité, pas plus qu’elle n’est due à une faiblesse de caractère.
La dépression est une maladie qui peut toucher tout le monde (quel que soit l’âge, le sexe, le niveau social, etc.), qui entraîne une vraie souffrance et une gêne importante. Pour la soigner, elle nécessite une prise en charge par un professionnel compétent (médecin, psychiatre, psychologue, psychothérapeute, etc.).
Se sentir triste, déprimé, avoir des « idées noires », ou connaître des difficultés à dormir ne veut pas nécessairement dire que l’on souffre de dépression. Connaître des moments de doute, un coup de cafard ou de blues fait partie intégrante de la vie de chacun. Au fil du temps il est normal de passer par des phases différentes, des phases de questionnement, des moments où l’on se cherche, doute. La tristesse, le découragement ou même le désespoir représentent des expériences normales. Ces variations d’humeur et ces baisses de moral passagères ne doivent pas être confondues avec ce qu’éprouve une personne dépressive.

Lorsqu’on parle de dépression et donc de maladie, il faut :

  • que ces perturbations de l’humeur soient à la fois multiples, répétées et caractérisées
  • qu’elles soient ressenties de façon permanente (ou quasi) pendant plus de deux semaines consécutives
  • qu’elles génèrent une gêne importante dans plusieurs domaine de la vie quotidienne courante (difficulté ou impossibilité de se lever, d’aller travailler, de sortir de chez soi, etc.).

Reconnaître une dépression

Un état dépressif n’est pas un coup de déprime. C’est une vraie maladie, quelque chose à prendre très au sérieux. Plus la prise en charge est rapide, et plus la guérison va se faire en douceur et de façon efficace. La dépression, entraîne de vrais ralentissements dans la vie de tous les jours. Elle impacte tous les registres de la vie quotidienne. La vie affective, la forme physique, le fonctionnement intellectuel s’en trouvent victimes de façon très importante et constante.
Ce ralentissement se traduit par de multiples symptômes qui persistent de façon durable (au moins quinze jours) et constante.

  • L’humeur dépressive : C’est un sentiment de tristesse, ou de vide, présent presque tous les jours et toute la journée. Cette tristesse est quasi permanente et ne semble pas avoir de raison particulière.
  • Une diminution de l’intérêt : Il s’agit d’un désintérêt prononcé pour la quasi-totalité des activités, et en conséquence d’une absence de plaisir pour des activités qui étaient auparavant agréables. C’est ce qui fait qu’une personne atteinte d’un syndrome dépressif racontera toutes les activités de sa journée d’une voie monotone et souvent sans émotion.
  • L’évolution du poids : La dépression est également caractérisée par des troubles au niveau du poids (une perte de poids importante en l’absence de régime, ou au contraire une prise de poids significative).
  • Les troubles du sommeil : Ils sont caractérisés par l’insomnie ou l’hypersomnie. Malgré sa fatigue importante, une personne dépressive éprouve des difficultés d’endormissement. Elle peut également se réveiller plusieurs fois par nuit. L’hypersomnie est quant à caractérisée par un temps de sommeil nettement supérieur à la moyenne.
  • L’évolution de comportement psychomoteur : Les personnes atteintes de troubles dépressifs ont des gestes ainsi qu’un débit de paroles lents. Cela peut également atteindre certaines fonctions biologiques comme la digestion. Dans certains cas, à contrario, l’évolution du comportement psychomoteur est caractérisée par de l’agitation.
  • De la fatigue : La personne dépressive peut éprouver un sentiment de grande fatigue quasiment en permanence. Elle ressent un manque d’énergie qui la met en difficulté pour faire quoi que ce soit.
  • Un fort sentiment de dévalorisation : Pendant une dépression, la personne ressent un sentiment excessif de dévalorisation d’elle-même, et/ou un sentiment de culpabilité qui est le plus souvent en dehors de toute réalité.
  • Les troubles cognitifs : C’est un dysfonctionnement cognitif qui diminue la capacité de raisonnement. On peut aussi constater des difficultés de concentration et une incapacité à prendre des décisions.
  • Les idées noires : Elles peuvent concerner la personne atteinte du trouble dépressif ou d’autres personnes. La personne dépressive peut penser à la mort, et au suicide de façon concrète allant jusqu’à imaginer un scénario de suicide. Le passage à l’acte suicidaire est d’ailleurs l’un des risques majeurs de la dépression.

Même si les symptômes sont bien présents, la personne qui souffre de dépression a souvent du mal à les repérer. Le principal obstacle à leur repérage est la difficulté de juger par soi-même de son état psychologique. Il peut aussi arriver que l’on considère ces symptômes comme normaux, en les attribuant à un passage difficile. Il est donc nécessaire de faire évaluer ces symptômes par un professionnel de la santé.

La dépression, s’en sortir

La dépression, reconnue comme maladie peut entraîner un sentiment de honte par rapport à son entourage. Elle peut faire culpabiliser la personne qui en souffre, surtout si celle-ci ne s’estime pas plus à plaindre que ceux qui l’entourent. Il est important de se faire entourer et aider par des personnes bienveillantes et positives. Le premier pas vers la guérison est de reconnaître son état
dépressif et de faire en sorte de vouloir en sortir. Il faut alors s’en donner les moyens, oser croire que l’on va passer le cap et vaincre cette maladie. En plus du soutien important et indéfectible de son entourage et de ses proches, il est important d’en parler à son médecin traitant. Lui, mieux que quiconque saura orienter le patient vers un spécialiste, psychiatre, psychologue ou psychothérapeute qui sera en mesure de l’aider dans le traitement de la maladie. Combinés aux soins de la médecine traditionnelle, le magnétisme peut s’avérer être un vrai plus dans le processus de guérison de la dépression. Il est très rare de voir une personne guérir rapidement d’une dépression. C’est une maladie qui nécessite du temps, et de l’énergie si on veut totalement en sortir. Toutes les aides qu’une personne dépressive va recevoir de l’extérieur est un rempart contre la maladie, mais elle seule détient la clé et la volonté nécessaire pour combattre la maladie. Aucun médecin, aucun thérapeute, aucun représentant de la médecine traditionnelle, ni spécialiste des soins énergétiques ne pourra soigner une dépression d’un coup de baguette magique. Une volonté farouche de guérir et de s’en sortir s’avère toujours le meilleur remède contre la dépression. Associé à un suivi médical, des soins de magnétisme peuvent également agir contre la dépression et soulager la personne malade.

Lutter simplement contre la dépression

La meilleure lutte contre la dépression est de commencer par se prendre en main personnellement. Pour commencer, il y a la possibilité de se fixer des objectifs personnels. Des choses utiles qui font sortir du cercle négatif (prévoir une sortie, s’aérer la tête, voir des amis, faire des choses que l’on aime faire, etc.). Il faut s’y tenir et les effectuer avec le sourire, même si sur le moment elles sont faites de mauvaise grâce, elles seront utiles pour sortir de la routine négative dans laquelle peut plonger la dépression. Il est fondamental, pour guérir d’une dépression d’adopter autant que faire se peut des pensées positives, de voir le verre à moitié plein, quelle que soit la situation. Il faut faire preuve d’indulgence envers soi-même, accepter de ne pas être toujours au top, accepter ses faiblesses et les erreurs passées. Il est important également de s’entourer de personnes positives qui sauront faire sortir des pensées négatives ne serait-ce que quelques instants. Conserver une vie sociale, voir ses amis, sa famille permet de s’aérer l’esprit et de ne plus penser à sa maladie.

Enfin, il est primordial de conserver coûte que coûte une volonté de fer de s’en sortir et de ne pas se laisser dépasser par la dépression. La clé de la guérison, c’est avant tout d’y croire !