Comment se débarrasser de la constipation rapidement

Si certaines personnes vont à la selle facilement cette fréquence n’est pas la règle et dépend vraiment du métabolisme de chacun. En effet, on parle de constipation passagère lorsque la défécation est inférieure à 3 fois par semaine.

La constipation est un état difficile à vivre parce qu’il engendre des symptômes pénibles au quotidien. Par exemple: “Les difficultés lors de la défécation, les douleurs abdominales et la sensation de pesanteur dans le ventre.

D’ailleurs, j’ai réalisé une vidéo sur les 6 remèdes pour lutter contre les symptômes de la ménopause. Pour la voir, ainsi que toutes mes vidéos pour ton bien-être, n’hésitez pas à vous abonner à ma chaîne youtube

Alors quels sont les remèdes naturels pour se débarrasser de la constipation rapidement ? Avant de donner la réponse à cette question, je vais commencer par répondre à une question que vous vous posez sans doute :

Pourquoi utiliser des remèdes naturels plutôt que les laxatifs vendus en pharmacie ?

L’utilisation fréquente de laxatifs non naturels peut avoir des effets indésirables tels qu’une diminution de l’absorption des vitamines A, D, E et K, une irritation anale, une déshydratation, une détérioration du côlon et un déséquilibre métabolique. De plus, cela crée un cercle vicieux car les intestins perdent leur capacité à fonctionner normalement, ce qui favorise la constipation.

C’est pourquoi, je vous propose d’autres méthodes bien plus naturelles et durables à privilégier.

Quels sont les remèdes naturels efficaces pour se débarrasser de la constipation ?

Adopter un comportement adapté

Comme souvent en conseil bien-être, il faut écouter son corps, donc lorsque l’envie d’aller à la selle se fait sentir, il ne faut pas se retenir. Passer aux toilettes quitte à être en retard sur son planning est une règle d’or.

Ensuite, il faut boire beaucoup d’eau. Avoir une bouteille d’eau près de soi favorise l’hydratation nécessaire pour éviter des selles dures et douloureuses.

La troisième chose à faire, est de ne pas forcer. En effet, cela peut créer des fissures anales ou des hémorroïdes, et entraîner un rétrécissement du canal anal agravant la constipation. Enfin, l’activité physique, même minime, est essentielle. Bouger permet d’aider à acheminer plus rapidement les aliments ingérés vers les intestins.

Bien sûr, on ne peut parler de remèdes naturels contre la constipation, sans parler de l’alimentation.

Adopter une alimentation adaptée

  • Manger des aliments riches en fibres : des céréales au son le matin avec du lait demi-écrémé ou avec un yaourt au lait fermenté, des légumes, des légumineuses comme les lentilles, des céréales complètes telles que le riz, les pâtes, le boulghour, des graines de psyllium, des graines de lin. Tous ces aliments doivent être accompagnés de beaucoup d’eau, notamment une eau riche en magnésium.
  • Manger des fruits sous toutes ses formes : des fruits secs oléagineux comme les noix, des fruits ridés comme le pruneau, la figue ou l’abricot, la compote de pomme et de rhubarbe, le pamplemousse, les jus de fruits ;
  • Boire des boissons chaudes : le matin une tasse de café, de l’eau chaude avec du citron et/ou du miel, une infusion de pissenlit.

Choisissez, parmi ces remèdes, ceux qui vous conviennent le mieux en fonction de vos goûts notamment. Et si votre constipation est due au stress, ou à une autre raison psychique n’hésitez pas à me contacter car le magnétisme offre des résultats probants dans ce domaine.

Que faire face au Zona ?

Face au zona, le premier réflexe consiste à consulter votre médecin traitant pour un diagnostic précis. Ensuite, contactez en urgence un magnétiseur. En effet, plus tôt vous êtes traité par le magnétisme, plus facile le zona sera éliminé.

Tout d’abord, qu’est-ce que le zona ? Voici quelques explications pour mieux comprendre comment se développe le zona.

Lorsqu’on contracte la varicelle, une partie du virus qui en est responsable reste dormante dans les ganglions. Suite à la rencontre avec ce virus, les anticorps fabriqués empêchent le virus de se manifester à nouveau. Cependant dans certaines conditions, notamment lorsque les défenses immunitaires s’affaiblissent, le virus peut se réactiver. Ainsi, une réaction inflammatoire dans les nerfs ou les ganglions se produit, et le zona apparaît.

D’une manière générale, le zona peut apparaître quand les défenses immunitaires sont faibles, comme en cas de grosse fatigue, de stress intense ou pour les personnes sous immunodépresseurs. Ce sont le plus souvent les personnes de plus de 65 ans qui contractent un zona, car leurs anticorps contre la varicelle se sont affaiblis. Au contraire des adultes au contact d’enfants qui contractent la varicelle, qui eux voient leur défense immunitaire renforcée.

Cette maladie, dont les symptômes inesthétiques sont douloureux, peut être grave. Elle entraîne une souffrance, à la fois physique et psychique, qui doit être traitée.

Intéressons-nous aux symptômes :

Le zona se manifeste le plus souvent au niveau du thorax et du visage mais il peut atteindre n’importe quelle partie du corps.
Une éruption cutanée douloureuse, sous forme de vésicule en grappe, apparaît le long d’un nerf ou d’un ganglion.
Avant l’éruption, le virus peut provoquer des maux de tête, des nausées, des diarrhées, de la fièvre et des frissons.
Des symptômes tels que des démangeaisons, une sensation d’engourdissement ou de picotement sont accompagnés de douleurs. Ces douleurs, appelées névralgies post-zostériennes, sont décrites par les patients comme s’apparentant à des brûlures, des élancements et des chocs électriques.

Comment se transmet le zona ?

Le zona apparaît comme on l’a vu suite à une réactivation du virus de la varicelle contractée plus tôt dans la vie.
Il n’est donc pas contagieux. Cependant le liquide qui s’écoule des vésicules, contient le virus de la varicelle et est extrêmement contagieux. Ainsi, si les mains sont en contact avec le liquide et touchent les yeux, la bouche ou le nez, le virus de la varicelle est transmis. Les femmes enceintes, les personnes avec une faible immunité ou les bébés doivent bien évidemment être protégés de tout contact avec ce liquide. Se laver les mains est la barrière la plus efficace contre la transmission par contact.

Des complications existent :

Notons que seulement 1 % des personnes ayant contracté un zona une fois, l’ont à nouveau.
La maladie dure environ 3 semaines et ne laisse, la plupart du temps, aucune séquelle.

Cependant, des complications sont possibles :
Le zona ophtalmique qui s’attaque au nerf optique.
Le zona otitique, dans l’oreille donc, qui peut entraîner une paralysie faciale.
La douleur chronique, ou névralgie post zostérienne qui peut durer toute la vie.

Il est évident que les douleurs chroniques imposées par le zona s’accompagnent souvent d’une grande souffrance psychologique.

Je vais vous parler maintenant des traitements contre le zona :

Il existe un vaccin contre le zona pour les seniors, entre 65 et 74 ans, qui est au calendrier vaccinal français depuis 2016. Il s’administre en une injection.

Les traitements de la médecine conventionnelle varient en fonction de la sévérité du zona.

En cas d’apparition de boutons en grappe, et des autres symptômes, il faut bien évidemment consulter un médecin généraliste ou un dermatologue au plus vite. La maladie est décelable même en téléconsultation, pour un diagnostic rapide.Ensuite, consultez en urgence un magnétiseur.

Contre le zona simple et peu étendu, le médecin prescrira sans doute un antiseptique local à appliquer régulièrement, un antihistaminique en cas de démangeaison car il ne faut pas gratter les vésicules et pour traiter la douleur, des antalgiques, type paracétamol associé ou non à la codéine.

Contre le zona grave ou étendu, cela dépendra de l’âge, de l’état immunitaire et de la localisation du zona. Un antiviral oral et des antalgiques puissants tels que le tramadol, ou des médicaments agissant contre les douleurs neuropathiques seront prescrits par le médecin.

En cas de douleurs persistantes après la guérison du zona, c’est-à-dire pour lutter contre les douleurs post-zostériennes, il existe des anesthésiques locaux que seul votre médecin pourra prescrire.

Des traitements non médicamenteux contre les douleurs chroniques sont aussi envisageables.

D’une manière générale, on peut renforcer son système immunitaire, en dormant suffisamment, en diminuant son niveau de stress, et en veillant à adopter une alimentation saine.
Vous pourrez retrouver ces informations dans ma vidéo sur Être en bonne santé et le rester, et dans l’article du blog de mon site portant le même nom.

Il est important de privilégier des aliments riches en vitamines C, comme les kiwis, les agrumes, ainsi que les fruits et légumes facilitant le drainage tels que les concombres, les courgettes, les asperges et les artichauts. Vous pouvez agir sur votre niveau de stress, en pratiquant la méditation ou la relaxation.

Contre les effets du zona, et notamment les douleurs qu’il engendre, pensez aux médecines alternatives et à la neurostimulation transcutanée. Ainsi, l’acupuncteur, le physiothérapeute, le phytothérapeute ou encore le magnétiseur peuvent vous aider.

Comment se connecter avec la conscience divine ?

Comment se connecter avec la conscience divine ?

Comment se connecter avec la conscience divine ? Vaste question qui, lorsqu’on finit par y répondre, apporte un réel bonheur. Je ne parle pas de bonheur matériel ou de réussite professionnelle, mais d’un accomplissement de soi et plus particulièrement du SOI.

Pour se connecter avec la conscience divine, plusieurs paliers sont à franchir. Chaque étape rapproche toujours un peu plus vers la lumière spirituelle, vers la conscience de l’univers et son énergie divine. Il est donc important de les connaître pour bien comprendre ce que vous visez. Voyons d’abord les paliers de la conscience puis nous découvrirons ce qui peut vous aider à atteindre le plus haut.

Les paliers de la conscience : de l’instinctif au divin

  1. La conscience instinctive

Ce premier palier, dans l’élévation de la conscience, est le plus bas. Nous l’avons normalement déjà tous dépassé. Il correspond à la satisfaction des besoins primaires : se nourrir sans plaisir, se reproduire sans amour, posséder pour avoir plus que les autres. C’est quasiment un état d’inconscience ou plutôt d’une conscience instinctive de possession matérielle. Les personnes évoluant à ce premier niveau n’ont pas conscience du divin, pour elles la mort constitue une fin en soi, après quoi rien ne subsiste.

  1. La conscience collective

A ce niveau, une prise de conscience des relations humaines s’opère. Les êtres de ce palier ont conscience de leur rôle au sein du groupe et des interactions qui s’y produisent. Ils jouent le jeu de l’amour plus par mimétisme que par réelle aspiration d’union physique et psychique. Cela se traduit par un égo bien présent empreint de possessivité aussi bien sur le plan matériel qu’au niveau affectif. Posséder reste un leitmotiv récurrent assez semblable au premier palier. La valeur des autres se mesure aux biens qu’ils ont en leur possession. L’assouvissement immédiat des besoins est très prégnant. Parallèlement à cet aspect matérialiste, un début de prise de conscience spirituelle se caractérise par la croyance en un Être suprême. Cependant, cette approche du divin est fortement liée à l’intérêt personnel. Ainsi, l’image du Dieu ainsi forgée reste primaire puisque c’est un Dieu qui doit servir l’intérêt propre.

  1. La prise de conscience

A ce stade, l’individu prend conscience du MOI. Il s’individualise et marque ses idées sur le plan religieux, politique et économique. Il prend conscience des différents aspects de l’univers et entre en phase de réflexion notamment spirituelle. Sa spiritualité est encore limitée mais bien présente. L’aspect matériel tient encore une place dans son monde, mais à un niveau moindre qu’auparavant.

  1. La pleine conscience

Ce palier est un niveau où l’être humain ressent son esprit et sa connexion avec l’amour spirituel et avec le véritable amour pour une personne. Il a besoin de partage, de don. L’aspect matériel passe au second plan, les objets ne sont plus une source de reconnaissance. Les émotions ne le dominent plus et il fait le lien entre spiritualité, physique et intellect. Il est responsable des ses actes et de ses pensées qu’il assume tout à fait. A ce stade, l’individu est : il est en pleine conscience.

  1. La conscience du tout, de l’univers

Ce niveau de conscience permet d’accéder à l’amour platonique. La grande intuition des individus à ce stade en font des guides spirituels. Leurs dons psychiques naturels les rendent capables de guérison dont ils aiment partager les bienfaits. Ils ont reçu et accueilli l’illumination grâce à une sensibilité exacerbée qui les mène hors du jugement des autres. Pour eux, l’univers est un tout dont ils font partie. L’aspect matériel ne leur est pas étranger mais les objets se limitent à ce qu’ils sont.

  1. La conscience spirituelle

Ce plan est celui de la conscience intuitive de l’âme. L’égo des personnes à ce stade disparaît au profit du tout et de l’harmonie universelle. Elles se sentent partie de ce tout à la limite de l’union définitive avec le divin éternel. Aucune émotion ne les guide et ils évoluent dans un monde de béatitude où la pensée n’a pas de limite et où le matériel est superflu. Elles ont pleinement conscience de leur état.

  1. La conscience cosmique

C’est le niveau le plus élevé de spiritualité. Un individu à ce stade, connaît la parfaite symbiose entre le corps et l’esprit. C’est un maître habité de l’énergie divine qui a une conscience cosmique. Sa seule préoccupation est d’ordre spirituel.

Gravir les paliers de la conscience : changer ses perceptions

La conscience est une voix universelle présente en chacun de nous. Cette voix c’est l’expression de notre part de divin. Le problème consiste à savoir l’écouter pour percevoir notre propre existence et celle des êtres et des choses de notre environnement extérieur. Plus notre capacité à écouter est grande, plus notre conscience s’exprime et nous guide. L’individu ressent au fond de lui un besoin de paix et vise inconsciemment, du moins au début, un monde meilleur. Par une méconnaissance de lui-même, il impacte négativement le monde qui l’entoure. Il veut que les autres changent pour changer sa qualité de vie. Or, ce changement doit venir de lui. Sa manière d’agir, son mode de pensée doivent conduire à une appréhension globale, en un mot : à l’humanité.

Pour réussir à s’approcher de cet état de conscience et changer la perception que l’on a de soi et du monde, plusieurs actions peuvent être mises en oeuvre :

  • Privilégier votre santé pour une qualité de vie supérieure : prendre soin du réceptacle de l’esprit qu’est le corps en mangeant sainement, en pratiquant une activité physique régulière, en privilégiant les produits naturels et bios ;
  • Régler les entraves psychiques : acceptez-vous comme vous êtes, pour ce que vous êtes et ne vous mentez pas. L’aide de thérapeutes holistiques, tel qu’un magnétiseur, peut être précieuse pour prendre soin de votre mental ;
  • Pardonner, remercier : accepter les autres comme ils sont et pour ce qu’ils sont comme vous devez le faire pour vous-même. N’accablez pas les autres pour vos échecs, chaque évènement est de votre fait ;
  • Méditer : pour accéder à un niveau de conscience élevé, plus vous prendrez l’habitude de méditer et plus vous serez libéré du poids de pensées anxiogènes et négatives. Vous vous retrouverez avec votre moi et vous vous connecterez à l’univers dont vous vous apercevrez que vous êtes partie intégrante. Vous pouvez vous aider grâce aux méditations guidées que je propose sur ma chaîne Youtube.

 

Bien sûr, ces conseils sont importants mais c’est aussi toute l’intention que vous mettrez dans ce projet et tout le travail que vous allez faire sur vous qui vous rapprochera de la conscience divine.

 

Plantes d’intérieur bonnes pour la santé

10 plantes pour notre corps et notre habitation

Parce que nous passons près de 90 % dans un intérieur, que ce soit la maison ou le bureau, la qualité de l’air que nous y respirons est primordiale. Les plantes que je vous propose ici, en plus d’être dépolluantes, ont d’autres vertus bénéfiques pour la santé. Alors ne vous en privez pas et joignez l’utile à l’agréable en choisissant parmi les 10 plantes d’intérieur à la fois bonnes pour notre corps et notre habitation que je vous livre dans cet article. Mais tout d’abord, voyons en quoi nous avons besoin de plantes d’intérieur pour notre santé.

Les vertus des plantes d’intérieur : qualité de l’air, anti-stress mais pas que…

La qualité de l’air de la maison et du bureau peut être largement améliorée grâce aux plantes vertes et fleuries. Des substances polluantes s’accumulent dans l’air intérieur, qu’on ne pense pas toujours à renouveler. Elles représentent pourtant un grand danger pour la santé. On peut citer les pollens qui engendrent des allergies, les moisissures et les substances toxiques comme le formaldéhyde, le benzène, l’ammoniaque et toutes sortes de composés organiques volatiles appelés COV issus du mobilier et des produits ménagers que nous utilisons.

La Nasa a prouvé scientifiquement ce fait, en étudiant les bienfaits des plantes dépolluantes pour assainir l’air des stations spatiales. Cette dernière recommande de disposer une plante d’intérieur pour 9 m2 de surface habitable.

Le fonctionnement de base de l’assainissement de l’air ambiant est simple et s’applique à toutes les plantes. En effet, leurs feuilles absorbent les particules nocives en suspension comme le monoxyde de Carbone, les Composés Organiques Volatiles, le formaldéhyde, le benzène, les bactéries, les moisissures, les allergènes, puis les évacuent par les racines où elles sont détruites par les microorganismes du terreau.

Outre leurs vertus dépolluantes, les plantes d’intérieur permettent de lutter contre le stress. Elles ont le pouvoir de diminuer la pression artérielle et ont donc un impact sur les maladies cardiovasculaires. Pour lutter contre le stress et l’anxiété, il existe plusieurs méthodes très efficaces. Vous pourrez d’ailleurs le constater en vous abonnant à ma chaîne YouTube. En effet, je propose plusieurs vidéos permettant d’être moins stressé.

Si se promener en pleine nature est bénéfique pour la santé physique et psychique, cette activité n’est parfois pas praticable au quotidien. C’est pourquoi, s’entourer de certaines plantes d’intérieur pour lutter contre le stress et se sentir apaisé est une excellente solution à la fois santé et déco ! Et oui, décorer son intérieur avec des plantes est très satisfaisant et le rendu visuel est plutôt agréable !

Voici maintenant, 10 plantes d’intérieur dépolluantes et bonnes pour la santé

  1. La Sansevieria ou Langue de belle-mère

Cette plante aux feuilles pointues produit beaucoup d’oxygène. La Sansevieria permet de réduire le taux d’humidité intérieur et se veut bénéfique pour la peau, les yeux et les voies respiratoires. Elle absorbe énormément de substances toxiques composant l’air intérieur et donc atténue les maux de tête et la fatigue.

  1. La Palma Areca, une représentante du palmier

Cette plante purifie l’air intérieur en réduisant les taux de substances comme le trichloréthylène, le formaldéhyde et le benzène. La Palma Acera agit aussi sur la pression artérielle et permet d’être plus détendu.

  1. L’Orchidée, fleur de la passion suprême

Outre sa capacité dépolluante, l’Orchidée agit sur l’humeur et le stress. De plus, la forme de ses splendides fleurs élégantes a un pouvoir apaisant sur l’esprit.

  1. Le ficus Pumila ou figuier rampant, grimpant et retombant

Le ficus Pumila est originaire d’Asie, plus précisément de Chine, du Japon et du Vietnam. Cette plante purificatrice a aussi la capacité de réduire le niveau d’anxiété.

  1. Le Gerbera, la plante d’intérieur aux jolies fleurs colorées recommandée par la NASA

La NASA considère le Gerbera comme étant la meilleure plante pour absorber le benzène à l’intérieur de la maison et produire de l’oxygène pendant la nuit. Elle est donc parfaite pour les personnes insomniaques ou souffrant d’apnée du sommeil. D’ailleurs, si votre sommeil n’est pas satisfaisant, je vous invite à regarder cette vidéo de ma chaîne YouTube et à lire mon article sur l’insomnie.

  1. L’aloe Vera, la plante “santé” par excellence

Un unique plant est capable d’absorber quasiment tout le monoxyde de carbone présent dans une pièce ainsi que le benzène, le toluène et les formaldéhydes présents dans de nombreux produits ménagers et nocifs pour la santé. L’Aloe Vera permet de réduire les allergies et la prolifération des acariens. Elle aurait aussi la capacité de lutter contre l’impact des ondes électromagnétiques classé en 2011 par l’Organisation Mondiale de la Santé comme « possiblement cancérigènes pour l’Homme ». N’oublions pas non plus les vertus du gel contenu dans la plante. En coupant une feuille de l’Aloe Vera avec une paire de ciseaux puis en l’ouvrant dans le sens de la longueur, le liquide gluant recueilli peut être appliqué sur la peau en cas de brûlure mais aussi pour l’hydrater. Cette plante est également utilisée pour éloigner les mauvais esprits et apporter le bonheur.

  1. Le lierre grimpant, la plante idéale contre les moisissures

Le lierre grimpant purifie près de 90% de l’air intérieur, ce qui le rend extrêmement efficace contre les moisissures. Cette plante permet donc d’atténuer les allergies. Elle se révèle très efficace pour les personnes asthmatiques qui respirent mieux la nuit et bénéficient d’un sommeil plus réparateur. Par contre, étant une plante toxique, le lierre grimpant ne doit pas être laissé à portée des enfants et des animaux du foyer.

  1. Le Monstera deliciosa, une grande plante résistante

Cette plante verte dépolluante possède de larges feuilles qui changent de forme au fur et à mesure de leur croissance. Ce faux philodendron peut atteindre jusqu’à 3 mètres de hauteur ce qui en fait une magnifique plante d’intérieur à regarder, naturellement apaisante.

  1. Le Scindapsus doré, une plante à croissance rapide

Le Scindapsus doré appelé aussi Pothos est une plante d’intérieur purifiante et dépolluante. Ses feuilles filtrent l’air ambiant en absorbant  le benzène, le toluène et le formaldéhyde. Elle est efficace contre les insomnies, les apnées du sommeil et facilite l’endormissement.

  1. Le jasmin, une magnifique plante odorante, idéale dans la chambre à coucher

Outre ses vertus dépolluantes, cette plante d’intérieur agit comme un somnifère mais de façon naturelle. Placée dans la chambre à coucher, les magnifiques petites fleurs odorantes du jasmin rendent le sommeil qualitatif. Il diminue le stress et met de bonne humeur dès le réveil.

 

J’espère que vous utiliserez les conseils que je vous ai apportés pour décorer votre intérieur de manière naturelle avec ces 10 plantes bénéfiques pour votre santé.

La physique quantique au service du bien-être

La médecine quantique s’appuie sur les découvertes de la physique quantique, sujet scientifique tellement mystérieux pour les néophytes. La physique quantique est née au XXème siècle. En rupture avec la physique classique qui ne permet pas d’expliquer certaines propriétés physiques, la physique quantique en étudiant le comportement des atomes et des particules donne une meilleure compréhension de certaines propriétés du rayonnement électromagnétique. La physique quantique utilise la mécanique quantique qui constitue la théorie fondamentale des particules de matière constituant les objets de l’univers et des champs de force animant ces objets. Quel est le lien entre physique quantique et médecine quantique ? Quelles pratiques alternatives utilisent la médecine quantique et qu’apportent-elles ? Voilà, les deux questions auxquelles je vais tout de suite répondre afin de bien comprendre que la physique quantique est au service de notre santé.

Qu’est-ce que la médecine quantique et comment fonctionne-t-elle ?

La médecine quantique est un terme inventé par Deepak Chopra pour décrire la façon dont nos pensées, nos croyances et nos attitudes influent sur la façon dont nous vivons la maladie et la santé dans notre vie. Selon ce principe, notre conscience ne contrôle pas seulement le fonctionnement de notre cerveau et de notre système nerveux. Elle peut néanmoins influencer le flux d’informations entre les cellules et les organes.

La médecine quantique n’est pas une solution miracle et ne remplace pas la médecine classique. L’objectif de la médecine quantique n’est pas d’éviter ou d’ignorer la maladie, mais plutôt de découvrir ce qui nous rend malades, puis de prendre des mesures pour éviter que cela ne se reproduise.

Les thérapeutes quantiques considèrent la santé comme fluide, adaptable et modifiable en fonction de ce que nous faisons et pensons. Selon cette approche, la maladie peut être une leçon spirituelle importante qui nous apprend quelque chose sur nous-mêmes et sur notre place dans le monde.

Lorsque nous considérons la santé et la maladie de cette manière, il nous devient possible de prendre des mesures telles que la méditation, le yoga et d’autres formes de guérison holistique qui peuvent contribuer à rétablir l’équilibre et l’harmonie.

Quel est le lien entre la physique quantique et la médecine quantique ?

Comme je le disais au début de cet article, la médecine quantique et la thérapie quantique s’appuient de plus en plus sur la physique quantique. Elles partent du postulat que nos cellules échangent des informations déterminantes pour notre état de santé. Agir sur ces informations constitue donc une nouvelle manière de soigner. Là où la médecine conventionnelle voit des défaillances biologiques, la médecine quantique appréhende l’humain, et notamment ces maladies, dans sa globalité. Mélange d’esprit et de matière, le corps est un champ électromagnétique, vibratoire et énergétique, constitué de milliards de photons.

La médecine quantique agit sur ces particules de lumière qui échangent des informations entre elles en permanence. Vue par la médecine quantique, la maladie est donc liée à un problème de communication entre les cellules du corps. Les symptômes en sont la conséquence. Pour étayer mon propos, qui peut paraître quelque peu étonnant surtout si l’on est étranger à la physique quantique, je dirais que cette idée repose sur des décennies de travaux scientifiques, à commencer par ceux d’Albert Einstein et ses recherches sur la nature de la lumière. La physique quantique étudie des particules subatomiques, donc extrêmement petites. Au cours des années 1970, le biophysicien Fritz-Albert Popp a réussi à filmer ce qu’il a appelé les « biophotons », des particules de lumière émises par nos cellules. La médecine quantique propose une réponse thérapeutique innovante en agissant sur ce champ d’énergie constitué par les biophotons et leur communication.

Quelles pratiques alternatives utilisent la médecine quantique et qu’apportent-elles ?

La thérapie quantique permet de stimuler l’auto guérison en agissant sur les champs d’énergie. Notre corps, constitué d’énergie, est aussi structuré et en quelque sorte contrôlé par ces énergies. Il constitue donc une structure organisée d’informations liant l’esprit à la matière. Les flux d’énergie sont depuis l’origine de l’homme une source de soin. La médecine chinoise, la médecine ayurvédique, le Reiki, la polarité, le shiatsu, le QI Gong, la magnétothérapie, le chamanisme, mais aussi l’acupuncture et le magnétisme sont de bons exemples de traitement alternatif basés sur les centres d’énergies, les chakras et le flux énergétique. Ces médecines particulières rééquilibrent la circulation de l’énergie et donc la communication entre les cellules du corps. Certaines personnes ont naturellement une appétence pour les médecines alternatives, d’autres y viennent parce qu’elles sont confrontées à l’insuffisance de la médecine traditionnelle. Qu’une personne souffre de douleurs chroniques, qu’elle ne se remette pas d’un décès, qu’elle subisse un stress intense ou qu’elle veuille maigrir, la médecine quantique s’offre comme une solution possible à son trouble ou à son désir.

Les bienfaits de la médecine quantique

Lorsque nous sommes prêts à prendre le contrôle de notre vie de cette manière, cela peut nous aider à développer les compétences nécessaires pour rester en bonne santé même face à la maladie ou à des circonstances difficiles. Les personnes qui pratiquent la médecine quantique peuvent éprouver un plus grand sentiment de vitalité et d’énergie, une meilleure capacité d’auto-guérison et une conscience mentale accrue.

Selon les recherches menées dans le domaine de la physique quantique, nos pensées ont un effet puissant sur le monde qui nous entoure, ce qui signifie que les personnes qui pratiquent la guérison quantique sont moins susceptibles de subir des malheurs ou des événements négatifs.

Concrètement, comment fonctionne la médecine quantique ?

Lors d’une séance, le thérapeute pose généralement des questions d’ordre personnel : le vécu, l’histoire médicale, les besoins… Le but est d’accompagner avec bienveillance la personne concernée. Le praticien applique ensuite sa technique pour rééquilibrer l’énergie.

Il existe aussi des appareils de biofeedback quantiques : le Scio, le Life, le Korotkov, le Mora. Quel que soit l’appareil utilisé, le principe reste le même. Il détecte les ondes électromagnétiques émises par les cellules du corps et les corrige, si besoin, en renvoyant les bonnes fréquences. L’appareil communique avec les cellules pour stimuler l’autoguérison. Un peu comme un ami le ferait par des paroles réconfortantes. Dans la pratique, des électrodes placées à différents endroits du corps sont reliées à l’appareil connecté à un ordinateur qui analyse les données reçues et les restitue sous forme de graphiques. Indolore, cette technique permet d’obtenir un bilan physiologique et émotionnel complet.

Mais appareil ou pas, la démarche reste la même. Le magnétiseur par exemple, va puiser dans sa propre énergie pour harmoniser celle de la personne qu’il accompagne. Il sera capable de percevoir notamment si cette dernière a par exemple une polarité de son corps inversée, si des centres d’énergie sont fermés ou déséquilibrés. Et surtout, il sera capable de rétablir le flux énergétique avec harmonie. Le magnétisme permet de soulager sur le plan physique et psychique, car comme nous venons de le voir, les deux sont intimement liés.

 

N’hésitez pas à me contacter si vous pensez avoir besoin de moi. Je pratique le magnétisme à distance, donc l’éloignement géographique n’est pas une barrière aux soins énergétiques. Consultez les nombreux avis des personnes que je suis si vous avez besoin d’être rassuré. Vous pouvez aussi regarder les vidéos de ma chaîne YouTube et poser des questions en commentaire.

Le Ho’oponopono : une philosophie de vie pour retrouver la paix intérieure

Qu’est-ce que le Ho’oponopono ?

Le Ho’oponopono  est une pratique spirituelle ancestrale hawaïenne qui ritualise le pardon et la réconciliation. Elle aide à retrouver la paix intérieure et au sein d’une communauté ou d’une famille lorsque les relations sont compliquées. Composé de « Ho’o » qui signifie commencer une action et de « Pono » qui veut dire : bonté, droiture, honnêteté, intégrité, pureté, moralité, bienveillance, perfection, la pratique d’Ho’oponopono vise à vivre dans l’équilibre bienveillant le plus proche possible de la perfection. Dans cette tradition hawaïenne transmise oralement de génération en génération, les adeptes se réunissent autour d’un guide mandaté par le groupe et exposent leur problème. Après un certain temps, allant de quelques heures à plusieurs jours, lorsque chacun a intériorisé et reconnu sa responsabilité, vient le moment de la libération et du retour à la paix grâce au pardon.

Cette philosophie de vie part du principe que nous sommes les attracteurs des situations conflictuelles de notre vie, au travers de nos pensées. Effacer les mémoires négatives, inconscientes, supprimeront les situations désagréables. Cette technique a été créée pour remettre en ordre, harmoniser, nettoyer et agir en accord.

En 1976, Morrnah Nalamaku Simeona a modernisé le Ho’oponopono pour pouvoir le pratiquer seul(e).

Vous allez découvrir dans cet article les 7 grands principes du Ho’oponopono, l’importance des mémoires sur notre comportement et comment les nettoyer. Enfin, vous apprendrez à utiliser cette philosophie au quotidien. Bonne lecture !

Les 7 grands principes du Ho’oponopono

  1. La réalité physique est telle qu’on la pense : Ike

En physique quantique, dans le champ d’énergie qu’est l’univers, chacune des pensées liées à une émotion émet une fréquence qui attire une personne, un objet ou une expérience de la même fréquence. Par conséquent, la force de nos pensées attire le mieux comme le pire.

  1. Une pensée négative crée une réalité négative : Makia

La peur, le ressentiment ou la colère engendre des pensées qui nourrissent ces émotions et les attirent d’autant plus. L’énergie nourrit l’intention et les pensées négatives s’amplifient.

  1. Être droit et faire de son mieux pour créer une réalité juste et bienveillante : Pono

Nous sommes responsables à 100% de notre réalité. Rester droit, juste et fidèle à ses valeurs permet d’apporter l’énergie essentielle, nécessaire à la réalisation de ses objectifs. Un comportement sain avec des valeurs engendre un grand bien être intérieur.

  1. Le pouvoir s’exerce en temps réel : Manawa 

Nous sommes aujourd’hui le résultat de nos pensées d’avant et nos pensées d’aujourd’hui conditionnent ce que nous serons plus tard. Ainsi, à chaque instant nous pouvons changer de décision et donc changer notre futur. Penser au passé signifie être nostalgique et penser au futur prouve l’inquiétude de l’avenir. L’idéal est de vivre le moment présent et d’y penser pleinement. Une pensée juste et bienveillante créera une réalité juste et bienveillante.

  1. Tout pouvoir vient de notre esprit : Mana

Tout est à l’intérieur, rien n’est à l’extérieur. Conscientiser son pouvoir, c’est prendre conscience que nous générons les événements de notre vie. Reconnaître son pouvoir créateur, c’est être conscient.

  1. Les limites n’existent pas : Kala

Tout est connecté et communique dans ce monde. Nous influençons notre environnement comme il nous influence. Les limites sont les croyances mais en réalité, il n’y a pas de limite au pouvoir créateur de la pensée.

  1. L’amour pour être heureux : Aloha

La société de consommation offre des expériences de plaisirs éphémères. Le bonheur vrai s’inscrit dans la durée et vient de l’intérieur de soi. L’amour, la paix avec soi-même offre ce bonheur. La paix commence à l’intérieur de soi.

La philosophie du Ho’oponopono

Les mémoires : les nettoyer pour mieux-être

Les mémoires sont au centre du Ho’oponopono. Nos mémoires, de celle de nos expériences à celle de notre vie intra-utérine en passant celle de nos ancêtres, sont stockées dans notre subconscient. Elles s’expriment de manière inconsciente sous forme de problèmes ou de moments heureux. Créateur de toutes ces mémoires, nous devons, selon les principes du Ho’oponopono, nous en libérer en pratiquant un nettoyage permanent des mémoires.

Selon la philosophie Ho’oponopono, nous sommes composées de plusieurs individus : la mère ou le moi conscient, l’enfant intérieur ou le subconscient et le père ou le super conscient. Pour que notre vie soit heureuse et sereine, ces trois personnages doivent vivre en harmonie. Le contact permanent avec l’enfant intérieur, source de créativité et de joie, nous libère, nous donne envie d’avancer. C’est pour cette raison qu’il est important de nettoyer notre mémoire régulièrement, pour élever notre niveau de conscience et découvrir qui nous sommes.

Comment nettoyer les mémoires dans la pratique du ho’oponopono ?

Ainsi, lorsque nous devons faire face à un problème, nous devons être prêts à l’assumer. En étant capable de communiquer avec notre enfant intérieur, il fera ce nettoyage lui-même. Pour faire simple : si nous prenons conscience de notre responsabilité, nous prenons le pouvoir sur nous-même sans nous poser en victime.

Pour nettoyer nos mémoires, voici 4 phrases du mantra de purification à utiliser :

  1. Désolé(e) de générer cet événement pour les autres et pour moi car cela me rend triste ;
  2. Je demande pardon à moi, aux autres d’avoir attiré cette situation négative ;
  3. Merci à la vie de m’avoir montré cette mémoire erronée que j’avais inconsciemment en moi ;
  4. Je t’aime, j’aime la vie, j’envoie de l’amour à cette mémoire erronée et je demande qu’elle soit effacée.

Quelques conseils pour appliquer le Ho’oponopono au quotidien

  • Répétez le mantra de purification accompagné d’une intention, en cas d’émotion ou d’échanges un peu vif qui permettra de ne pas critiquer ou juger.
  • Répétez le mantra « désolé, pardon, merci, je t’aime » avant de vous endormir par exemple, dans des moments calmes ou encore sous la douche, aussi souvent que possible pour nettoyer vos mémoires régulièrement.
  • Parlez à voix haute, votre voix résonnera en vous ;
  • Mettez-vous en condition pour parler à votre enfant intérieur :
    • Imaginez-vous enfant ou faites monter une sensation liée à votre enfance comme une odeur, un goût ou encore un son ;
    • Présentez-vous à lui et excusez-vous de l’avoir quelque peu délaissé ;
    • Demandez-lui s’il veut bien dialoguer avec vous ;
    • Une fois son accord obtenu, demandez-lui ce qu’il souhaite et faites-le !

La pratique du pardon est-elle nécessaire ?

La pratique du pardon est importante ; elle élimine ou réduit les motivations d’évitement et de vengeance. Le pardon vous permet de ressentir un sentiment de soulagement avant de vous affecter psychologiquement ou émotionnellement. En outre, garder trop longtemps de l’amertume envers quelqu’un ou quelque chose peut finir par affecter votre santé mentale et physique. Le pardon réduit les symptômes de la dépression, des principaux troubles psychiatriques et de l’anxiété. En outre, le pardon minimise la perception du stress, ce qui réduit la détresse psychologique de votre corps.

Les bienfaits du Ho’oponopono

Les bienfaits de la pratique du ho’oponopono sont très nombreux. Il offre un moyen simple, facile et rapide de retrouver notre pouvoir perdu lorsque nous laissons s’envenimer les sentiments et les souvenirs désagréables. La pratique de l’ho’oponopono offre les avantages suivants :

  • Favorise la réconciliation
  • Encourage la responsabilité
  • Minimise les sentiments (négativité)
  • Rétablir l’amour de soi

Le ho’oponopono nous permet de choisir un moyen facile de nous libérer de la cage du non-pardon. L’un des meilleurs aspects de l’ho’oponopono est qu’il permet de transformer des vies. Après avoir récité le mantra, lâchez prise pour trouver la paix intérieure. Le Ho’oponopono vous permettra de mieux gérer les conflits, de vous défaire des idées négatives, d’atteindre un état de calme.

Cette méthode pour atteindre le bien-être, vous libère des émotions parfois difficiles à verbaliser qui s’accumulent et qui sont parfois difficiles à verbaliser. Si vous avez besoin d’être accompagné à retrouver la sérénité et la paix intérieur n’hésitez pas à me contacter en cliquant ici !

La sclérose en plaques : symptômes, causes, diagnostic et les formes

La sclérose en plaques ou SEP est une maladie du système nerveux central. Décrite pour la première fois au XIXe siècle par Jean-Martin Charcot. Cette maladie chronique peut provoquer des séquelles allant jusqu’au handicap.

Ce sont surtout les femmes qui sont concernées. En France, il y aurait entre 70 et 90 000 patients souffrant de sclérose en plaques, et depuis une vingtaine d’années, ce nombre ne fait qu’augmenter. On recense plus de 4 000 nouveaux cas chaque année. Plus d’une personne sur 1 000 seraient concernées.

Aux vues de ces chiffres éloquents, nous allons détailler cette maladie afin de mieux la comprendre en nous intéressant aux causes, aux symptômes, aux conséquences physiques et psychiques, au diagnostic et aux traitements. Nous verrons aussi le cas particulier de la grossesse en cas de sclérose en plaques.

Qu’est-ce que la sclérose en plaques ?

La sclérose en plaques est une maladie auto-immune. Les maladies auto-immunes sont générées par un dérèglement du système immunitaire qui s’attaque à certains constituants de l’organisme. Dans le cas de la sclérose en plaques, c’est la myéline qui est considérée comme un corps étranger. C’est une protéine indispensable à la propagation de l’influx nerveux. Attaquée, cela provoque une inflammation qui atteint le système nerveux central constitué du cerveau et de la moelle épinière. C’est lui qui assure les fonctions intellectuelles et sensitives, contrôle les mouvements, l’équilibre et les muscles. Par conséquent, lorsque le système nerveux central est défaillant, les conséquences se répercutent en affectant les sens, les mouvements, l’équilibre, etc.

Quelles sont les causes de la sclérose en plaques ?

Si vous êtes atteint de la sclérose en plaques, la couche protectrice de myéline entourant certaines fibres nerveuses du cerveau, du nerf optique et de la moelle épinière se détériore.

On pense que ces lésions sont le résultat d’une attaque du système immunitaire. Les chercheurs pensent qu’un déclencheur environnemental, tel qu’un virus ou une toxine, pourrait déclencher l’attaque du système immunitaire.

Lorsque le système immunitaire attaque la myéline, il provoque une démyélinisation. Cette démyélinisation peut entrer en rémission au fur et à mesure que de nouvelles couches de myéline se forment, mais l’inflammation chronique peut conduire à la formation de tissu cicatriciel, ce qui peut entraîner une déficience neurologique durable. La sclérose en plaques n’est pas héréditaire, mais le fait d’avoir des parents ou un frère ou une sœur atteint de la sclérose en plaques augmente légèrement le risque.

Votre environnement peut jouer un rôle dans votre risque de développer une sclérose en plaques. Les régions plus éloignées de l’équateur ont des taux plus élevés de sclérose en plaques. Cela peut être dû au fait que ces régions reçoivent un soleil moins intense. Les personnes qui s’exposent moins au soleil ont des taux plus faibles de vitamine D, un facteur de risque pour la sclérose en plaques.

Quels sont les symptômes de la sclérose en plaques ?

La manifestation de la maladie est variable. Au cours d’une poussée donc pendant une durée limitée de 2 à 4 semaines, les symptômes apparaissent ou s’amplifient. On peut noter :

  • Des troubles de la sensibilité avec des fourmillements, des picotements, une sensation d’étau, un engourdissement, une sensation de décharges électriques le long de la colonne vertébrale lorsque le patient fléchit la tête appelé signe de Lhermitte, etc.
  • Une faiblesse musculaire, dans un bras ou une jambe qui peut provoquer des difficultés à marcher ;
  • Une baisse de vision due à l’atteinte du nerf optique qui peut s’accompagner de douleurs au niveau de l’orbite ;
  • Des troubles visuels, le patient voit double ou flou ;
  • Des vertiges.
  • Problèmes cognitifs liés à la concentration et à la mémoire

En dehors des poussées, des symptômes tels que la fatigue, des tremblements, des troubles urinaires, une constipation peuvent se manifester. Des infections courantes comme un rhume peuvent favoriser le déclenchement d’une poussée. Le stress favorise également l’exacerbation de certains symptômes.

Il est fréquent qu’en début de maladie, les symptômes disparaissent d’eux-mêmes. Mais après plusieurs années, des séquelles peuvent s’installer allant jusqu’au handicap.

Quelles sont les différentes formes de sclérose en plaques ?

En fonction de l’évolution de la maladie, on distingue trois formes de sclérose en plaques :

  • La forme « récurrente-rémittente » : 85 % des malades souffrent de cette forme de la maladie, elle évolue par poussées successives intercalées de périodes de rémission au cours desquelles la maladie n’évolue donc pas ;
  • La forme dite « progressive secondaire » : Dans 50 % des cas, après 5 à 20 ans, la maladie progresse entre les poussées ;
  • La forme « progressive primaire » : Pour 15 % des cas, en général chez les personnes plus âgées, la maladie évolue lentement et progressivement, avec ou sans poussée.

Quelles sont les personnes les plus exposées au risque de sclérose en plaques ?

Il s’avère d’après une étude épidémiologique que la maladie touche dans la majorité des cas les personnes entre 20 et 50 ans et surtout les femmes. Elle est plus souvent diagnostiquée à des latitudes hautes, c’est-à-dire dans des régions éloignées de l’équateur. Elle concernerait davantage les personnes ayant une ascendance nord-européenne. Une prédisposition génétique semble s’appliquer mais la maladie n’est pas héréditaire. Enfin, la migration de personnes de moins de 15 ans vers une zone où la sclérose en plaques est plus fréquente ont plus de risques de la contracter. Ce qui laisse à penser qu’en plus des facteurs génétiques et ethniques, des facteurs environnementaux jouent aussi un rôle.

Comment diagnostiquer la sclérose en plaques ?

Pour diagnostiquer la sclérose en plaques, il faut mettre en évidence l’atteinte du système nerveux central à la fois dans le temps et dans l’espace.

Les examens suivants permettent le diagnostic :

  • L’IRM : imagerie par résonance magnétique ;
  • La ponction lombaire : plus obligatoire depuis l’arrivée de l’IRM, elle est réalisée très fréquemment pour mettre en évidence des signes d’inflammation dans le liquide céphalorachidien entourant le système nerveux central. Elle permet de confirmer le diagnostic ;
  • La mesure des potentiels dits « évoqués » : pour étudier la qualité et la vitesse de la conduction de l’influx électrique le long des voies nerveuses.

Pour diagnostiquer les formes progressives de la sclérose en plaques, il est indispensable d’effectuer une IRM du cerveau et une IRM de la moelle, la mesure des potentiels évoqués et une ponction lombaire pour confirmer le diagnostic.

Quelles sont les conséquences physiques et psychiques de la sclérose en plaques ?

Les conséquences physiques de la SEP comme la raideur de la marche, la grande fatigue, les troubles urinaires, les problèmes de vue, ne sont pas toujours visibles mais ont un large impact sur la vie quotidienne. Ces complications physiques vont bien évidemment avoir des retombées psychiques sur les personnes souffrant de sclérose en plaques. La charge émotionnelle peut entraîner un état d’anxiété voire une dépression. La tristesse, le ralentissement physique, le changement d’humeur, la dévalorisation, la perte de motivation sont des conséquences dont il faut particulièrement tenir compte dans le traitement de la sclérose en plaques.

Les lésions causées par la SEP peuvent apparaître n’importe où dans votre système nerveux central et ont des effets très variés. À mesure que vous vieillissez, certaines incapacités causées par la sclérose en plaques peuvent devenir plus prononcées.

Si vous avez des problèmes de mobilité, les chutes peuvent vous exposer à un risque accru de fractures osseuses. La présence d’autres maladies, comme l’arthrite et l’ostéoporose, peut compliquer les choses. L’un des symptômes les plus courants de la sclérose en plaques est la fatigue, mais il n’est pas rare que les personnes atteintes de sclérose en plaques souffrent également de ce qui suit :

  • dépression
  • anxiété
  • un certain degré de déficience cognitive

Quels sont les facteurs de risque de la sclérose en plaques ?

Il existe plusieurs facteurs de risque de développer la sclérose en plaques. Ces facteurs de risque sont les suivants :

  • avoir un parent proche atteint de la SEP
  • l’obésité
  • certaines infections
  • le tabagisme
  • certaines maladies auto-immunes, comme le diabète de type 1 et la polyarthrite rhumatoïde.

De quelle manière est traitée la sclérose en plaques ?

Les intervenants dans le traitement de la sclérose en plaques

Comme c’est souvent le cas pour les maladies chroniques, une équipe pluridisciplinaire va prendre en charge la sclérose en plaques : neurologue, psychologue, kinésithérapeute, orthophoniste, ergothérapeute, infirmier, urologue, ophtalmologiste… Mais aussi des professionnels des médecines alternatives comme le magnétiseur pour apaiser les conséquences psychiques, pour soulager la douleur et le stress engendré et qui contribue aux poussées. L’action coordonnée des divers professionnels permet d’assurer un suivi optimal.

Les traitements de fonds de la sclérose en plaques

La sclérose en plaques est traitée par des immunomodulateurs et des immunosuppresseurs qui rendent les poussées moins fréquentes et ralentissent l’évolution du handicap. Pour traiter les poussées, des perfusions intraveineuses de corticoïdes, de puissants anti-inflammatoires, sont administrés sur une courte période afin d’atténuer l’inflammation du système nerveux central.

Les autres traitements non spécifiques à la sclérose en plaques

Outre un traitement médicamenteux de fonds adapté à chaque cas pour réduire la durée et l’intensité des poussées, une prise en charge non spécifique à la sclérose en plaques doit être envisagée :

  • Des traitements pour soulager des symptômes liés aux poussées qui diminuent la qualité de vie au quotidien comme la fatigue, la douleur, l’anxiété, des troubles dépressifs, des tremblements et mouvements anormaux, la raideur musculaire ou l’incontinence.
  • Une rééducation fonctionnelle pour maintenir l’autonomie ;
  • Un soutien psychologique ;
  • Une activité physique adaptée (APA) ;
  • Un programme d’éducation thérapeutique.

Autres traitements complémentaires de la sclérose en plaques

Les études concernant l’efficacité des thérapies complémentaires sont rares, mais cela ne signifie pas que ces traitements ne peuvent pas aider d’une manière ou d’une autre.

Les traitements suivants peuvent vous aider à vous sentir moins stressé et plus détendu :

  • la méditation
  • massage
  • acupuncture
  • hypnose

Que se passe-t-il en cas de grossesse pendant la maladie ?

Les poussées de sclérose en plaques diminuent au cours de la grossesse, notamment au cours des 3 derniers mois. La femme qui désire un enfant doit stopper son traitement 3 à 6 mois avant sa grossesse ou en tout cas dès qu’elle sait qu’elle est enceinte. Par contre, l’utilisation de corticoïdes en cas de poussée durant la grossesse est possible, tout comme l’accouchement sous péridurale. Si la mère désire allaiter, son traitement ne pourra être repris qu’après cette période.

Aujourd’hui, plusieurs essais thérapeutiques avec différents nouveaux médicaments sont réalisés avec pour objectif de comprendre les mécanismes de la remyélinisation.

Si vous souffrez de sclérose en plaques ou si quelqu’un de votre entourage est touché par cette maladie chronique, je peux certainement apporter mon aide grâce à mon savoir-faire en magnétisme en diminuant les conséquences physiques et psychiques de la maladie, sans toutefois la guérir.

La teigne du chat : reconnaître et soigner cette maladie contagieuse

La teigne du chat, appelée aussi dermatophytose, est une maladie contagieuse de la peau provoquée par des champignons microscopiques. Transmissible à l’homme et aux autres animaux, cette affection est redoutée par les responsables de refuges et par les éleveurs. En effet, il est très difficile d’éradiquer ce champignon responsable de lésions cutanées parfois importantes.

Qu’est-ce que la teigne du chat ? Quels sont ses symptômes ? Quel est le processus de contamination ? Comment est posé le diagnostic ? Quels traitements sont applicables ? Quels sont les symptômes de contamination chez l’homme ? Voici des questions que, toi , maître attentif à ton compagnon, tu te poses sans doute. Voici les réponses.

Qu’est-ce que la teigne du chat ?

La teigne est une mycose filamenteuse contagieuse que le chat développe à cause de champignons microscopiques appelés dermatophytes. Elle touche plus particulièrement les chatons et les chats à poils longs comme le Persan et l’Abyssin qui ont 3 fois plus de risque de l’attraper que les autres races. Souvent, les chats sont porteurs sains, ce qui favorise la contamination.

Beaucoup d’espèces de champignons sont responsables de la teigne, mais dans 95 % des cas, il s’agit du Microsporum canis. Ce parasite et les autres s’installent à la surface de la peau du chat à la base du poil et des ongles. Ce qu’il faut savoir, c’est qu’un animal teigneux perd des spores qui restent contaminantes dans l’environnement pendant plus d’un an. C’est pourquoi la teigne du chat est extrêmement contagieuse. La période d’incubation est de dix jours en moyenne.

Les chats attrapent la teigne lorsqu’ils entrent en contact avec le champignon qui cause l’infection. Ce champignon peut vivre sur de nombreuses surfaces, notamment les couvertures, les outils de toilettage et les serviettes. Il vit également sur la peau et les poils d’un humain ou d’un animal infecté.

Voici quelques exemples de la façon dont la teigne se transmet aux chats :

  • Dormir à côté d’un animal infecté, le lécher ou le toiletter.
  • Se faire brosser avec le même matériel que celui utilisé pour le toilettage d’un animal infecté.
  • Utiliser la même literie qu’un animal infecté
  • Utiliser les mêmes meubles sur lesquels un animal infecté s’est assis, par exemple dans un refuge ou une pension.

Si votre chat entre en contact avec des champignons responsables de la teigne du chat, il n’aura pas nécessairement la teigne. Les chatons et les chats dont le système immunitaire est compromis sont plus susceptibles de développer une teigne que les chats adultes ou ceux dont le système immunitaire est robuste.

En outre, les chats à poils longs ont tendance à être des porteurs sournois de la teigne du chat. En effet, lorsqu’ils sont infectés, l’infection n’est pas aussi visible que chez les chats à poils courts. Ils ont également tendance à perdre plus de poils.

Quels sont les symptômes de la teigne du chat ?

Dans la plupart des cas, les champignons vont créer des lésions cutanées, rondes, et à l’aspect écailleux. Ces lésions vont entraîner une chute des poils du chat et une apparition de croûtes. La teigne n’entraîne pas forcément de démangeaison. Parfois le chat n’a pas de lésion.

Les zones pelées peuvent varier entre 1 et 7 cm. Elles sont généralement situées sur le dos ou sur la tête du chat, mais peuvent être présentes ailleurs.

Les symptômes de la teigne du chat peuvent également varier chez les chats. Une éruption cutanée peut avoir une forme irrégulière. Les griffes de votre chat peuvent prendre une couleur blanchâtre et s’effilocher facilement.

Comme son nom l’indique, l’éruption de la teigne ressemble souvent à un anneau. La teigne apparaît généralement sur la face, la queue, le bout des oreilles et les pattes du chat. L’infection peut prendre la forme de petites bosses solides ou de grosses bosses avec des plaies ouvertes.

Voici quelques symptômes de la teigne sur un chat :

  • Zones de perte de poils ou poils cassés
  • Rougeur
  • Détartrage
  • Croûtes

Quelles sont les causes de la teigne du chat chez les chats ?

Le problème avec la teigne du chat, c’est qu’on ne peut pas vraiment s’en cacher. La teigne du chat est causée par un organisme fongique qui vit à peu près partout dans l’environnement. On le trouve dans le sol et il se développe particulièrement dans les environnements chauds et humides. Les agents de la teigne ne sont toutefois pas limités au sol ; les spores fongiques sont suffisamment minuscules pour se glisser facilement sur les couvertures, les vêtements et la fourrure et être transportées à l’intérieur, où elles peuvent également se développer.

Une fois que le champignon trouve une source de nourriture vivante, comme un chat, un chien, il s’installe dans le follicule pileux. Il se nourrit de kératine, faisant des cheveux, des ongles et de la peau ses principales sources de nourriture. C’est ici que la teigne du chat devient un peu délicate. Même si un chat est contaminé par le champignon, cela ne signifie pas qu’il développera toujours une infection par la teigne.

Les manières d’attraper la teigne du chat sont diverses.

  • Par contact direct avec un autre animal infecté, à cause de piqûres de puces ou d’insectes porteurs ;
  • Par contact indirect, en marchant sur le sol où des spores peuvent être rapportées par d’autres animaux, les chaussures, ou dans une cage de transport, avec des instruments de toilettage…

Comment diagnostiquer la teigne du chat ?

C’est bien-sûr le vétérinaire qui va poser le diagnostic grâce à un examen dermatologique. Dans la plupart des cas, il examine directement la fourrure du chat pour conclure à la teigne. Mais il est parfois nécessaire de faire un prélèvement et une mise en culture des agents pathogènes pour mettre en évidence la présence de dermatophytes. Il peut aussi examiner les lésions du chat à la lampe de Wood, fonctionnant par U.V. Cette méthode permet le diagnostic seulement pour 1 cas sur 3.

Du fait de la haute contagiosité de la teigne du chat et des difficultés à l’éradiquer, un diagnostic du vétérinaire s’avère indispensable pour adopter un traitement adapté.

Quel traitement pour soigner la teigne du chat ?

Traitement contre la teigne du chat

Le traitement contre la teigne du chat est long et contraignant. Généralement, le vétérinaire prescrit dans un premier temps un traitement local : un shampoing antifongique, une lotion, ou une crème en application régulière, tous les deux jours pendant trois semaines, sur le corps du chat. Ce traitement assainit son pelage et élimine les spores. L’objectif est de limiter au maximum le risque de contamination. Un traitement antifongique oral peut être administré en complément durant 3 à 6 semaines. Lorsque le chat est à poils longs ou qu’il est fortement atteint, il est recommandé de le tondre.

À la fin du traitement, une vérification par le vétérinaire s’impose pour être certain de la guérison. La teigne est totalement éradiquée lorsque deux cultures fongiques à 15 jours d’intervalle sont négatives.

Ce traitement ne dispense pas de l’utilisation de méthodes douces qui ont un impact avéré contre les symptômes de la teigne du chat. Ainsi, un magnétiseur peut soulager ton boule de poils de manière significative.

Le comportement à adopter en présence de la teigne du chat

L’animal infecté doit être isolé dans une pièce durant la durée de son traitement. Ainsi, contacts directs et indirects sont évités jusqu’à la guérison du chat. Il est important que les enfants, les personnes âgées, les personnes immunodéprimées comme celles souffrant de diabète, porteuse du VIH ou encore en chimiothérapie, restent à distance.

La personne qui s’occupe du chat doit porter des gants à usage unique, ou se laver les mains avec soin, et dans l’idéal porter un tablier qui ne servira qu’à cette occasion, et sera lavé régulièrement à 60 ° C au moins.

Traitement de l’environnement

 Comme nous l’avons vu, , les spores des champignons responsables de la teigne vivent plus d’une année dans l’environnement, il est crucial de compléter le traitement du chat par celui de son lieu de vie et des autres animaux l’entourant. C’est pourquoi, une désinfection totale du logement au chlore et à l’eau de javel s’impose ainsi qu’un traitement local antifongique pour les animaux domestiques de la famille.

En cas de récidive, des bombes, ou des bougies fumigènes diffusant des produits actifs contre les champignons responsables de la teigne peuvent être utiles.

Mesures préventives

Actuellement, il n’y a ni vaccin, ni traitement préventif de fond. Cependant, tu  peux traiter ton animal de compagnie contre les insectes avec un traitement à administrer régulièrement ou des solutions, et  shampoings antiparasitaires pour chat. Amène ton chat chez le vétérinaire régulièrement pour qu’il vérifie son état de santé général. C’est important car une baisse de son système immunitaire favorisera la teigne.

Comment éviter la propagation de la teigne du chat ?

La teigne du chat se propageant facilement, il est important de tenir les chats infectés à l’écart des autres. Je vous recommande de garder votre chat dans une petite pièce facile à nettoyer jusqu’à ce que l’infection ait disparu. Essayez d’éviter les pièces avec de la moquette.

Vous devez également prendre d’autres mesures pour éviter que la teigne ne se propage à vous ou aux autres animaux de la maison. Vous devez :

  • Porter des gants lorsque vous manipulez un chat qui a la teigne.
  • Vous laver les mains à l’eau et au savon après avoir manipulé un chat atteint de teigne.
  • Passer l’aspirateur dans votre maison pour enlever les poils et les squames, qui pourraient propager la teigne.
  • Enlevez les poils de chat de vos meubles, de votre literie et de vos vêtements.
  • Désinfectez soigneusement les surfaces où votre chat dort ou traîne, y compris sa cage.

Vous pouvez diluer un quart de tasse d’eau de javel dans un litre d’eau. Vous obtiendrez ainsi un désinfectant que vous pourrez utiliser sur les surfaces. Les détergents puissants sont idéaux pour laver la literie, les serviettes et les vêtements.

Si votre système immunitaire est faible, évitez si possible de manipuler votre chat atteint de teigne. Un lavage fréquent des mains peut également vous aider à ne pas attraper la teigne.

Un homme peut-il attraper la teigne du chat ?

Oui. La teigne du chat n’est généralement pas grave, mais elle peut se transmettre à l’homme ainsi qu’à d’autres animaux, comme les chiens. La transmission se fait par contact direct entre des individus infectés et non infectés. Elle peut se transmettre du chat au chien puis à l’homme par de nombreux chemins de propagation.

Si les hommes entrent en contact avec le champignon, ils peuvent eux aussi attraper la teigne du chat. En fait, il arrive que l’infection d’un chat ne soit identifiée qu’après qu’un membre de la maison ait contracté la teigne. Après une infection, il peut s’écouler jusqu’à 14 jours avant que la teigne du chat ne commence à démanger. La plupart des cas légers de teigne disparaissent avec un traitement en 2 à 4 semaines.

Quels sont les symptômes de la teigne du chat chez l’homme ?

Les enfants, les personnes âgées et celles immunodéprimées sont les plus vulnérables. Les symptômes de la teigne du chat chez l’homme se manifestent par des lésions cutanées situées le plus souvent sur les zones de contact avec le chat : main, avant-bras, visage, et cou… Comme pour le chat, elle n’entraîne pas forcément de démangeaison.

C’est le médecin qui posera bien évidemment le diagnostic et qui prescrira le traitement adapté. N’hésite pas à consulter en cas de doute car sans traitement, les traces de la teigne du chat sur l’homme peuvent laisser des marques irréversibles.

Si tu  as le moindre doute sur le fait que ton chat puisse être infecté par cette maladie extrêmement contagieuse qu’est la teigne du chat, n’hésite pas à consulter le vétérinaire. Et si veux  soulager ton chat et accélérer le processus de guérison, n’hésitez pas à me contacter !

Dépression des animaux de compagnie : symptômes, causes, traitements

Votre animal semble-t-il triste ? Vous avez remarqué des changements dans le comportement de votre animal ? Les animaux domestiques peuvent souffrir d’une dépression similaire à celle que nous connaissons en tant qu’êtres humains. Mais contrairement à nous, nos animaux n’ont pas la possibilité de nous dire quand ils se sentent tristes ou déprimés. Soyez-y attentif car ils sont souvent le signe d’une pathologie, il est alors vivement conseillé de consulter le vétérinaire.

Alors, comment savoir si votre animal de compagnie souffre de dépression ? Et que devez-vous faire ?

Vous allez découvrir dans cet article quels sont les symptômes et les causes fréquemment liés à la dépression chez les animaux de compagnie. Nous verrons ensuite les moyens de la soulager et notamment comment le magnétisme peut être bénéfique à votre animal.

Les symptômes de la dépression chez les animaux de compagnie

Alors, comment savoir si votre animal de compagnie souffre de dépression ? Voici plusieurs signes courants, dont beaucoup sont similaires aux signes de dépression chez l’humain.

Généralement, nous passons beaucoup de temps avec notre animal de compagnie et nous lui accordons toute l’attention nécessaire qui permet de constater un changement dans son comportement. Si vous observez que sa manière d’être, ses agissements ne sont pas habituels, montrez-vous encore plus attentif pour bien référencer les changements et savoir s’il n’est pas en train de déprimer. Voici les principaux symptômes liés à la déprime :

Une variation dans sa manière de s’alimenter

Il cesse de s’alimenter ou au contraire semble insatiable. Veillez à noter les changements dans le régime alimentaire de votre animal. Souvent, l’intérêt pour la nourriture diminue et entraîne une perte de poids. Il se peut aussi qu’il utilise la nourriture comme une forme de réconfort, comme les humains. Surveillez tout changement d’appétit, tout refus de friandises et toute prise ou perte de poids extrême et soudaine, car ils peuvent être les signes d’un déséquilibre chimique causé par la dépression.

Il lèche ses pattes

Ce signe fortement associé à l’anxiété peut être aussi dû à de l’eczéma ou une infection. Nous avons tous été réveillés par le bruit de notre animal se léchant les pattes, mais le léchage excessif peut avoir pour origine des problèmes physiologiques ou psychologiques. Les chiens et les chats dépressifs se lèchent ou se mordillent souvent les pattes pour se calmer. Un symptôme similaire pourrait être l’arrachage de la fourrure, et pour les chats, cela pourrait ressembler à un toilettage excessif. Le léchage excessif des pattes peuvent entraîner l’apparition de points chauds et de zones chauves sur votre animal de compagnie.

Un changement de rythme dans son sommeil

Il dort beaucoup plus que d’habitude. Tous les animaux dorment beaucoup. En revanche, si vous remarquez que votre animal de compagnie dort beaucoup plus que la normale, il y a peut-être un problème. Notez que cela peut aller dans les deux sens. Si vous remarquez que votre animal a du mal à dormir, qu’il est agité et qu’il fait les cent pas, c’est aussi un signe qu’il pourrait souffrir de dépression.

Abandon de votre animal

Si votre animal avait l’habitude de vous accueillir avec enthousiasme à la porte d’entrée et s’arrête soudainement, il s’agit d’un changement de comportement important à signaler à votre vétérinaire. Un animal déprimé peut s’éclipser et trouver un endroit pour dormir plutôt que de courir à votre rencontre lorsque vous rentrez à la maison. Soyez très attentif si vous remarquez que votre animal, en particulier les chiens et les chats, se cache de vous. Les chiens qui se cachent soudainement ou qui veulent être laissés seuls sont généralement blessés, malades ou déprimés.

Il est également important que vous gardiez un œil sur leur niveau d’activité. Par exemple, les chiens et les chats heureux ont une énergie apparemment inépuisable. Mais lorsqu’ils sont déprimés, vous pouvez remarquer que leurs oreilles ne se dressent plus lorsque vous leur apportez leur jouet préféré ou leur sac de friandises. Ou encore, au lieu de courir dans le parc, votre animal reste tête baissée à votre talon. Ce passage de l’état actif et énergique à l’état inactif et léthargique peut indiquer une dépression chez votre animal de compagnie.

Une modification de son tempérament

  • il s’isole, évite les personnes de la maison, ne joue plus, rechigne à sortir alors qu’il en avait l’habitude,
  • il gémit lorsque vous partez,
  • il fait des bêtises lorsqu’il est seul ou même en votre présence,
  • Il semble triste, il pleure, pousse de petits gémissements et/ou soupire souvent,
  • Il se montre agressif.

Tous ces symptômes varient d’un animal à l’autre. C’est surtout le changement de comportement qui doit vous alerter. D’autres pathologies peuvent entraîner ces manifestations, n’hésitez donc pas à prendre l’avis de votre vétérinaire pour un diagnostic fiable.

Les causes de la dépression de votre animal domestique

Le chien, le chat ou tout autre animal qui est devenu votre compagnon a bien sûr son propre caractère. Et comme pour l’homme, les causes d’un mal-être sont multiples. Cependant on peut constater que certains évènements ont un impact sur l’état d’anxiété des animaux de compagnie. Cet état peut être passager car votre animal va s’y habituer mais il peut aussi s’installer jusqu’à la dépression :

  • Un changement dans vos habitudes : vous changez d’emploi du temps, vous changez votre routine et ainsi celle de votre animal. Les horaires de balades, de jeux, de présence et d’absence, tout changement peut demander à votre animal une adaptation qu’il aura du mal à faire et entraînera une anxiété ;
  • Un déménagement : dans le même ordre d’idée qu’un changement dans vos habitudes, un déménagement entraîne un changement dans la routine de votre animal. Ses habitudes et ses repères sont perturbés.
  • Un changement dans la composition du foyer : une nouvelle arrivée, un bébé, un aïeul, un autre animal, et le départ ou la perte d’un membre proche de votre animal sont autant de bouleversements tant physiques que moraux pour lui. En effet, la présence ou l’absence réelle d’une personne ou d’un autre animal crée inévitablement de nouveaux sentiments comme la jalousie ou le manque. Sans oublier que la tristesse ou la joie que vous ressentez, va aussi être perçue par votre animal et influencer son comportement. Lui-même peut bien sûr subir sa propre tristesse suite à un départ.
  • Un déplacement de votre animal : parfois les circonstances font que vous êtes obligé(e) de laisser votre animal en pension comme pour un départ en vacances par exemple. Evidemment, votre animal va subir cette mise à l’écart qu’il ne comprend pas, il s’inquiète pour vous et de votre absence ;
  • Votre propre mal-être : votre animal ressent ce que vous ressentez. Si vous êtes vous-même déprimé(e) ou dépressif (ve), cela peut influencer son propre comportement, son empathie va le rendre triste pour vous.

Soulager son animal de compagnie en cas de dépression : amour et magnétisme

Si vous avez remarqué l’un des symptômes mentionnés ci-dessus, il est probablement temps de vous assurer que votre animal n’a pas de troubles de santé sous-jacents. S’il n’y a aucun problème physique, il est peut-être temps d’intégrer quelques éléments à votre routine pour réconforter votre compagnon à fourrure. Heureusement, les chiens et les chats ne sont pas des êtres compliqués et leurs besoins sont relativement simples !

Lorsque la déprime est clairement identifiée, notamment par le diagnostic du vétérinaire, vous pouvez agir de façon à soulager votre compagnon et faire en sorte qu’il aille mieux. Outre les traitements médicamenteux, comme l’Amitriptyline, la Doxépine ou la Fluoxétine prescrits sur ordonnance mais qui ont souvent des effets secondaires indésirables, il existe deux méthodes éprouvées et complémentaires pour lutter contre la déprime de votre compagnon.

L’amour pour booster les endorphines

Vous devrez lui porter une grande attention pour combler la tristesse qui s’est emparée de lui. Caressez-le, complimentez-le, câlinez-le, jouez avec lui car comme pour les humains, ces actions activeront la sécrétion des hormones du bonheur. Le magnétiseur pour aider à lutter contre la déprime de votre animal. Les maîtres sont parfois démunis face au mal-être de leur animal, alors ils s’adressent à moi.

La pratique du magnétisme qui remonte à plusieurs millénaires ne s’adresse pas seulement aux humains et se pratique avec les mêmes résultats aussi bien en présentiel qu’à distance.

Les soins énergétiques sur un chat, un chien, un NAC, un cheval… sont en mesure de soulager leur mal-être. Les animaux sont très réceptifs aux énergies même à distance comme le mode de communication de certains d’entre eux le prouve.

Ainsi, si vous ne pouvez vous déplacer, vous envoyez une photo de votre animal, avec de préférence les yeux bien visibles. Durant la séance, vous restez avec votre animal. Je vous appellerai ensuite pour vous dire ce que j’ai ressenti et que nous échangions sur ce qui s’est déroulé pendant ce laps de temps.

Si votre vétérinaire a diagnostiqué une déprime chez votre animal et que vous souhaitez soulager ses maux psychiques, n’hésitez pas à me questionner ou à faire appel à moi et je me ferai un plaisir de vous aider.

Conjoint Pervers narcissique : quand l’amour peut être un danger

Le pervers narcissique dans le couple est quasiment toujours l’homme. C’est pourquoi, dans cet article je vais m’adresser aux femmes, même si le sujet est bien évidemment transposable.

La perversion narcissique, théorisée par le psychiatre et psychanalyste Paul-Claude Racamier dans le domaine de la psychopathologie, indique non pas un type de personnalité mais une pathologie relationnelle qui consiste en une survalorisation de soi-même aux dépens d’autrui, notamment parce que le pervers narcissique a une image dévalorisante de lui-même.

J’ai déjà parlé de cette pathologie notamment dans le cadre professionnel. Mais qu’en est-il dans la sphère sentimentale ? Le problème récurrent, souligné par les psychothérapeutes, lorsqu’on est en couple avec un pervers narcissique, c’est qu’on ne le sait pas… 

Pour que l’amour ne soit pas un danger, je souhaite par cet article, éclairer les femmes qui ont un doute, informer celles qui n’ont pas eu la malchance de croiser le chemin du pervers narcissique, conseiller celles qui ont un ou une proche dans cette situation…

Tout d’abord, nous verrons quelles sont les personnes les plus susceptibles de rencontrer un pervers narcissique et pourquoi. Ensuite, nous nous intéresserons aux signes qui montrent que le partenaire est un pervers narcissique. Puis, à travers le témoignage de psychothérapeutes, nous verrons quels sont les comportements communs aux femmes partenaires d’un pervers narcissique. Enfin, nous nous poserons la question de savoir s’il est possible qu’un pervers narcissique change.

Les causes de la perversion narcissique

Les pervers narcissiques non pas évolué en tant que sujets à la perversion. Dans leur enfance, ils ont souffert d’une sorte de dysfonctionnement dans leurs relations avec les autres, ayant le sentiment de ne pas avoir assez de valeur. Ils éprouvent un grand vide et une grande insatisfaction qui, au lieu de les affronter (ce qui serait leur remède), s’approprient les vertus des autres.

Ainsi, ils désirent intensément d’autres personnes qui semblent posséder ce qu’ils n’ont pas ou qui sont simplement satisfaits de leur vie. Une fois qu’ils ont conquis ces personnes et atteint les objectifs qu’ils souhaitent, ils commencent à miner peu à peu leur estime de soi pour les faire sombrer.

Ensuite, c’est comme si les qualités étaient enlevées à leurs victimes, les remplissant de doutes et de tristesse, pour tenter de combler leur vide.

Le pervers narcissique en couple : un prédateur pour quelle proie ?

Le mode de fonctionnement du pervers narcissique, le seul qu’il connaisse, fait de lui un parfait stratège. Il cherche une personne sur qui il pourra exercer sa perversion narcissique. Inconsciemment, puisqu’il est dépourvu d’empathie, mais sûrement.

Les personnes les plus vulnérables répondent à des schémas communs. Si vous vous reconnaissez dans ces profils, soyez vigilante et interrogez-vous peut-être sur leur origine.

Du besoin d’amour à la dépendance affective

Certaines personnes préfèrent être mal accompagnées que seules. Généralement, lorsque l’on est ainsi, on le sait. On peut avoir un grand besoin d’amour ou véritablement souffrir de dépendance affective qui est une addiction. Le résultat est sensiblement le même : on a besoin de remplir un vide intérieur, de combler un manque. Cela passe par la dépendance envers une personne aimée.

Le dépendant affectif va donc trouver un certain réconfort dans une relation avec un pervers narcissique où il n’aura plus de responsabilités, de pouvoir décisionnel. Il se retrouve à subir sa relation sans même s’en apercevoir, voire s’y complaire, en tout cas dans les premiers temps.

De l’empathie au syndrome du sauveur

Avoir beaucoup d’empathie est louable mais poussé à l’extrême, c’est une addiction qu’on appelle le syndrome du sauveur. La personne qui l’a, cherche à aider, à sauver sans que le rôle ne s’inverse jamais. Elle a besoin que l’autre ait besoin d’elle. On appelle aussi le syndrome du sauveur, la codépendance. Cette générosité devient pathologique lorsqu’elle conditionne les relations qui n’existent que sur ce modèle.

Le pervers narcissique, s’il reconnaît en vous ce syndrome ou du moins cette tendance, saura extrêmement bien se poser en victime pour que vous vous intéressiez à lui.

Conjoint pervers narcissique en couple : 10+1 signes qui doivent alerter

Trait commun à tous les pervers narcissiques : la rencontre et les premières semaines de vie commune sont exceptionnelles. Il est particulièrement attentionné et correspond au partenaire rêvé. Une telle fusion ne se refuse pas. Cependant, très vite des signes qui ne trompent pas surviennent. Le dernier des signes, le + 1, mérite toute votre attention, c’est pourquoi il apparaît sous cette forme.

1 – Il dévalorise sa conjointe

En dévalorisant et en rabaissant sa conjointe, le pervers narcissique lui fait perdre sa confiance en elle.

2 – Il culpabilise sa partenaire, se pose en victime

Il se fait plaindre en se posant en victime et en faisant culpabiliser sa partenaire. De même, il attend la perfection de sa conjointe et la rend coupable de ne pas être à la hauteur de ses exigences.

3 – Il sème la confusion

Il parle et argumente beaucoup et son discours est changeant, flou laissant sa conjointe dans la confusion. Il déstabilise, en prévoyant de grands projets de couple puis en sous-entendant que sa partenaire n’est pas digne de son amour. Il aime souffler le chaud et le froid.

4 – Il ment

Pour servir ses intérêts, il va mentir, (s’) inventer des histoires.

5 – Il pense être supérieur

Il renvoie une image de supériorité parce qu’il se croit supérieur. Il paraît donc sûr de lui et irréprochable.

6 – Il a besoin d’être admiré

Le pervers narcissique est en quête de reconnaissance. Il a besoin d’obtenir toute l’attention, d’être admiré.

7 – Il n’a pas empathie

Les sentiments des autres ne comptent pas, même s’il peut feindre un quelconque intérêt, ce n’est qu’à son service. Il ne comprend pas les besoins des autres et donc ne culpabilise pas de les faire souffrir.

8 – Il se sent menacé

Il pense que sa partenaire lui appartient. Ainsi, toutes les relations extérieures que la conjointe peut avoir, sont ressenties comme une menace. Il peut donc montrer des signes de jalousie extrême.

9 – Il ne se remet jamais en question

Un pervers narcissique n’assume pas ses torts, il reporte sa responsabilité sur les autres et surtout sur sa partenaire.

10- Il aime l’agent et peut créer une dépendance financière

Il aime avoir une certaine aisance budgétaire mais peut créer une instabilité financière au sein de son couple pour rendre sa partenaire totalement dépendante.

10+1- Il est agressif

En psychanalyse le terme agressivité est défini par des conduites réelles ou fantasmatiques qui ont pour but de nuire à autrui, de détruire, de contraindre, d’humilier. L’agressivité permet la maîtrise de la structure psychique du pervers narcissique par la destruction de sa victime. Le pervers narcissique peut être agressif psychiquement, verbalement et physiquement.

Comment agit un pervers narcissique ?

Peut-être avez-vous déjà été victime d’un narcissique pervers et ne l’avez-vous même pas remarqué. Vous considérez probablement cette relation comme difficile, toxique et compliquée. Vous vous sentez faible, impuissant et déprimé, alors qu’en même temps vous êtes incapable de lui dire au revoir.

Il existe de nombreux signes qui indiquent un narcissique pervers. Le narcissique commence à se comparer à la victime. Il se compare à la victime et tente de se rattraper par le narcissisme. Il va également essayer de détruire les vertus de la victime pour qu’elles disparaissent.

La victime doit se soumettre à l’abuseur. Il en résultera un lien d’abus de la part du pervers, qui fera subir à la victime du harcèlement et toutes sortes d’autres désagréments. Si la victime réagit à l’abus, le pervers narcissique prétend qu’il est la victime, ce qui la fait se sentir coupable.

Le comportement d’une personne sous l’emprise d’un pervers narcissique

Comme je l’ai déjà souligné, il est très difficile de se rendre compte qu’on est soi-même dans une relation avec un pervers narcissique, et c’est bien là que réside tout le danger. Bien sûr, maintes vidéos sur internet concernant le conjoint pervers narcissique conseillent de fuir immédiatement. Plus facile à dire qu’à faire, et nous allons essayer de comprendre pourquoi.

Ce que les thérapeutes remarquent, c’est que des femmes viennent les consulter sans connaître la pathologie dont souffre leur conjoint, c’est le médecin qui s’en rend compte. Elles sont souvent dans une crise de couple ou elles souhaitent se séparer sans y parvenir. Souvent, ces femmes ont subi des violences physiques et/ou psychiques qui attestent d’une soumission imposée et acceptée. Elles ne protestent pas et en viennent même à douter de leur perception. Elles trouvent des excuses à leur partenaire, parfois croient mériter ce qu’il leur arrive. Elles ont donc honte de se plaindre. Elles oscillent entre l’image idéale, à laquelle elles s’accrochent et la réalité, qu’elles ne peuvent admettre. Elles pensent même pouvoir sauver leur conjoint agresseur en se comportant mieux, en étant plus ceci, moins cela… Elles parviennent généralement pendant un temps certain à donner le change avec la famille et les amis en montrant au monde extérieur comme leur couple est idéal. Et elles y croient vraiment, c’est ce qui est le plus remarquable. Elles ne simulent généralement pas, elles pensent ce qu’elles disent coincées entre leur sentiment et leur perception. Si on demande à l’une de ces femmes comment elle va, elle répondra spontanément « très bien ! ». C’est souvent à ce moment précis qu’elles prennent conscience que quelque chose sonne faux, qu’elles mentent, mais le déni reprend vite le dessus. Et quand elles parviennent enfin à parler de ce qu’elles ressentent, elles ne sont généralement pas crues du fait de leur manière d’agir depuis longtemps. Il arrive que l’entourage finisse par se rendre compte que quelque chose ne va pas, mais le discours est souvent le même et n’aide pas : tu es en danger. Cela, elles le savent mais n’arrivent pas pour autant à fuir. 

L’élément déclencheur du désir de séparation vient la plupart du temps d’un regard extérieur. Celui de son enfant qui ne comprend pas pourquoi sa mère accepte cette situation, celui d’un parent proche… Le regard de quelqu’un qui va faire prendre conscience à ces femmes qu’elles ont raison de penser que ce qu’elles vivent n’est pas normal, comme une confirmation qu’elles vont mourir physiquement ou psychiquement « pour de vrai ».

D’après les témoignages des psychothérapeutes, on comprend mieux pourquoi fuir n’est pas évident. Parvenir à quitter un pervers narcissique est un exploit, mais ne pas retomber dans les griffes d’un tel personnage est un travail psychique à faire sur soi avec l’aide d’un professionnel.

Comment faire face aux pervers narcissiques ?

Une fois que vous avez identifié le narcissique pervers, votre objectif principal est de faire en sorte que ses attaques ne fassent pas effet. Si vous ne pouvez pas provoquer de conflit entre les membres de la famille de votre victime, vous vous sentirez désarmé. Le narcissique pervers n’est pas dangereux s’il est ignoré par les autres. Il n’a aucun pouvoir sans victimes.

Ne tombez pas dans ses mensonges ou ses pièges pour attirer votre attention. Votre attention est votre pouvoir. Vous n’avez pas à croire que vous êtes digne d’être critiqué. C’est juste une stratégie qui vous créera et vous détruira. De plus, évitez-les autant que vous le pouvez, même si cela semble difficile. N’abandonnez pas vos efforts pour renouer avec eux. Si vous ne vous voyez pas stable, vous alimenterez vos besoins narcissiques.

N’annoncez pas vos succès devant un narcissique pervers, car il tentera de les dévaloriser. Il est préférable d’éviter toute discussion avec eux. Ils tenteront de vous convaincre qu’ils mentent et ne seront pas à l’écoute de vos besoins. Ne réagissez pas à leurs provocations. Elles n’ont aucun effet sur votre comportement. C’est un plaisir de voir le pervers narcissique hésiter. Cela renforce ses stratégies et lui permet de continuer à agir de la même manière.

Le pervers narcissique peut-il changer ?

Essayer de faire prendre conscience à un pervers narcissique de sa pathologie ne peut être fait par sa conjointe, parce qu’il va retourner la situation sur elle, la rendre responsable des maux qui lui sont reprochés. Et finalement, c’est la partenaire qui pensera que c’est elle qui a un problème. Les psychothérapeutes pensent que le pervers narcissique ne peut pas changer, même avec beaucoup d’amour. Il ne se remet jamais en question et ne le fera pas tant qu’il a quelqu’un sur qui exercer son pouvoir. Par contre, s’il se retrouve seul, il va forcément ressentir un mal-être. Si le malaise est tel que cela le pousse à consulter, alors il pourra être aidé. Mais pour changer, il faut prendre conscience qu’il y a un problème, ressentir le besoin de le résoudre et enfin tout mettre en œuvre pour y parvenir.

Le comportement inhumain du pervers narcissique vient forcément d’un traumatisme subi dans l’enfance, ce qui peut amener au fait qu’il soit pardonné. Cependant, la meilleure façon de le faire, c’est de se pardonner soi-même, de s’émanciper de son pouvoir en se faisant soigner des blessures infligées et d’éventuels traumatismes subis qui ont conduit à se mettre en couple et à rester avec un pervers narcissique.

J’espère vous avoir éclairé sur la relation de couple avec un pervers narcissique. Si vous avez la sensation de manquer de liberté au quotidien, un ressenti de mal-être sans raison apparente, un sentiment de danger imminent mais inexplicable, l’impression de manquer d’énergie vitale, si vous mettez en doute vos choix, vos envies ou que vous avez peur : consultez impérativement un psychothérapeute. Un travail sur vous permettra de comprendre pourquoi vous attirez ou vous êtes attirée par ce genre de personne. Et si vous avez le moindre doute pour quelqu’un de votre entourage, je ne peux que vous recommander de l’aider en lui conseillant de suivre une thérapie.